2ème DRAGONS    6ème D.C. – 6ème B.D. 8 -

HISTORIQUE

Librairie BERGER-LEVRAULT (1920)

 

Transmis et saisi par Marie France, merci à elle

Pour détails des citations : myosotis42@tiscali.fr

 

 

 

DEUXIEME PERIODE – 1915 – 1916 – 1917 EN TERRAIN ORGANISE

Vers la première page

I.- ALSACE (du 26 janvier au 10 mai 1915)

 

   25 janvier 1915 – Le régiment s’embarque à Béthisy-Saint-Pierre.

 

   26 Janvier – Il débarque à la gare de Belfort et va cantonner à Chavannes-les-Grands, Magny et Romagny.

La division est rattachée au détachement d’armée des Vosges (D.A.V.)

 

  31 janvier – Elle relève le 235ème régiment d’infanterie dans le secteur de Balschwiller.

Chaque brigade fournit à tour de rôle, 600 hommes.

Un régiment en première ligne, dans les tranchées à l’est de Balschwiller, l’autre en réserve à Uberkumen.

Durée du service : quarante-huit heures.

La relève a lieu à la tombée de la nuit, les éléments montants mettant pied à terre à la corne sud-ouest du Buech-Wald.

 

   12 février – Le régiment rassemblé à l’est de la route Montreux-Vieux – Chavannes-sur-l’Etang, est passé en revue par le Président de la République qui remet la médaille militaire au cavalier Gastaud, du 3ème escadron.

 

   5 avril – Le D.A.V. devient la 7ème armée.

Le général de Maud’huy en prend le commandement.

 

   19 avril – L’ouvrage avancé de Bernwiller subit un bombardement violent de minenwerfers.

 

   22 avril – Le régiment est passé en revue par le général Joffre, commandant en chef, qui remet la Croix de Chevalier de la Légion d’Honneur au commandant de la Maisonneuve et au capitaine Caulet.

 

   10 mai – Le régiment s’embarque à la gare de Belfort.

 

PERTES

Le 6 avril, à Buethwiller – Blessé : cavalier Carraz, escadron à pied

Le 13 avril, à Balshwiller – Blessé : cavalier Lefèvre, 2ème escadron

Le 19 avril, à Balschwiller – Tués : maréchal des logis Chanut – brigadier Pruvost – cavalier Marcel, 2ème escadron

Blessés : brigadier Corrompt – cavaliers : Jomin – Plasse – Duffourd – Peclier – Falgon, 2ème escadron.

 

ORDRE DE LA 6ème D.C. N° 54

 

 

Le bulletin de ce jour signale d’une source sûre que des soldats allemands occupant les tranchées de la région d’Enschingen se plaignent du nouveau voisinage que leur impose la présence des cavaliers aux tranchées.

Un tel renseignement est suffisamment éloquent et se passe de commentaire. Les braves cavaliers de la 6ème D.C. ont su déjà introduire, dans un genre de lutte, di différent de tout ce qu’on leur avait appris, le mordant et l’entrain qui sont l’apanage de l’arme. Et ce n’est qu’un commencement.

Je n’en suis pas étonné, mais je les en remercie et je suis fier d’être à leur tête.

 

                                                                                                Q.G., le 24 février 1915

                                                                                                Le général commandant la 6ème D.C.

                                                                                                Requichot

 

 

CITATIONS

 

La MEDAILLE MILITAIRE est conférée au :

 

Cavalier Jomin, 2ème escadron

(Ordre n° 841, 28 avril 1915)

 

Est cité à l’ORDRE DE L’ARMEE

 

Le brigadier Corrompt, 2ème escadron

(Ordre n° 8, 16 septembre 1915)

 

Sont cités à l’ORDRE DE LA DIVISION

 

Le sous-lieutenant Guis

(Ordre n° 73, 20 avril 1915)

 

Le cavalier Plasse, 2ème escadron

(Ordre n° 74, 20 avril 1915)

 

Sont cités à l’ORDRE DU REGIMENT

 

Les cavaliers : Emeriat – Requillon, 2ème escadron

(Ordre n° 33, 27 avril 1915)

 

Le cavalier Dufour, 2ème escadron

(Ordre n° 37, 27 mai 1915)

 

Le cavalier Piquet, escadron à pied

(Ordre n° 66, 12 novembre 1915)

 

Le brigadier Pruvost, 2ème escadron

(Ordre n° 5, 5 janvier 1916)

 

Le maréchal des logis Chanut, 2ème escadron

(Ordre n° 107, 20 septembre 1916)

II.- ARTOIS (du 13 mai au 28 juin 1915)

   13 mai 1915 – Le régiment débarque à Hesdin et Anvin ; il cantonne à Ambricourt et Tilly-Capelle.

