62e
RIT, 334e RI, 114e Chasseurs
Campagne
contre l’Allemagne et l’Autriche – Hongrie
1914
– 1915 – 1916 – 1917 – 1918
André DURIN durant son service militaire au 13e
régiment d’infanterie (1901-1903)
André
DURIN est né à Bourges (Cher) le 29/11/1879. Cultivateur, il a donc 35 ans en
août 1914 et logiquement intégré un régiment territorial, le 62e de Bourges. Il
passe au 334e RI en octobre 1914. Pieds gelés dans les Vosges, il est évacué
vers un hôpital de Lyon. Rejoint le front en août 1915 au 114e bataillon de
Chasseurs. Bataillon qu’il ne quittera plus jusqu’à l’armistice. Les Vosges,
Verdun, la Somme, l’Oise…Une citation et croix de guerre, étoile de bronze.
Il
décédera en juin 1953.
Départ de Beaulieu près de Bourges le 3 août 1914
au matin pour rejoindre
le 62ème
régiment territorial
d’infanterie cantonné au Lycée de Bourges.
Le 3 août, habillement
et préparation du départ.
Le 4 août, Bourges.
Le 5 août, départ à 6 heures du soir,
embarquement.
Le 6 août, arrivé à
Gray à 9 heures du matin.
Cantonnement à Arc-les-Gray
jusqu’au 8 août.
Le 9 août, cantonnement
à Gray pour service de gare régulatrice, jusqu’au 18 août.
Le 19 août, service de
ravitaillement de la 1ère armée. Localités où étaient destinés les
convois de vivres du 19 au 31 août
: Bruyères, Laveline, Brouvelieures,
Saint-Dié, Lepanges, Autrey, Lammerville, Rambervillers, Charmes, Châtel-sur-Moselle, Nomexy, Thaon. Rentré
à Gray.
Le 1er septembre, cantonnement
à Vesoul, même service : ravitaillement pour Epinal, Nancy,
Champigneulles, Frouard, Saint-Nicolas-de-Port, Varangéville, Blainville, Gorcy, Pagny-sur-Meuse,
Toul, Commercy, Lironville, jusqu’au 24.
Le 25,
cantonnement à Pont-Saint-Vincent, même service.
Le 26,
Pont-Saint-Vincent.
Le 27, cantonnement à
Vézelise, dans la brasserie, toujours même service jusqu’au 10 octobre.
Dernier convoi de vivres,
gare de Toul.
Le dimanche 11 octobre,
changement de régiment pour renforcement du 334ème régiment d’infanterie.
Départ de Vézelise pour Gray à 2 heures du soir.
Séjour à Gray jusqu’au 15.
A 9 heures du soir, départ pour le front.
Le 16, arrivé à
Gérardmer, couché à la caserne du 152ème d’Infanterie.
Le 17, départ pour
La Schlucht, frontière française, arrivé le 17 au soir.
Le 18, arrivé au Hohneck,
hôtel du Belvédère. Le 18 au
soir, service des avants postes au Kastelberg pendant
4 jours. Retour à Hohneck jusqu’au 25.
Le 25, un dimanche, reconnaissance à
Metzéral et Sondernach.
Nuit du 25 au 26, on couche dans les bois de
Sondernach et le matin vers 7 heures, la 19ème compagnie du 334ème
ramène 4 prisonniers boches. Le 26 retour au Hohneck jusqu’au 29.
Le 30, cantonnement à
La Schlucht, 31 La Schlucht.
Le 1er et le
2 novembre, travaux de tranchées,
face à Soultzeren.
Le 3, changement de
cantonnement pour La Bresse.
Le 4, retour à La
Schlucht. Le 4 au soir, retour à La
Bresse et cantonnement de repos jusqu’au
18.
Le 19, départ pour la
forêt de Sattel, cantonnement au village de Sattel et service des avants postes
jusqu’au 29.
