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BERGER-LEVRAULT (1920)
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Lyon, le 16 août 1919
ORDRE N° 56
Après
cinq ans d’absence, le régiment vient de rentrer à la Part-Dieu.
Que
reste-t-il des escadrons magnifiques qui s’embarquaient le 1er août 1914.
Que
reste-t-il même et surtout que restera-t-il bientôt, de ces solides escadrons
de 1918, qui, après plus de quarante mois de campagne, animés toujours du même esprit
combatif, contribuaient à arrêter l’ennemi sur les Monts des Flandres,
l’attaquaient à Brulooz, le refoulaient à Dammard, le harcelaient enfin avec le
plus beau mordant dans les plaines de la Lys et de l’Escaut ?
Dès
la fin de septembre, à part quelques sous-officiers et un petit nombre d’hommes
des classes 18 et 19, le régiment aura été entièrement renouvelé.
Ce
régiment nouveau a des obligations. Il est le prolongement de celui dont la
belle conduite devant l’ennemi a été partout remarquée.
Il
est tenu de faire honneur à l’écusson qu’il porte.
Il
y arrivera sans effort, si le souvenir des combattants de la grande guerre
reste toujours vivant dans les cœurs.
D’abord
le souvenir des 148 morts, dont les petites tombes jalonnent nos champs de
bataille, en Alsace, en Lorraine, dans la Meuse, en Champagne, dans l’Aisne,
dans le Nord, en Belgique. C’est leur sacrifice total, si généreusement
consenti, qui nous a valu la Victoire.
Puis
le souvenir enfin de tous ceux qui, avec plus de chance, mais avec la même
résolution, ont souffert et lutté, jusqu’à l’heure où ‘ennemi a dû se déclarer
vaincu.
En
pensant à tous ces grands anciens qui leur laissent de tels exemples, en
essayant de s’imaginer les dangers qu’ils ont courus, les épreuves, les
fatigues, les privations qu’ils ont supportées, la patience et la force d’âme
qu’il leur a fallu, -les jeunes soldats d’aujourd’hui et ceux de demain
sentirent mieux la nécessité et la beauté de l’Energie ; ils travailleront avec plus d’ardeur : ils se
soumettront plus volontiers aux rigueurs de la discipline. Ils auront à cœur de
montrer qu’ils sont dignes de leurs aînés.
Par
leur tenue, par leur entrain, par leur sentiment du devoir, ils continueront
fidèlement les traditions de leur glorieux étendard.
Le
Colonel
1° Lorraine (du 2 août 1914 au 9 septembre 1914)
-
Embarquement à Lyon le 1er
août
-
Débarquement la nuit suivante à Chatel-sur-Moselle
-
Couverture au nord-est de la forêt de Mondon
-
Marche sur Sarrebourg
-
Repli sur Mortagne
-
Bataille de la trouée de Charmes (combats de Rozelieures et du
Haut-du-Mont)
2° Champagne (du 10 septembre 1914 au 2 octobre 1914)
-
Poursuite de la Marne (de la Coole à la Suippe)
-
Combat d’Herpont
3° Flandres (du 5 octobre au 3 novembre 1914)
-
Avant-postes à l’est d’Hazebrouck, combat de Borre
-
Combatrs de Pont-Rondin et de Vieux-Berquin
-
Prise de sailly-sur-la-Lys
-
Mouvement offensif sur Roulers, défense de Roulers
-
Repli sur Paschendaele, combats d’arrière-garde
-
Défense du canal de l’Yser
-
Bataille d’Ypres (combat de Zonnebeke)
1°
Alsace (du 26 janvier au 10 mai 1915)
-
Secteur de Balschwiller
2° Artois (du 13 mai au 28 juin 1915)
-
En position d’attente, bataille de l’Artois
3° Vosges (du 29 juin au 30 août 1915)
-
Sous-secteur de Celles
-
Secteur d’Hermanpère, combat de Launois