 

   15 mai – La section de mitrailleuses du régiment est contituée.

 

   16 juin – La division se rassemble dans la région de Beugin, La Conté (bataille d’Artois). Elle rentre le soir dans ses cantonnements.

 

   26 juin – La division est mise à la disposition du 21ème C.A. 800 cavaliers à pied sont transportés en camions-auto à 1 kilomètre est de Sains-en-Gohelle.

Le détachement du régiment (190 hommes) cantonne à Petit-Sains.

 

   27 juin – Reconnaissance du secteur à occuper, entre le château de Noulette et Notre-Dame-de-Lorette (nord de Souchez).

A 11h 15, le détachement reçoit l’ordre de rentrer dans ses cantonnements.

 

  28 juin – Le régiment s’embarque à Wavrans.

III. – VOSGES (du 29 juin au 30 août 1915)

   29 juin 1915 – Le régiment débarque à Arches.

 

2 juillet – Il cantonne à Autrey et Housseras.

   La division est mise sous les ordres du général commandant la 7ème armée.

Elle reçoit la mission de renforcer le secteur de la 41ème D.I.

Un détachement de la brigade (150 hommes) relève une compagnie du 115ème R.I.T. dans le S.S. de Celles.

   31 août – Le régiment s’embarque à Bruyères et Brouvelieures

 

   7 juillet – Ce détachement est relevé et rentre dans ses cantonnements.

 

  9 juillet – Cantonnement d’alerte à La Voivre (combat de La Fontenelle).

 

   10 juillet – Le régiment fournit un détachement (150 hommes) dans le secteur d’Hermanpère, qui est sous les ordres du lieutenant-colonel commandant le 23ème R.I.

Durée de service huit jours.

 

   13 juillet – Le général commandant en chef remet des Croix de Guerre à des militaires du régiment à Bruyères.

   24 juillet – Le détachement d’Hermanpère concourt à une attaque de la position de Launois, exécutée par l’infanterie du secteur.

 

   28 août – Le détachement est relevé.

 

PERTES

Le 12 juillet, à Hermanpère – Tué : cavalier Gabier, 2ème escadron

Le 28 août, à Hermanpère – Blessé : cavalier Dubost, 4ème escadron

 

 

 

ORDRE DE LA 6ème D.C. N° 209

 

 

Le 27 juin 1916, en exécution des ordres du général commandant en chef, le général commandant la 6ème division de cavalerie a remis au 8ème régiment de cuirassiers à pied son étendard ; cet emblème devient en quelque sorte l’étendard de la division.

Depuis le mois d’août 1914, les régiments de la 6ème division de cavalerie et le 8ème de cuirassiers ont gravé leur nom aux pages les plus glorieuses des annales de la guerre, Sarrebourg, Marville et Neufchâteau, la Belgique, Rozelieures et Rethel, la Marne, l’Yser, l’Alsace, le Ban-de-Sapt, la Lorraine, ne sont que le prélude des victoires prochaines dont nous inscrirons les noms sur notre étendard, à côté de ceux à jamais célèbres de Fleurus, Wagram, la Moskowa, hanau.

Troupe d’élite entre toutes, et qui maintenant compte beaucoup des nôtres dans ses rangs, le 8ème cuirassiers restera la Garde d’honneur de l’Etendard.

 

                                                                                                Au Q.G.le 5 juillet 1916

                                                                                                Le général commandant la 6ème D.C.

                                                                                                Requichot

 

 

IV. – MEUSE ET CHAMPAGNE (du 1er septembre au 24 octobre 1915)

 

   1er septembre – Débarquement à Ligny-en-Barrois.

Le régiment cantonne à Stainville, Nan-le-Grand et Nan-le-Petit.

 

   2 septembre – La 6ème D.C. entre dans la composition du 3ème C.C. (6ème, 8ème et 9ème D.C.) sous les ordres du général de Buyer.

 

   3 au 25 septembre – Elle manœuvre dans les environs de Stainville.

 

   25 septembre – Le régiment cantonne à Voilemont (bataille de Champagne).