Le 30 au matin,
reconnaissance à Breitenback. Le 30 à 9 heures, départ et changement de cantonnement pour La Bresse,
jusqu’au 9 décembre.
Visite au Lac des Corbeaux et promenade dans la forêt de sapins.
Le 9 au soir, départ pour aller en
soutien de l’artillerie, direction Col de Bramont, Wildenstein, Kruth, Saint-Amarin,
Moosch. Couché à Moosch.
Le 10, départ,
direction Villers, Wesserling, Thann. Déjeuner à
Roderen, passé à Michelbach.
Le
soir, cantonnement à Aspach Le Haut.
Le 11, Aspach.
Le 12, aux tranchées,
gare d’Aspach. Attaque de nuit par les Boches. Tranchées jusqu’au 18 au matin.
Le 19, départ pour
coucher à Wildenstein.
Le 20, départ, cantonné
à La Schlucht.
Le 21 à Stosswihr, le 22 aux tranchées à Hohrod,
le 23 au repos, le 24 tranchées, le 25 repos, le 26 tranchées,
le 27 repos, le 28 tranchées, le 29
repos, le 30 aux tranchées, le 31 repos et changement de cantonnement
pour Ampferback
jusqu’au 6 janvier 1915.
Le 7, départ pour les
tranchées à Hohrod, le 8 aux tranchées, le 9 repos, le 10 tranchées, le 11
repos, le 12 aux tranchées, le 13 repos, le 14 tranchées.
Le 15 départ pour
cantonner à Ampferback jusqu’au
20 inclus.
Le 21, cantonnement à
La Bresse.
Le 22 à La Bresse.
Le 23 à Saint-Amarin.
Le 24 à Goldback.
Le 25, nous attaquons
mais sans réussite, le 26 même
emplacement.
Il fait très froid et on souffre beaucoup. Le pain est gelé et la
morue est gelée. Le ravitaillement n’arrive pas. Le 26 au soir, on fait des tranchées avec de la neige à onze heures du
soir. J’ai les pieds gelés et je me dirige vers le poste de secours.
Le 27 au matin, on
m’envoie à l’infirmerie de Goldback où on me soigne
pendant la journée.
Le 28, on m’évacue à
l’ambulance de Moosch.
Le 29 à l’hôpital de
triage de Bussang.
Le 30 au soir, départ
pour Lyon.
Le 31, arrivé à Lyon et couché à l’hôpital Saint Louis n°5.
Enfin on respire un peu. Très bien soigné.
Le 3 février, je reçois la visite de ma femme, qui vient
passer trois jours auprès de moi.
Le 11, changement
d’hôpital. Cette fois c’est au petit Lycée Saint Rambert.
Encore la bonne vie, mais la maladie est plus forte et il me faut
garder le lit. Enfin, je passe 8 jours au lit et je commence à me lever et à
marcher avec des béquilles.
Vers le 25, je
recommence à marcher un peu, les premières sorties dans la cour.
Je reste dans cet hôpital jusqu’au 12 mai et comme ça va mieux, je quitte Saint Rambert avec une
permission de sept jours, que je passe agréablement chez moi.
Le 21 mai, je rentre au
dépôt du 334ème R.I. à Mâcon.
J’obtiens une permission de
15 jours du 20 juin au 5 juillet et je rentre le 6 au dépôt où on me donne une nouvelle
permission du 15 au 30 inclus.
Le 1er août,
je rentre au dépôt, le 2 on passe la
visite et cette fois je suis bon pour repartir au front.
Je suis affecté au 114ème bataillon de Chasseurs alpins
dont le dépôt est à Annecy. 11ème B.C.A. On nous expédie à Annecy où
on nous équipe et on nous habille en
tenue d’Alpin. Nous passons 2 jours à Annecy,
puis, c’est le départ pour le
front.
Le 14 août, nous
arrivons à Anould (Vosges), ou nous cantonnons jusqu’au 27 au matin.
Le 27, cantonnement à Aumontzey, jusqu’au 4 septembre au matin.