4° Meuse et Champagne (du 1er septembre au 24 octobre
1915)
-
Bataille de Champagne
-
Secteur de l’Arbre-aux-Vaches, Massiges
5° Lorraine (du 1er novembre 1915 au 28 décembre 1916)
-
Secteur de Parroy, Belle-Tranchée
-
Secteur d’Einville, Bathélémont
-
Secteur de Parroy, Bossupre
-
Secteur d’Einville, Athienville
-
Secteur de Baccarat, Neuviller
6° Jura (du 5 janvier au 25 mars 1917)
-
En surveillance sur la frontière suisse
-
Manœuvres de Villersexel
7° Champagne (du 26 mars 1917 au 20 janvier 1918)
-
Bataille de l’Aisne
-
Secteur de Loivre et de Berméricourt
-
Secteur de Ludes
1° Défensive en Flandres (du 19 mars au 12 mai 1918)
-
Bataille des Monts de Flandres
-
Attaques de Brulooz-Cabaret
2° Défensive sur l’Ourcq (du 28 mai au 27 juin)
-
Combat de Dammard
3° Contre-offensive du 18 juillet
-
Vaux-Castille, Vierzy, Villers-Hélon
4° Offensive de Belgique (du 28 septembre au 11 novembre 1918)
-
Poursuite sur Roulers
-
Poursuite sur la Lys
-
Poursuite sur l’Escaut et au-delà
ETAT-MAJOR
Colonel :
SCHULTZ
Capitaine adjoint :
MOUZE
Lieutenant (Officier
d’approvisionnement) :
COURTIEU
Lieutenant
(Officier-payeur) :
ABADIE
Médecin-major de
2ème classe :
BAURRIER
Médecin
aide-major de 2ème classe :
CHOSSUT-PERRET
Vétérinaire-major
de 2ème classe :
FYOT
Vétérinaire
aide-major de 1ère classe :
ESCOFFIER
CHEF
D’ESCADRONS DES MICHELS
Commandant le premier ½ régiment
1er Escadron 2ème Escadron
Capitaine : BOIRON-EBELING Capitaine :
DE BEAUCHESNE
Lieutenant : VIDART Lieutenant : BIZOT-ESPIARD
Lieutenant : FRANCOIS Lieutenant : CAULET
S-Lieutenant : CHEVIN S-Lieutenant : DE COURVILLE
S-Lieutenant :
KUNTZMANN S-Lieutenant : LACOSTE
CHEF D’ESCADRONS EULLER
Commandant le
deuxième ½ régiment
3ème Escadron 4ème Escadron
Capitaine : SAINTE-MARIE-PERRIN Capitaine : CHAIX-BRYAN
Lieutenant : DE PAMPELONNE Lieutenant
: DE LA MARCHE
Lieutenant : AUCOURT Lieutenant :
HOLLEAUX
Lieutenant : DE PRUNELE Lieutenant : LA BATIE
S-Lieutenant : GUERRY
31 juillet – Télégramme de couverture
1er
août – Le régiment s’embarque à Lyon, de 6 heures (1er train) à
12 heures (4ème train)
La division,
rassemblée à 2 kilomètre nord de Hadigny-les-Verrières, est envoyée immédiatement
occuper les ponts de la Meurthe.
Le régiment est
chargé de tenir ceux d’Azerailles, de Flin, de Chenevrières.
4 août au 8 août – La division se tient en surveillance à l’est de
la forêt de Mondon vers Notre-Dame-de-Lorette. Le régiment cantonne à
Herbeviller et Ogeviller.
5 août – Une reconnaissance d’officier (lieutenant Vidart), envoyée sur
Rechicourt, entre en contact avec l’ennemi à hauteur d’Avricourt. Le lieutenant
Vidart et le dragon Payen sont blessés et fait prisonniers.
9 août – La brigade, en dispositif d’attaque, entre Reillon et Chazelle,
essuie le feu assez violent d’une batterie ennemie.
10 au 13
août – La division, tout en continuant à patrouiller à l’est de la forêt de
Mondon se replie le soir sur la Meurthe. Le régiment cantonne à Saint-Clément.
14 août – La division retourne dans la région de Blémery.
15 août – Constitution d’un corps de cavalerie (6ème, 7ème
et 10ème D.C.) sous le commandement du général Conneau.
16 août – Cantonnement de repos à Ogeviller.
17 août – Le C.C. marche sur Sarrebourg.
Le régiment
franchit la frontière entre Igney et Foulcrey et cantonne à Saint-Georges.