 

   1er octobre – La division est mise à la disposition du général commandant le 1er C.A.C.

Un détachement de 166 hommes du régiment relève des éléments du 3ème chasseurs d’Afrique dans le secteur de l’Arbre-aux-Vaches (1 km. Nord-est de Massiges) ; il est en liaison, à gauche, avec le 23ème colonial et à droite avec le 7ème cuirassiers.

 

   2 octobre – Une tentative de progression à la grenade dans les boyaux est exécutée par le 2ème escadron, appuyé par quelques coloniaux.

 

   8 octobre – Le détachement est relevé.

Le régiment cantonne à Vieil-Dampierre.

 

   10 au 18 octobre – Un nouveau détachement (200 hommes) relève à l’Arbre-aux-Vaches, des éléments du 21ème colonial.

Pendant toute cette période, les lignes occupées sont soumises nuit et jour à de violents bombardements.

 

   20 octobre – Le C.C. cesse de fournir des éléments au 1er C.A.C.

 

   21 octobre au 1er novembre – La division gagne la région de Lunéville.

Le régiment fait étape à Contrisson le 21, à Brauvilliers le 25, à Abainville le 26, à Punerot le 29, à Praye-sous-Vaudemont le 30, à Neuviller-sur-Moselle le 31 et cantonne à Lunéville le 1er novembre.

 

 

PERTES

 

Le 2 octobre, devant Massiges – Blessés : brigadier Sangoy – cavalier Sage, 2ème escadron – cavalier Arrighi, 3ème escadron

Le 4 octobre, devant Massiges – Blessés : adjudant Bianchi – maréchal des logis Vittet, 3ème escadron

Le 5 octobre, devant Massiges – Blessés : cavaliers Mazet – Stenger, 1er escadron – brigadier Altisachi – cavalier Olivier, 3ème escadron

Le 6 octobre, devant Massiges – Blessés : cavalier Barthélémy, 3ème escadron – cavaliers Julien – Pastre, 4ème escadron

Le 15 octobre, à l’Arbre-aux-Vaches – Blessé : cavalier Barge, 3ème escadron

 

CITATIONS

 

Sont cités à l’ORDRE DE L’ARMEE

 

L’adjudant Bianchi, 3ème escadron

(Ordre n° 55, 27 octobre 1915)

 

Le cavalier Laheurthe, 2ème escadron

(Ordre n° 55, 27 octobre 1915

 

Est cité à l’ORDRE DU 1er CORPS D’ARMEE COLONIALE

 

Le cavalier Sage, 2ème escadron

(Ordre n° 397, 26 octobre 1915)

 

Est cité à l’ORDRE DE LA BRIGADE

 

Le capitaine de Libran

(Ordre n° 37, 26 octobre 1915)

 

Sont cités à l’ORDRE DU REGIMENT

 

L’adjudant Gamond – le cavalier Stenger, 1er escadron

Le brigadier Royer, 2ème escadron

Le maréchal des logis Vittet – les brigadiers : Descours – Altisachi – le cavalier Arighi, 3ème escadron

Le cavalier Jullien, 4ème escadron

(Ordre n° 63, 13 octobre 1915)

 

Le maréchal des logis Purceigne, escadron à pied

(Ordre n° 65, 28 octobre 1915)

 

Le sous-lieutenant Paget – le maréchal des logis chef Refregier – le maréchal des logis Dufour – les brigadiers : Lachassagne – Bertrand – Pichon-Bon – les cavaliers : Bruyère – Briant – Revello – Hermanville de l’escadron à pied

(Ordre n° 70, 2 décembre 1915)

 

Le maréchal des logis Courtecuisse – le brigadier de Vabres – les cavaliers : Peyron – Chautent, de l’escadron à pied

(Ordre n° 66, 12 novembre 1915)

 

Le capitaine de Bonnefoy – les cavaliers : Levet : Le Guélaff – Doucerain – Bordery – Crouzille, de l’escadron à pied

(Ordre n° 71, 3 décembre 1915)

 

Le cavalier Kahn, escadron à pied

(Ordre n° 29, 15 février 1916)

 

Le cavalier Cleyet-Marrel, escadron à pied

(Ordre n° 115, 23 octobre 1926)

 

Le maréchal des logis fourrier Brulot – les cavaliers : Jacquier – Pastre – Valley, 4ème escadron

(Ordre n° 72, 31 décembre 1918)

V. – LORRAINE (du 1er novembre 1915 au 28 décembre 1916)

1.- Parroy (Belle tranchée) 14 novembre – 24 décembre 1915.