Le 4, départ pour
Moyen, où on cantonne.
Le 5, arrivé à
Rehainviller, jusqu’au 27 au matin, où l’on part pour
l’attaque de Champagne. Embarquement à Lunéville, à 11 heures du matin, arrivé
à Saint-Hilaire-au-Temple, le 28 au
matin.
Et c’est les tranchées du 28
au soir jusqu’au 26 octobre au
matin et chacun emporte un bon souvenir de ce séjour dans la craie.
Embarquement à Saint-Hilaire-au-Temple, le 26
au soir et arrivé à Laveline (Vosges),
le 27 au matin. Cantonnement
à Aumontzey,
jusqu’au 18 décembre.
Le 18 départ d’Aumontzey pour Fraize, cantonnement à Fraize jusqu’au 19 au matin. Le 19, cantonnement à Habeaurupt.
Le bataillon occupe les tranchées de la Tête de Faux jusqu’au 13 février 1916.
Dans l’intervalle, j’obtiens une permission de six jours.
Le 13 février, le
bataillon quitte les tranchées et vient cantonner à Habeaurupt et Plainfaing
jusqu’au 15 au matin.
Le 15, cantonnement à Aumontzey, jusqu’au 23.
Départ le 23.
Cantonnement à Autrey, du 23 au 24 au matin.
Nossoncourt, du 24 au 25 au matin.
Moyemont,
du 25 au 27 au matin.
Clayeures, du 27 au 28 au matin.
Bainville, du 28
au 4 mars au matin.
Vandœuvre, du 4 au 6 mars au matin.
Saint-Max, du 6 au 10 au matin.
Eulmont, du 10 au 12 au matin.
Sivry, du 12 au 29 au soir.
Moivrons, du 29 au 17 avril au soir.
Le bataillon occupe les tranchées de Jeandelaincourt et vient
cantonner à Sivry le 17 au soir
jusqu’au 30 avril au soir. Retour à
Moivrons, le 30 avril au soir, jusqu’au 20
mai au soir.
Le bataillon occupe le même secteur.
Le 20, départ pour
Sivry, cantonnement jusqu’au 25 mai
au matin.
Départ le 25,
cantonnement à Bouxières-aux-Dames jusqu’au 26.
Vandoeuvre,
du 26 au 1er juin au matin.
Vroncourt,
du 1er au 2 juin inclus.
Ormes-et-Ville, du 3 au
5 inclus.
Le 6 juin au matin,
embarquement à Vezelise.
Débarqué le 6 à Nançois
le Petit.
Cantonnement à Ligny-en-Barrois, jusqu’au 10 au soir.
Retour à Nançois-le-Petit,
du 10 au soir, au 11
au matin.
Condé-en-Barrois, du 11
au 12 au matin.
Chaumont-Saint-Aire, du 12
au 14 juin.
Souhesmes, la Grande du 14 au 15 juin.
Le bataillon part le 15
au soir et cantonne dans la Citadelle de Verdun ou il reste deux jours et
ensuite va occuper les tranchées de Froide Terre.
Les T.C. et T.R. (Train de Combat – Train Régimentaire) sont à
Bois-la-Ville du 15 au 21 et au bois des Sartelles du 21 au 30 juin à midi.
Le 30 au soir, le
bataillon quitte les tranchées et vient cantonner à Nixéville jusqu’au 1er juillet au matin.
Le 1er juillet
à 13 heures, embarquement en auto pour Le Bouchon ou on reste en cantonnement
jusqu’au 10 au soir. Embarquement le
11 au matin à Ligny-en-Barrois.
Débarqué à Toul.
Cantonnement à Dommartin-lès-Toul,
du 11 au 13 au matin.
Le 13, départ pour Saizerais,
cantonnement jusqu’au 18 au matin.
Cantonnement à Dieulouard le 18, des trains de combat.