18 août – La division débouche à 8 heures sur le plateau au sud de
Sarrebourg ; elle est accueillie par une forte canonnade et se replie vers
le Poirier de Xouaxange.
Le régiment cantonne à Landange.
19 août – Bataille de Sarrebourg.
La division se
tient dans les environs de Kerprich-aux-Bois.
20 août – La division suit le mouvement de repli du VIIIème corps et cantonne à
Foulcrey.
Elle cesse de
faire partie du C.C.
21 août – Engagement du 1er demi-régiment avec un escadron et une
compagnie cycliste marchant de Moussey sur Rechicourt.
Le régiment cantonne
à Ogeviller.
22 au 25 août – Continuation du mouvement de repli par
Saint-Clément, Seranville, Loromontzey.
25 août – Combat de Rozelieures : régiment participe à pied qu combat
engagé par le 16ème corps, contre l’infanterie allemande qui cherche
à percer dans la direction de Charmes.
Le 4ème
escadron et la D.M. occupent la corne nord-ouest du bois de Lalau.
Le 1er
demi-régiment (avec les cyclistes de la division) tient la lisière nord-est de
ce bois, en liaison avec le 2ème bataillon
de chasseurs.
Les fractions des
17ème et 22ème régiments d’infanterie bavaroise,
parvenues jusqu’à la lisière du bois sont repoussées à la baïonnette par les
cyclistes.
Dans la soirée,
le régiment « qui a réussi à empêcher l’ennemi de déboucher du village de
Rozelieures » (ordre du général commandant la 6ème armée, n°
593), est relevé par des éléments du 210ème
régiment d’infanterie et va cantonner à Bainville-aux-Miroirs.
26 août au 6 septembre – Le régiment prend part à plusieurs actions entre
Remenoville et Seranville.
Il cantonne à
Saint-Boingt.
26 août – Deux pelotons du 3ème escadron et tout le 4ème,
suivis par les 1er et 2ème escadrons chargent en
fourrageurs à l’est de Remenoville et forcent l’ennemi à évacuer le bois du
Haut-du-Mont.
7 septembre – La brigade est mise à la disposition du général
commandant le groupe des Vosges.
Le régiment
cantonne à Chemimenil.
8 septembre – La brigade repasse sous les ordres du général
commandant la 6ème division de cavalerie.
9 septembre – Le régiment s’embarque en chemin de fer à
Darnieulles. Il débarque à Brienne-le-Château à 20 heures.
Le 5 août, à Avricourt - Disparus
présumés blessés : lieutenant Vidart, cavalier Payen, 1er
escadron
Le 15
août, à Ogeviller - Blessé : brigadier Ferréol, 2ème
escadron
Le 24
août - Disparu présumé blessé : cavalier Robert, 2ème
escadron
Le 25
août à Rozelieures – Tués : capitaine Chaix-Bruyan –
Brigadier Gaixet, 2ème escadron, cavaliers Loup, Champon,
1er escadron
Blessés : capitaine Verots, lieutenant La Batie, adjudant
Pepiot, cavaliers Charlin, Magnin, Vernes, Soubeyrand, 1er escadron
- maréchal des logis Dupommier, cavaliers Magnan, Gallien, Coche, carton, Roche
2ème escadron – maréchal des logis chef Bourges, maréchaux des logis
Varennes et Borgomano, brigadiers Ravel, Dumazeau, Perin, Vuaillat, Debrabant,
cavaliers Camou, Reymond, Koskowski, Lafite, Vernet, Tavera, Bertrand, Durand,
3ème escadron – maréchal des logis Dionnet, brigadier Deville 4ème
escadron.
Le 26
août, au Bois du Haut-du-Mont – Tués : cavalier Perrin, 3ème escadron – Blessés :
cavalier Guindon, 1er escadron, maréchal des logis Descharrière,
cavaliers Jaboulet, Petitjean, Pages 4ème escadron.
Le 27
août, à Mattexey : Blessés : maréchal des logis
Angeli, brigadier Deboutin, 1er escadron, maréchal des logis
Raffier, cavalier Duceau, 4ème escadron.
ORDRE
GENERAL N° 19
Les 1ère et 2ème armées donnent
en ce moment un exemple de ténacité et de courage, que le général commandant en
chef est heureux de porter à la connaissance des troupes sous ses ordres.