 

   4 novembre – Le 3ème C.C. est chargé de la défense du front entre les lisières sud de la forêt de Parroy et la ferme de Ranzey (forêt de Bezange).

La 6ème D.C. occupe le sous-secteur de la forêt de Paroy d’Embermenil au canal de la Marne au Rhin.

Chaque régiment fournit un détachement de 200 hommes et sa S.M.

Durée de service : six jours (3 en 1ère ligne, 3 en 2ème ligne).

Le détachement du régiment occupe le quartier de Belle-Tranchée (sous-secteur de Crion).

 

   13 novembre – La durée du service est portée à douze jours (3 en 2ème ligne, 6 en 1ère ligne) 3 en 2ème ligne).

 

   14 novembre – Un petit détachement allemand attaque à la grenade un de nos postes. Il se replie après un combat assez vif.

 

   15 novembre – Une bombe d’avion tombée sur le quartier occupé par le régiment, à Lunéville, blesse trois cavaliers.

 

   1er décembre – La durée du service est réduite à six jours.

 

   14 décembre – Le sous-lieutenant Fortoul est tué.

 

   27 décembre – La 6ème D.C. est relevée par la 9ème et passe en réserve du G.A.E.

Le régiment va cantonner dans la région nord-ouest de Bayon.

 

 

2.- Einville-Barthelemont (du 9 février au 9 avril 1916)

 

   9 au 11 février – La 6ème D.C. relève la 8ème D.C. dans le sous-secteur Einville.

Le détachement du régiment occupe le quartier de Bathelemont-les-Bauzemont.

Le régiment cantonne dans la région de Fleville

 

   12 février – Les ouvrages de 1ère et 2ème lignes sont soumis à un bombardement assez intense.

 

   21 février – Le secteur subit un fort bombardement.

 

  9 avril – La 6ème D.C. est relevée dans le sous-secteur d’Einville par la 33ème D.I.

 

 

3. – Parroy-Bossupre (du 11 avril au 27 mai 1916)

 

   11 avril – Un détachement du régiment (200 hommes) est mis à la disposition du général commandant la 9ème D.C., pour travailler dans le secteur de Parroy (Grande-Taille).

Durée du service : dix jours.

 

   24 avril – Ce détachement relève dans le C.R. de Bossupre (nord de la forêt de Parroy) des éléments du G.C. 8 :

- 50 hommes en 1ère ligne

- 150 en 2ème ligne

Durée du service : douze jours.

 

   27 avril – Le régiment cantonne dans la région de Domptail.

 

   27 mai – Le détachement de Bossupre est relevé par des éléments du 26ème dragons.

 

 

4. – Einville-Athienville (du 29 mai au 21 juillet 1926)

 

   29 mai – La 6ème D.C. relève la 59ème D.I. dans le secteur d’Einville.

Le détachement du régiment occupe le sous-secteur d’Athienville (Valhey-Arracourt).

 

   5 juin – Une 2ème S.M. est constituée.

 

   6 juin – Le régiment cantonne dans la région de Vitrimont (ouest de Lunéville).

 

   12 juin – Il cantonne dans la région de Diarville (ouest de Charmes).

 

   22 juin – Un groupe de 32 hommes (2ème escadron), sous le commandement du sous-lieutenant Sabarots est envoyé en reconnaissance sur le pont de la route d’Arracourt à Vic. Il se heurte à un poste ennemi dont il essuie le feu.

 

   28 juin – Une reconnaissance forte de 36 hommes, sous les ordres du sous-lieutenant Pasqualini, est envoyée dans les environs de la ferme d’Hartauville ; elle rencontre une reconnaissance ennemie qui l’oblige à se replier.

Plusieurs autres reconnaissances sont exécutées sur la Loutre Noire, pendant le mois de juillet.

 

   21 juillet – Le détachement est relevé par une compagnie du 232ème R.I.

 

   15 août – Le régiment cantonne dans la région de Padoue (sud-ouest de Rambervillers).

 

5. - Neuviller (du 19 août au 28 décembre 1916)

 

   19 août – La 6ème D.C. relève la 40ème D.I. dans le secteur de Baccarat.