Le bataillon occupe le camp de Martin-Fontaine jusqu’au 27 juillet, et aux tranchées de Bois-le-Prêtre du 27 au 10 août au matin.
Le 10, départ pour
Saizerais, où l’on reste en cantonnement jusqu’au 22 août au matin. Je pars en permission le 20 août de Saizerais.
Le bataillon remonte aux tranchées de Bois-le-Prêtre du 23 août au 31 et du 15 septembre au
3 octobre au matin. Les trains sont
à Dieulouard pendant la période du 23
août au 3 octobre.
Le 3, le bataillon se
déplace et vient cantonner à Griscourt et Aingeray du
4 au 5, et ensuite à Chaudeney du 5 au 20 novembre inclus. Le
bataillon embarque le 20 novembre à
23 heures, et débarque à Marseille-le-Petit,
le 22 novembre à 7 heures.
Cantonnement à Sentelie, du 22 novembre au soir au 24 novembre au matin.
La Chapelle-sur-Poix, du 24 au 1er décembre au matin.
Frémontiers, Uzenneville,
Velennes, du 1er au 8 décembre au matin.
Les T.C. sont à Flers-sur-Noye et Warfusée du 7 au
9 décembre.
Le bataillon est au Camp 50 bis, près d’Eclusier, du 8 au soir au 9 au soir. Les T.C du 9 au soir au 19 décembre au matin.
Le bataillon est aux tranchées du 9 au 22 décembre, et
vient au camp 50, près d’Eclusier, du 22
au 4 janvier au matin, et au camp
54, près de Morcourt du 4 au 9 janvier.
Le 7 janvier 1917,
je pars en permission de 7 jours.
Le bataillon cantonne à Blangy-Tronville du 9 au 14 janvier.
Embarquement à Longueau, près d’Amiens, le 14
janvier à 4 heures.
Débarqué le 15 à 14
heures à Bruyères (Vosges), cantonnement à Fremifontaine, du 15
au 22 janvier au soir.
La Bourgonce, du 22 au 23 janvier au
soir.
Saint-Jean- d’Ormont, du 23 janvier au soir au 8 mars au soir.
Le bataillon occupe le C.R de La Fontenelle.
Hurbache, du 8 mars au 18 mars.
Saint-Jean-d’Ormont, du 18 mars au 1er
avril.
Le bataillon occupe le C.R de La Fontenelle jusqu’au 1er avril inclus, et vient
cantonner à Clairefontaine, le 2 avril au matin jusqu’au 3 avril au soir.
La Trouche, Lajus,
Raon-L’Etape, du 3 au 4 avril.
Pierre-Percée, du 4 avril au soir au 2 mai.
Le bataillon occupe le secteur de La Chapelotte.
Le bataillon redescend le 2
au soir et vient cantonner à La Trouche. Le 2 mai, je pars en permission.
Le bataillon quitte La Trouche le 4 et va cantonner à Saint-Benoit,
jusqu’au 5 au matin.
Autrey, du 5 au 6 au matin.
Fontenay, du 6 au 7 au matin.
Hadol-la-Haute, du 7
au 30 mai au matin.
Ville-sur-Illon du 30 au 31 au soir.
Le bataillon embarque à Girancourt le 1er juin à 1 heure du matin. Débarqué à Esternay le 1er juin à 18 heures.
Montenils et Coucermont, du 1er
juin au soir au 6 juin au matin.
Vauxtin, du 6 juin. Cantonnement du TC.
Le bataillon est en ligne à l’est de Braye-en-Laonnois et reste
jusqu’au 20 juillet au soir, et
descend à Oulchy-Breny jusqu’au 13 août.
Le 14 août, cantonnement à Lhuis et Blanzy-lès-Fismes.
Le 15 au matin, le
bataillon monte aux tranchées à Hurtebise.
Le 31, le bataillon
attaque à Hurtebise et fait un bon nombre de prisonniers, et redescend le 2 septembre.