Indépendamment des corps de couverture, dont
quelques-unes ont combattu depuis l’ouverture des hostilités, ces deux armées
ont pris le 14 août, une offensive générale et obtenu de brillants succès
jusqu’au moment où elles se sont heurtées à une barrière fortifiée, défendue
par des forces très supérieures.
Après une retraite parfaitement ordonnée, les deux
armées ont repris l’offensive en combinant leurs efforts et regagné une grande
partie du terrain perdu. L’ennemi plie devant elles et son recul permet de
constater les pertes considérables qu’il a subies.
Ces armées combattent depuis quatorze jours, sans un
instant de répit ; avec une inébranlable confiance dans la victoire, qui
appartient toujours au plus tenace.
Le général commandant en chef sait que les autres
armées auront à cœur de suivre l’exemple fourni par les 1ère et 2ème
armées.
Au
G.Q.G., le 27 août 1914
Le
général commandant en chef
J.
JOFFRE
LA
MEDAILLE MILITAIRE est conférée au :
Maréchal des
Logis Varenne, 3ème escadron
(Ordre n° 822 « D », 24 avril 1915)
Sont cités
à l’ORDRE DE L’ARMEE :
Le commandant Des
Michels
Le capitaine
Boiron-Ebeling
Le lieutenant De
Pampelonne
Les cavaliers Gaudissart, 2ème escadron –
Raymond, 3ème escadron
L’adjudant
Pepiot, 1er escadron
Le brigadier
Dumazeau, 3ème escadron
(Ordre n°
45, 16 septembre 1914)
Sont cités
à l’ORDRE DE LA DIVISION :
Le lieutenant
Caulet
Le brigadier
Ferreol, 2ème escadron
(Ordre n° 1, 17 août 1914)
Le capitaine
Chaix-Bryan
Le maréchal de
logis chef Bourges, 3ème escadron
Le brigadier
Viacava, 3ème escadron
(Ordre n° 81, 27 mai 1915)
Le cavalier
Carton, 2ème escadron
(Ordre n° 259, 27 janvier 1917)
Sont cités
à l’ORDRE DU REGIMENT
Le lieutenant François,
les cavaliers Guindon, 1er escadron – Debiesse, 4ème
escadron
(Ordre n° 7, 19 septembre 1914)
Le maréchal des
logis Angeli, les brigadiers Montange – Deboutin – le cavalier Jourdan 1er
escadron
Le maréchal des
logis chef Dupommier, 2ème escadron
Le maréchal des
logis Descharrières – le cavalier Foray, 4ème escadron
Les cavaliers
Soubeyran – Faure, de l’escadron à pied
(Ordre n° 37, 27 mai 1915)
Le cavalier
Roche, 2ème escadron
(Ordre n° 55, 7 septembre 1915)
Le cavalier
Payen, 1er escadron
(Ordre n° 73, 6 août 1917)
10 septembre 1914 – Un C.C. formé de la 6ème et de la 9ème
D.C. sous le commandement du général de l’Espée, reçoit la mission de poursuivre
l’ennemi en retraite. (Bataille de la Marne)
Le 10 septembre,
le régiment cantonne à Nogent-sur-Aube.
11 septembre – Au moment où il va atteindre Mairy-sur-Marne,
l’ennemi fait sauter le pont
Cantonnement à
Saint-Quentin-sur-Coole et Mairy.
12 septembre – Continuation de la poursuite ; La division
se porte sur Marson, Coupeville, Moivres, Herpont.
En traversant les
bois qui sont au sud de l’Epine, le 1er demi-régiment (avant-garde)
fait deux prisonniers appartenant au XIIème corps saxon.
Le 3ème
escadron signale 2 régiments d’infanterie ennemie et 2 batteries se repliant au
nord de Poix.
En arrivant
devant Herpont, l’avant-garde trouve le village fortement occupé.
La division accueillie
par une violente canonnade est obligée de se replier vers le sud.
Le régiment
cantonne le soir à Dommartin-sur-Yevre.
13 au 16 septembre – La division explore la région de Suippes, sans
pouvoir progresser.