Le détachement du régiment (200 hommes) occupe le C.R. de Neuviller (sous-secteur de Sainte-Pole) où il relève une compagnie du 161ème R.I.

Durée du service : douze jours.

 

   25 août – Un détachement ennemi, évalué à une cinquantaine d’hommes, attaque nos tranchées et cherche à enlever les postes occupés par le 2ème escadron.

Les assaillants sont dispersés et refoulés à coups de grenades et de mitrailleuses.

 

   27 août – Le régiment cantonne dans la région de Domptail.

 

   12 septembre – A 1h 30, les postes avancés occupés par le 2ème escadron sont attaqués par un détachement ennemi évalué à une cinquantaine d’hommes.

Après une demi-heure de combat assez vif, les assaillants sont repoussés.

 

   22 décembre – Le général de Buyer commandant le 3ème C.C. est nommé au commandement du 2ème C.C.

 

   28 décembre – La division est relevée par la 7ème D.I.

 

PERTES

Le 16 novembre 1915, à Parroy (La Belle-Tranchée) – Blessé : cavalier Piaud, 3ème escadron

Le 18 novembre, à Parroy – Blessés : cavaliers Gagnoud – Duranton – Cognet, 3ème escadron

Le 19 novembre, à Parroy – Blessé :  cavalier Faure, 4ème escadron

Le 14 décembre, à Parroy – Tué : sous-lieutenant Fortoul, escadron à pied

Le 19 décembre, à Parroy – Blessé : cavalier Favier, 3ème escadron

Le 12 février 1916, à Arracourt – Blessé : cavalier Bricourt, 3ème escadron

Le 21 février, à Arracourt –Tué : cavalier Perrichon, 3ème escadron

Blessé : cavalier Salabelle, 3ème escadron

Le 26 mars, à Arracourt – Blessé : cavalier Percet, 3ème escadron

Le 24 avril, à Lunéville – Tué : maréchal des logis Montange, 1er escadron

Le 22 juin, à Athienville – Tués : brigadier Dubreuil – brigadier Thomas, 2ème escadron

Blessé : cavalier Bouty, 2ème escadron

Le 28 juin, à Athienville – Blessé : brigadier Molade, 1er escadron

Le 27 août, à Neuviller – Blessé : cavalier Brest, 2ème escadron

Le 11 septembre, à Neuviller – Tués : cavalier Bièvre, 2ème escadron – cavalier Fillet, 4ème escadron.

 

CITATIONS

Est cité à l’ORDRE DE L’ARMEE

 

Le cavalier Lemaire, de l’escadron à pied

(Ordre n° 99, 14 avril 1916)

 

Sont cités à l’ORDRE DU CORPS DE CAVALERIE

 

Le cavalier Beaudon, de l’escadron à pied

(Ordre n° 21, 9 avril 1916)

 

Le cavalier Morellet, 4ème escadron

(Ordre n° 21, 9 avril 1916)

 

Sont cités à l’ORDRE DE LA DIVISION

 

Le sous-lieutenant Merley, escadron à pied

Le cavalier Charlot, de l’escadron à pied

Le cavalier Etievenard, de l’escadron à pied

(Ordre n° 180, 9 avril 1916)

 

Le capitaine de Saint-Seine

Le sous-lieutenant Saborots

(Ordre n° 227, 6 septembre 1916)

 

Sont cités à l’ORDRE DE LA BRIGADE

 

Le capitaine Terisse

Les cavaliers Lagrange et René, de l’escadron à pied

(Ordre n° 48, 10 avril 1916)

 

Le sous-lieutenant de Ravel

Le sous-lieutenant Pasqualini

(Ordre n° 56, 7 juillet 1916)

 

Le cavalier Lartaud, 2ème escadron

(Ordre n° 57, 23 juillet 1926)

                                          

Le sous-lieutenant Sabarots

Le maréchal des logis Finaz – Le cavalier Aubert, 3ème escadron

Le cavalier Lartaud, 2ème escadron

(Ordre n° 62, 25 novembre 1916)

 

Sont cités à l’ORDRE DU REGIMENT

 

Le sous-lieutenant Fortoul, de l’escadron à pied

(Ordre n° 73, 15 décembre 1915)

 

Le maréchal des logis Buisson, 3ème escadron

(Ordre n° 5, 8 janvier 1916)

 

Le cavalier Magat, 1er escadron

Les cavaliers Perget – Bricourt, 3ème escadron

(Ordre n° 30, 18 février 1916)