Le 3, embarquement à
Fismes. Débarqué le même jour en gare de Noyon. Le 4, cantonnement à Cuy jusqu’au 17 septembre.
Villeselve et Collezy, du 17 au 18.
Aubigny, du 18 au 19 septembre au soir.
Les T.C. sont à Germaine. Le bataillon est en ligne devant
Saint-Quentin, et descend au bois d’Holnon le 3 novembre jusqu’au 13 novembre au soir.
Foreste,
du 13 au 15.
Esmery-Hallon, du 15
au 22.
Noyon du 22 au 9 décembre au matin. Je pars en
permission le 9.
Le bataillon va cantonner le 9
au soir à Brouchy et remonte le 10 aux tranchées à Séraucourt-le-Grand, jusqu’au 8
janvier au soir.
Villeselve,
du 8 au 9 janvier au soir.
Noyon, du 10 au 12 janvier.
Embarquement le 12 à 20
heures à Noyon. Débarqué
à Montreux-Vieux le 14 janvier à 7 heures. Montreux-Château du 14 au 17.
A partir du 14 janvier 1918, le bataillon appartient à la 70ème
Division d’Infanterie S. P. 128, et va occuper les tranchées à Balschwiller.
Les T. C. sont à Traubach-le-Bas du 17
au 25.
Le 25, le bataillon
vient cantonner à Vézelois jusqu’au 30 janvier
au matin et embarque à Belfort le 30
à 1 heure. Débarqué à Passavant le 30
à 10 heures. Cantonnement à Monthureux-su-Saône du 30 janvier au 14 février au matin.
Grandrupt, du 14 au 15 inclus.
Hadol-Haute, du 16 février au 3 mars.
Lepanges, du 3 au 4 mars.
Champdray et Jussarupt, du 4
au 10 mars.
Embarquement à Laveline le 10
mars à 19 heures 30.
Débarqué à Vitry-la-Ville le 11
mars à 12 heures.
La Chaussée-sur-Marne, du 11
au 14 mars, cantonnement à Drouilly et Pringy, du 14 au 24 mars.
Coolus-sur-Marne et
Sogny-aux-Moulins, du 24 au 25 mars.
Vadeney, du 25 au 26 au soir.
Le bataillon embarque en auto le 26 au soir à Vadeney, et débarque le 27 vers 22 heures à Méry-sur-Oise. Il
se déploie en tirailleurs pour prendre contact avec l’ennemi, direction
d’Assainvillers et marche jusqu’à Tricot.
Le 29, attaque du
Village Le Lundi.
Le 30, il vient en
réserve à Le Ployron et fait mouvement du Ployron vers
Courcelles puis au Tronquoy.
Le 31 au soir, le
bataillon revient à Courcelles.
Le 1er avril au
soir, il se rend à Méry-sur-Oise, et reste jusqu’au 4.
Le 4, le bataillon
prend les lignes au bois de Vaux, commune de Le Fretoy
jusqu’au 15 avril.
Le bataillon descend à Mennevillers dans
la nuit du 15 au 16 avril.
Les T.C. et les TR partent de Vadenay le 26 mars au soir à 13 heures 30 et font mouvement par voie de terre, par Plivaux du 26 au
soir au 27 au matin, Autheney, du 27 au 28, Branches, du 28 au 29, Puiseux, du 29 au 30, Lachelle, du 30
au 31, Menevillers, et rejoignent le bataillon du 31 au 16 avril.
Neufvy-sur-Arende
du 16 au 24 avril.
Houdaucourt, du 24 au 25 avril.
Embarqué à Clermont (Oise) le 25
avril à 16 heures. Débarqué à Remiremont le 26 avril à 18 heures.
Le Tholy, du 26 avril au 5 mai. Je
pars en permission le dimanche 5 mai.
Granges, du 5 au 6 mai.
Vienville, du 6 au 7 mai.
Saint-Léonard, du 7 au 10 mai.
La Croix-aux-Mines du 10
au 22 mai. Les T.C sont à La Truche, Les T.R. à La Verpillière.