17 septembre au 1er octobre – Elle est mise au repos à la
disposition du général commandant la 4ème armée.
Le régiment
cantonne à Moncetz (5 km. Sud-est de Chalons) puis à Saint-Germain-la-Ville.
2 octobre – La division se dirige sur Fère-Champenoise où elle embarque le 3 octobre.
Le 12 septembre, à Herpont – Blessés : lieutenant
Guerry
Maréchal des
logis Pinard, cavaliers Guillaumin, Pécheur, 2ème escadron
Cavalier Chaix, 4ème
escadron
Le 15 septembre, à Suippes - Blessés : cavaliers Faure –
Dupont, 2ème escadron
ORDRE GENERAL
N° 15
La bataille qui se livre depuis cinq jours, s’achève
en une victoire incontestable. La retraite des Ier, IIème et IIIème armées
allemandes s’accentue devant notre gauche et notre centre. A son tour la IVème
armée ennemie commence à se replier au nord de Vitry et de Sermaize.
Partout l’ennemi laisse sur place de nombreux blessés
et des quantités de munitions. Partout on fait des prisonniers.
En gagnant du terrain, nos troupes constatent les
traces de l’intensité de la lutte et de l’importance des moyens mis en œuvre
par les Allemands pour essayer de résister à notre élan.
La reprise vigoureuse de l’offensive a déterminé le
succès.
Tous, officiers, sous-officiers et soldats avez
répondu à mon appel.
Tous, vous avez bien mérité de la Patrie.
Suippes,
le 16 septembre 1914
Le
général commandant en chef
J.
JOFFRE
La
MEDAILLE MILITAIRE est conféré au :
Cavalier Gastaud,
3ème escadron
(Ordre n°
585 « D », 3 février 1915)
Sont cités
à l’ORDRE DU REGIMENT
Le lieutenant La Batie
- le lieutenant Douvry – le sous-lieutenant Battistelli
(Ordre n° 7,
19 septembre 1914
5 octobre 1914 – Débarquement à Hazebrouck. La division entre
dans la composition du 2ème C.C. (4ème, 5ème et
6ème D.C.).
Le régiment
s’établit entre Caestre et Rouge-Croix pour couvrir le débarquement de la
division, des forces importantes de cavalerie et d’artillerie allemandes étant
signalées vers le Mont des Cats.
5 au 9 octobre – La division a pour mission de couvrir le
débarquement des troupes à Saint-Omer, Aire et Béthune.
Avant-postes à
l’est et au sud-est d’Hazebrouck.
8 octobre – Une soixantaine de cyclistes allemands qui tentent d’atteindre la
gare d’Hazebrouck sont repoussés par le 2ème escadron et un peloton
du 3ème escadron.
9 octobre – Le village de Borre est occupé par le régiment et une compagnie
d’infanterie. Des troupes ennemies de toutes armes menacent de tourner la
position par le nord.
Les assaillants
sont refoulés ; mais la division reçoit l’ordre de se porter vers l’ouest
pour couvrir Saint-Omer.
Cantonnement du régiment à Lynde.
11 octobre – Le régiment appuie un mouvement offensif du 14ème
dragons sur l’écluse de la Rade (4 kms sud-est d’Estaires) et cantonne à
Busnes.
12 au 14 octobre – La division poursuit son mouvement vers l’est.
Combats du
Pont-Rondin et de Vieux-Berquin.
15
octobre – Le régiment concourt à l’attaque et à la prise de Sailly-sur-la-Lys.
16
octobre – Le C.C. se porte dans la région d’Ypres.
Le régiment se
met en liaison avec les fusiliers-marins à Dixmude et cantonne à Saint-Hubert.
17
octobre – Il cantonne à Ypres.
18 octobre – il occupe Roulers.
19
octobre – Roulers étant fortement attaqué, la division se replie vers l’ouest.
Le régiment
(arrière-garde) suit le mouvement en luttant pied à pied à Reygern,
Oostniewkerke, Westroosebeke.
20
octobre – Continuation du mouvement de repli vers Paschendaele et Saint-Julien.
21 et 22 octobre – Le régiment
tient le canal de l’Yser au sud de Nordschoote.