 

Les cavaliers Perrichon – Salabelle, 3ème escadron

(Ordre n° 34, 25 février 1916)

 

Le brigadier Liotard, les cavaliers Rouaux – Pinaud – Bourcelot – Fontaine – Boenard, de l’escadron à pied

(Ordre n° 48, 10 avril 1916)

 

Le sous-lieutenant Bianchi

Le cavalier Gastaud, 3ème escadron

(Ordre n° 49, 12 avril 1916)

 

L’adjudant Guy, 1er escadron

Le maréchal des logis Angremy – le brigadier Dudreuil, 2ème escadron

(Ordre n° 67, 21 mai 1916)

 

Les brigadiers Thomas, Dudreuil - le cavalier Bouty, 2ème escadron

(Ordre n° 92, 14 juillet 1916)

 

Le sous-lieutenant Bianchi – le sous-lieutenant Chomel

Le maréchal des logis de Tarragon, 1er escadron

(Ordre n° 93, 16 juillet 1916)

 

Le maréchal des logis Verneret – le brigadier Civet, 2ème escadron

(Ordre n° 105, 6 septembre 1916)

 

Le brigadier Valley – les cavaliers Guyonnet – Desflaches – Bievre, 2ème escadron

(Ordre n° 106, 16 septembre 1916)

 

Le maréchal des logis chef Veuillet, 2ème escadron

Le maréchal des logis chef Tisseur, E.M.

Le cavalier Grand, 3ème escadron

(Ordre n° 72, 31 décembre 1919)

 

Le maréchal des logis de Billy, 1er escadron

(Ordre n° 89, 8 juillet 1916)

 

VI. – JURA (du 25 janvier au 25 mars 1917)

   5 janvier – Le régiment cantonne dans la région de Morvillars-Meziré.

 

   18 au 25 janvier – Un détachement de 200 hommes est mis à la disposition de l’E.M. de Montreux-Vieux pour des travaux dans la région de Dannemarie.

 

   26 janvier au 2 février – Le régiment fournit chaque jour six patrouilles de un gradé et trois cavaliers dans le secteur de Delle (4 de jour et 2 de nuit).

 

   2 février – Le régiment va cantonner dans la région de Meslières-Blamont.

 

   23, 24 et 25 février – La brigade prend part à des manœuvres dans le camp de Villersexel.

 

   27 février – Elle rentre dans ses cantonnements.

 

   17 au 24 mars – La division prend part à des manœuvres dans le camp de Villersexel.

 

25 mars – Le régiment s’embarque à Gennevreuilles.

 

 

VII. – CHAMPAGNE (26 mars 1917 – 19 mars 1918)

 

   25 avril – Il cantonne à Carmant et à Grauves.

 

   27 avril au 6 juillet – La division met à la disposition du général commandant le 7ème C.A., deux bataillons à pied comprenant chacun trois compagnies et trois sections de mitrailleuses.

Le régiment fournit une compagnie de 150 fusils qui occupe successivement les tranchées à l’ouest de Brimont, celles de la Sucrerie de Loivre et celles du Moulin de Loivre (secteur de Loivre), la tranchée de Courtine Basse, la tranchée de Cologne, la tranchée de Trêves (secteur de Berméricourt).

Relève tous les huit jours, puis tous les dix-huit jours.

 

   15 au 31 juillet – La division est mise à la disposition du G.M.P.

Les P.M. sont groupés à Mareuil.

Une section de mitrailleuses occupe divers emplacements dans le secteur de Reims (du 19 juillet au 5 août).

Le régiment moins le P.M., cantonne dans la région de Villiers-sur-Morin.

 

   26 juillet au 1 août – Il est mis à la disposition du G.A.N. pour assurer un service d’ordre autour du dépôt de munitions de Mitry-Clayes où une explosion vient de se produire.

 

   5 août – Le régiment cantonne dans la région de Pleurs.

 

   8 août au 7 octobre – Il est appelé à participer à la défense du secteur du Ludes. (Une compagnie de 180 hommes relevée tous les douze jours).

Le 2ème C.C. occupe le front compris entre les Marquises à droite (liaison avec le 4ème C.A., 4ème armée) et la rive est du canal de l’Aisne à gauche (liaison avec le 34ème C.A.).

Le régiment occupe le C.R. de Prunay.

 

  15 au 31 octobre – La division est mise à la disposition du G.M.P.