Le bataillon occupe le sous-secteur de la Cude du Violu du 22 mai au soir, au 14 juin
soir. Le bataillon revient vers l’arrière et vient cantonner à Mandray et Contramoulin du 15 au 16 juin, avec les T.C et les
T.R.
Granges du 16 au 18.
Embarquement à La Chapelle le 18
à 22 heures. Débarqué à l’Isle-Adam le 19
juin à 23 heures.
Senlis du 20 au 26 juin au matin. Les T.C. et les T.R.
partent le 25 et font étape à Duvy. Arrivé au cantonnement, sucrerie de Vauciennes le 26
jusqu’au 10 juillet au matin.
Chelles du 10 au soir
au 13 juillet. Le bataillon embarque
en auto et se porte dans la forêt de Laigue, carrefour d’Ollômont
(Belgique). Les T.C. et les T.R. sont dans la forêt de Compiègne jusqu’au 3 août au soir.
Le bataillon redescend à Chelles du 4 au 8 août au matin.
Le bataillon est à Fournival, du 8
au 10 août. Les T.C. et les
T.R. font étape le 8 par Villeneuve
sur Verberie.
Rouvillers, du 10 au soir au 11 au
soir.
Moyenneville, du 11 au soir au 12 au
soir.
Marquéglise, du 12 au
soir au 24 août au matin. Le
bataillon monte le 12 au soir pour
l’attaque du bois de Thiescourt. Les T.C sont à la Ferme Saint-Claude du 24 au 29.
Rue Mélique (Thiescourt) du 29
au 5 septembre. Le bataillon marche
sur Cuy, Porquéricourt,
Beaurains, au nord de Noyon. Les T.C. cantonnent à Larbroye du 5 au 7 septembre, Grandrû, du 7 au
8, Caumont-Villette, du 8 au 12, Béthancourt, du 12
au 13.
Le bataillon va à 2 kilomètres de la Fère et descend dans la nuit
du 12 au 13.
Salency, du 13 au 26, pour le
bataillon et les T.C, Longueil-Annel, du 26 au 27 septembre, Arsy, du 27
au 29.
Embarquement le 29 à 8
heures 24 à Estrées-Saint-Denis. Débarqué le 30 septembre à Caëstre.
Godewaersvelde du 30 au
1er octobre.
Le 1er octobre
au matin, le bataillon rentre en Belgique et bivouaque au Camp de Westouter du 1er
au soir au 10 octobre au matin.
Krombeke, du 11 au 11, 8 heures du
soir.
Merchtem, du 12 au matin
au 12 au soir.
Stadenrecke, du 13 au 15, 8 heures.
Le bataillon part le 14
au matin.
L’attaque se déclenche à 5 heures 35 et le bataillon suit une
marche vers Staden, Torhout, Bruges, et va jusqu’au Canal de dérivation de la
Lys en face le Village de Vosselare, et revient le 3 novembre en repos à Lotenhulle. Les T.C. cantonnent à Hoogeschuer du 15
au 17 octobre au matin.
Finance, du 17 au 18. Je pars en permission
exceptionnelle le 17 au soir.
Zwevezele, du 18 au 20.
Stockt, du 20 au 21 à 8 heures.
Poucques, du 21
au 3 au soir.
Lotenhulle, du 3 novembre au soir au 26
novembre.
Lemberge du 26 au 27.
Ressegem du 27 au 28.
Borght Lombeek
du 28 au 29.
Moerbeke du 29 au 1er décembre.
Leefdael du 1er au 2.
Grote Heide du 2
au 4.
Neerhespen du 4 au 5.
Grande Jamine du 5 au 6.
Voroux-Goreux du 6 au 7.
Ans-les-Liège du 7 au 9.
Retinne du 9 au 11.
Verviers du 11 au 12.
Eynatten (Prusse Rhénane) du 12 au 13.
Aix-la-Chapelle du 13 ….
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