23 octobre – La division
entre dans la constitution d’un groupement formé de la 17ème D.I. et
des 6ème et 7ème D.C. sous les ordres du général
Dubois ; elle est relevée par la 5ème D.C. et dirigée sur
Zonnebeke.
23 octobre au 1er novembre – Combats entre
le bois du Polygone et Broodseinde. La brigade, les cycliste et l’escadron à
pied ont pour mission de servir de réserve aux troupes occupant les tranchées à
l’est de Zonnebeke.
Le gros du régiment cantonne aux Trois-Rois (2 kms.
sud d’Ypres).
2 novembre – La brigade
reçoit l’ordre de relever avant le jour les troupes occupant les tranchées à
l’est de Zonnebeke, avec la mission de retarder le mouvement d’importantes
colonnes allemandes marchant sur Ypres.
A 5 heures ses unités sont disposées dans l’ordre
suivant :
Le 4ème escadron du 2ème
dragons à droite en liaison avec les Anglais
Puis de la droite à la gauche : le 3ème
escadron, le 2ème escadron, un demi-régiment du 14ème dragons,
enfin le 1er escadron en liaison à gauche avec le 135ème
régiment d’infanterie.
En soutien en arrière, le 2ème
demi-régiment du 14ème dragons.
Dès 6 heures, ces éléments qui n’ont ni outils, ni
baïonnette et dont l’approvisionnement en cartouches est très réduit, se
trouvent soumis à un feu d’artillerie très meurtrier.
A 8 heures, le commandant des Michels est tué dans
son P.C. avec ses agents de liaison.
A 10 heures, le bombardement parait diminuer
d’intensité ; mais à 11 heures 30, il reprend de nouveau. Les tranchées
sont bouleversées et encombrées de morts et de blessés.
Le 3ème escadron, puis le 4ème
escadron reçoivent l’ordre de prendre une position de repli.
Au cours de ce mouvement, les deux capitaines
commandants et le chef d’escadrons sont blessés.
Le 1er demi-régiment se maintient encore
quelque temps sur la positon : mais n’ayant plus de munitions et menacé
d’un mouvement tournant sur sa gauche, il doit se replier à son tour ainsi que
le demi-régiment du 14ème dragons.
Des fractions du 1er demi-régiment
tombent entre les mains de l’ennemi à ce moment-là.
A 14 h 30, le régiment, qui « s’est sacrifié
héroïquement jusqu’à épuisement de tout moyen de résistance » (Ordre du
général commandant la 6ème armée, n° 593), n’est plus composé que
d’une quarantaine d’hommes. Ces derniers combattants sont relevés par une
compagnie du 77ème régiment d’infanterie. Ils vont tenir la lisière
est de Zonnebeke à la gauche du 3ème escadron du 7ème cuirassiers.
A 20 heures, ils reçoivent l’ordre de rentrer à
Ypres, où ils arrivent à 22 heures.
3 novembre – A la suite des
pertes subies la veille, le régiment va se reconstituer à Vlamertinghe, puis
dans la région d’Aire, enfin dans celle de Compiègne.
La division cesse faire partie du groupement du
général Dubois.
25 novembre – Le régiment
cantonné à Saint-Sauveur et Saintine, est en réserve générale, rattaché à la 6ème
armée.
Le 5 octobre à Caestre – Tué : Michel, 2ème
escadron
Le 9 octobre à Borre – Blessé : Allemand, 1er
escadron
Le 12 octobre à Pont-Rondin – Tués : maréchal
des logis Marchiani, 4ème escadron – cavalier Perrin, 3ème
escadron – cavalier Clavelloux, 1er escadron
Blessés : maréchal des
logis Thomasset – cavalier Perrin, 3ème escadron – brigadier Pons –
cavalier Coste, 4ème escadron
Le 14 octobre, à Vieux-Berquin –
Blessé : brigadier Corrompt, 3ème escadron
Le 15 octobre, à Sailly-sur-la-Lys – Blessés :
capitaine Bizot-Espiard – cavalier Prost, 2ème escadron
Le 19 octobre, à Roulers – Tué : cavalier
Héraud, 2ème escadron
Blessé : cavalier
Donadieu
Le 20 octobre, à Oostniewkerke –
Blessé : cavalier Ferrière, 3ème escadron
Le 21 octobre, à Noordschoote – Blessé :
maréchal des logis Refregier, 4ème escadron - cavalier Girard, 4ème
escadron
Le 22 octobre, à Noordschoote – Tué :
cavalier Tramoy, 4ème escadron
Blessé : maréchal des
logis Beney, 4ème escadron
Le 25 octobre, à Frezenberg – Blessés :
chef d’escadrons Euller – lieutenant Douvry – lieutenant Lacoste
Maréchal des
logis Pelle – cavalier Chardon, E.M.