Le régiment, moins le P.M. laissé en secteur, cantonne dans la région de Soisy-sous-Etiolles.

 

   4 novembre – Le régiment cantonne dans la région de Pleurs.

 

   6 novembre au 30 décembre – Une compagnie du régiment occupe le quartier de Petit-Bois (sous-secteur de Sillery).

 

   12 novembre – L’ennemi tente un coup de main sur les tranchées occupées par la compagnie Courtieu. Cette attaque est arrêtée net par le tir d’un F.M. placé en face de la brèche faite dans le réseau.

 

   3 décembre – Sillery est très violemment bombardé.

 

   13 décembre – Un demi-peloton du régiment se rend en trois étapes à Venizel (6 km. Est de Soissons), pour exécuter des exercices de franchissement de lignes dans la partie arrière du champ de bataille de la Malmaison (zone d’entonnoirs).

 

   7 janvier – Le régiment va cantonner dans la région de Courgivaux.

 

   9 au 20 janvier – Il fournit deux compagnies qui occupent le sous-quartier de Brazza.

 

   15 février au 19 mars – La division est mise à la disposition du G.M.P.

Le régiment cantonne dans la région de Limours.

PERTES

Le 30 avril, au Bois de Chauffour – Blessés : brigadier Molade, 1er escadron – cavalier Leveder, 3ème escadron

Le 2 mai, au Bois de Chauffour – Blessé : cavalier Dunand, 4ème escadron

Le 4 mai, devant Brimont – Blessés : brigadier Genin, cavalier Broyer, 3ème escadron.

Cavaliers : Clément, 1er escadron – Planet, 4ème escadron

Brigadier  Testenoire, 2ème escadron

Le 6 mai, devant Brimont – Blessés : capitaine de Saint-Seine, 3ème escadron

Cavaliers Duport – Juniet, 2ème escadron

Maréchal des logis Métivet – brigadiers Ruet – Basset – cavaliers Frachisse – Bouilloux – Escoffier – Bonavité – Terrier – Montet – Borgomano – Desgeorges, 3ème escadron.

Le 8 mai, à Mery-Premecy – Blessé : cavalier Barbutti, 4ème escadron

Le 15 mai, à la Sucrerie de Loivre – Blessé : lieutenant Pasqualini, 3ème escadron

Le 19 mai, au Moulin de Loivre – Blessé : cavalier Berlion, 3ème escadron

Le 28 juin, tranchée de Cologne – Blessé : cavalier Laffont, 3ème escadron

Le 2 septembre, à Prunay – Tué : cavalier Bottett, 4ème escadron

Le 18 septembre, à Prunay – Blessé : cavalier Trouillet, 1er escadron

Le 27 septembre, à Prunay – Blessé : cavalier Satre, 3ème escadron

Le 2 octobre, à Prunay – Blessés : brigadier Valleix, 2ème escadron – cavalier Esparron, 1er escadron

Le 12 novembre, au Petit-Bois de Sillery – Blessés : sous-lieutenant Thomasset, 2ème escadron Cavalier Laurent, 1er escadron

Le 13 novembreBlessés : cavaliers Jullet 2ème escadron – Pennet, 1er escadron

Le 3 décembre, à Sillery – Tué : cavalier Greffier, 2ème escadron

Le 25 décembre, au Petit Bois de Sillery – Blessé : cavalier Filassier, 4ème escadron

Le 15 janvier, à la Mare de Sillery – Blessé : cavalier Sarron, 4ème escadron.

 

 

DECORATIONS

 

La MEDAILLE MILITAIRE est conférée au

 

Cavalier Clément, 1er escadron

(Ordre du 12 mai 1917)

 

Brigadier Genin, 3ème escadron

(Ordre du 18 juin 1917)

 

Brigadier Valleix, 2ème escadron

(Ordre n° 5827 « D », 19 octobre 1917)

 

Cavalier Sarron, 4ème escadron

(Ordre n° 13 « E », 13 mai 1918

 

Cavalier Laffont, 1er escadron

(Ordre n° 8428 « D », 15 juillet 1918)

 

Sont cités à l’ORDRE DE LA DIVISION

 

Le capitaine de Saint-Seine

(Ordre n° 20, 12 mai 1917)

 

Le commandant de la Maisonneuve

(Ordre n° 292, 31 mai 1917)

 

Le sous-lieutenant Perrin

(Ordre n° 295, 9 juin 1917)