Cavalier
Lavedrine, 1er escadron
Cavaliers Paly –
Jourgeon – Noël, 2ème escadron
Cavalier Vernoux,
4ème escadron
Le 26 octobre, à Eksternest – Blessés : cavalier d’Hondt, 2ème
escadron – brigadier Bouvet, 4ème escadron
Le 28 octobre, à Eksternest – Tué :
cavalier Joye, 2ème escadron
Le 29 octobre, à Westhoeck – Blessé : lieutenant
Aucourt
Le 31 octobre, à Westhoeck –Tué : cavalier
Cluzel, 2ème escadron
Le 2 novembre, à Zonnebeke – Tués : chef
d’escadrons des Michels – brigadier Domeck – cavalier Planche, 2ème
escadron – maréchal des logis Dominget – cavalier Guyonnet, 4ème
escadron
Disparus présumés tués :
capitaine Boiron-Ebeling – capitaine
Sainte-Marie-Perrin – lieutenant de Prunelé – lieutenant de Ferre-Lagrange –
sous-lieutenant de Courville
1er escadron :
Adjudant Hochet
Maréchal des
logis de Tournade
Brigadiers :
Conel – Desgrez – Guichaerd – Bailleul – Palegry – Martin
Cavaliers :
Mossat – Perrier – Piolat – Boutaud – Cottin – Rittaud – Almaric – Deschatres –
Reuillet – Berthois – Petit – Brugère – Rabier – Jouve – Baylot – Galland –
Laurent
2ème escadron :
Adjudant Humbert
Maréchaux des
logis : Tonelli – Bernand – Rostaing
Brigadiers :
Salavin – Lardon – Potton – Allegret – de Goigny
Cavaliers : Mounneron
– Jacquemet – Cazeau – Cavillon – Chatelard – Bonnabeau – Four – De Roux –
Gande – Didier – Besançon – Durand – Escale – Vialle- Desvignes – Trachet –
Biessy – Fromain – Aubert – Duranton – Trouiller – Buiret – Merlery-Gaillard
3ème escadron :
Maréchaux des
logis : Girier – Roure – Chambet – Petit
Brigadiers :
Roche (F.)
Cavaliers :
Cartier – Couson – Forraz – Guillot (P.) – Lamy – Sadin – Rey – Guillemin
4ème escadron
Cavalier :
couturier – Lyonnet – Dubanchet (A.) – Lapique – Bidot – Guillerme – Dubanchet
– Allouard – Petit – Duret
Blessés :
capitaine de La
Marche – lieutenant de Pampelonne – sous-lieutenant Guerry
1er
escadron
Brigadier :
Payen
Cavaliers :
Simon – Lanza – Prost – Saulnier – Labonne – Rambaud – Gonin – Malley – Caruggi
– Bourget – Rival – Martinon – Ravier
2ème
escadron
Maréchal des
logis : Pierret
Brigadiers :
Tresca – Doron
Cavaliers :
François – Montagne – Messerchmitt
3ème
escadron:
Adjudant :
Misson
Maréchaux des
logis : de Paillette – Diochon – Girier – Rivière
Brigadiers :
Letellier – Gaudissart – Barthélémy – Julien – Roche (R.) – Bernard
Cavaliers :
Konrad – Olivier – Bouvier – Blanchard – Journet – Guillermin – Tourreaux –
Dubail – Dubois – Giroux – Forêt – Convert – Varado – Leveder – Guillot (C.L.)