 

Le capitaine Courlieu

Le sous-lieutenant Thomasset

Le cavalier Autheman, 1er escadron

(Ordre n° 373, 20 novembre 1917)

 

Sont cités à l’ORDRE DE LA BRIGADE

 

Le cavalier Berlion, 3ème escadron

(Ordre n° 8, 29 juin 1917)

 

L’adjudant Laurent

(Ordre n° 9, 13 juillet 1917)

 

Le lieutenant Tezenas – l’aspirant Audras

Le maréchal des Logis Large – le cavalier Magne, 1er escadron

Le maréchal des logis Angremy – le cavalier Ladouleur, 2ème escadron

Le cavalier Tracolat, 3ème escadron

(Ordre n° 17, 23 novembre 1917)

 

Sont cités à l’ORDRE DU 2ème GROUPE DE BATAILLONS DE CHASSEURS

 

Le lieutenant Lacoste - le lieutenant Tezenas – l’aspirant Audollent

Le maréchal des logis Molliet, 1er escadron

Le brigadier Testenoire – les cavaliers Beaulet – Duport, 2ème escadron

Le cavalier Aubonnet, 3ème escadron

Le brigadier Montagnon – le cavalier Dorel, 4ème escadron

(Ordre n° 2, 12 mai 1917)

 

Sont cités à l’ORDRE DU REGIMENT

 

Les cavaliers Ruas – Michard – Godinot, 1er escadron

L’adjudant Bourges – le maréchal des logis Metzinger – le brigadier Luciani, 3ème escadron

Le brigadier Roche, 4ème escadron

Les cavaliers Boucaud – Joly, E.M.

Le brigadier Valleix, 1er escadron

(Ordre n° 42, 8 juin 1917)

 

Le capitaine Gauwain

(Ordre n° 46, 15 juin 1917)

 

Le lieutenant Brelay – le lieutenant de Gontaud-Biron

Le maréchal des logis Sabran, 1er escadron

Le cavalier Perussel, 2ème escadron

Le cavalier Varenne, 3ème escadron

Le cavalier Georgeon, 4ème escadron

(Ordre n° 47, 17 juin 1917)

 

Le lieutenant Madinier

(Ordre n° 49, 17 juin 1917)

 

Le maréchal des logis Assada – le cavalier Maisonneuve, P.M.

(Ordre n° 48, 20 juin 1917)

 

Le cavalier Bottet, 4ème escadron

(Ordre n° 82, 9 septembre 1917)

 

Le maréchal des logis Drouard – le brigadier Guinet – la cavalier Esparron, 1er escadron

Le maréchal des logis Martel – les cavaliers Montagne – Tronchet, 2ème escadron

Le brigadier Satre, 3ème escadron

Les cavaliers Vittoz – Fontaine, P.M.

(Ordre n° 87, 11 octobre 1917)

 

Le cavalier Bonnamy, 1er escadron

Le cavalier Venet, 2ème escadron

Le cavalier Gibert, 3ème escadron

Les cavaliers de Roussy de Sales – Baraduc, 4ème escadron

(Ordre n° 93, 26 novembre 1917)

 

Le capitaine d’Anières de Sales

(Ordre n° 106, 27 décembre 1917)

 

Le maréchal des logis Kerpel, 3ème escadron

Le cavalier Olivier, 2ème escadron

(Ordre n° 4, 26 février 1918)

 

Le sous-lieutenant Vuatrin – le maréchal des logis chef Lepy

(Ordre n° 66, 24 novembre 1918)

 

Le maréchal des logis Theppe, 1er escadron

Le brigadier Chevalier – le cavalier Massardier, 2ème escadron

Le brigadier Dumas – les cavaliers Baffeleuf – Dupont – Montet – Thuilier – Eymard – Effrancey, 3ème escadron

Le maréchal des logis Andrieux, 4ème escadron

Le maréchal des logis Bellet – les cavaliers Duranton – Bonnafoux, P.M.

 (Ordre n° 72, 31 décembre 1918)

 

Le cavalier Godet, 1er escadron

Les cavaliers Pradel – Beigner, 4ème escadron

(Ordre n° 21, 19 mars 1919)

 

 

Le cavalier Ravier, 3ème escadron

(Ordre n° 38, 15 mai 1919)

 

TROISIEME PERIODE – 1918   REPRISE DE LA GUERRE EN TERRAIN LIBRE

 

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