– Bernardon – Breton – Passot – Didier – Montagny – Aimé – Gromier
4ème
escadron
Maréchal des
logis : Boisnard
Brigadiers :
Marcellin – Terasson – Lanoue
Cavaliers :
Sabarthez – Chames – Thibert – Despréaux – Boudon – Lombard – Milliard – Perret
– Guillermoz – Bouvier – Foray – Duceau – Vollerin – Cardeur
Disparus présumés blessés :
capitaine Mangin
– lieutenant de La Fay – sous-lieutenants : Chevin – Chabrier
1er
escadron
Maréchaux des
logis : Bouquet – de Christen – Richard – Quiot – Morel
Brigadiers :
Gay – Restègue – Bernard – Darrot – Ricard
Cavaliers :
Poulain – Joben – Chauffailles – Almoric – Aillaud – Thomas – Perrut – Chamard
– Charpentier – Frenea – Bidard – Martin – Perrin – Godet – Rigollet – Barbier
– Padovani – Cancre – Vallon – Clapisson – Gaillard – Varesquelles
2ème
escadron
Adjudant : Lacrotte
Maréchaux des
logis : Guichard – Gillet – Haurou – Kibler – Collin
Brigadiers :
Curtet – Ferréol – Stoss – André – Reynaud – Montagne (L.) – Ripert – Louvet
Cavaliers : Geay
– Johnnard – Weber – Berthier – Ravassot – Terrier – Girand – Mallot – Moussier
– Guillot © - - Dubessay – Curtet – Garonnaire – Malochet – Porte – Peurière –
de La Faverge – Laronze – Chassoulier – Lautier – Raymond
3ème
escadron
Brigadier :
Petraz
Cavaliers :
Ciseron – Robert – Giraudet – Jeantet – Nardy – Messirel
4ème
escadron
Maréchal des
logis : Delbosc
Brigadier :
Jallaquier
Cavaliers :
Millet – Jaccon – Coulon – Ricard – Rigollet – Cravero
ORDRE DE
LA 6ème D.C.N° 19
Le général commandant la 6ème division de
cavalerie est heureux d’adresser à toute la division ses bien vives
félicitations pour l’ardeur, l’énergie et l’endurance que tous ont montrées
depuis l’arrivée de la division dans le Nord de la France. Aux prises avec
l’ennemi dès son débarquement, la division, depuis quinze jours, a lutté avec
beaucoup d’énergie contre un ennemi très supérieur en nombre.
Le général tient à féliciter tout particulièrement
l’escadron de cavaliers à pied du capitaine de Benoist et les cadres qui le
commandent ; à peine constituée et organisée, cette unité a eu à livrer
aujourd’hui devant Paschendaele, un combat très violent, allant même jusqu’à
l’abordage.
Le général commandant la 6ème division de
cavalerie cite l’escadron à pied, à l’Ordre de la Division.
Le
général commandant la 6ème D.C.
Requichot
ORDRE DE
LA 6ème D.C. N° 32
Après les pertes cruelles que vient d’éprouver la 6ème
brigade de dragons, le général de division aurait vivement désiré apporter
lui-même, au nom de toute la division, au général Laperrine, ainsi qu’aux
vaillants 2ème et 14ème régiments de dragons, l’hommage
de son admiration et de sa fraternelle sympathie. Malheureusement, il ne peut
quitter son poste ; mais il est certain d’être l’interprète de tous, en
disant que la division est de cœur à Vlamertinghe.
La victoire ne peut être que le prix du sang :
et nos camarades tombés glorieusement, d’En Haut se réjouissent, en pensant
que, grâce à leur sacrifice, la victoire est proche et certaine.
Au
Q.G. Ypres, le 5 novembre 1914
Le
général commandant la 6ème D.C.
Requichot
ORDRE DU
9ème C.A.
Au moment où les 6ème et 7ème
D.C. cessent d’être sous ses ordres, le général commandant le 9ème C.A.
leur exprime ses regrets de se séparer d’aussi belles unités.
Il les remercie du concours que leurs escadrons et
batteries n’ont cessé de lui apporter dans la période de violents combats qui
viennent de se livrer autour d’Ypres, du 22 octobre au 15 novembre.
Par leur solidité dans les tranchées de première
ligne, dans des combats de jour et de nuit, les escadrons ont montré qu’ils
étaient à hauteur de toutes les missions et qu’ils se servaient de leurs
carabines, aussi vaillamment et aussi bien que la meilleure infanterie.
Il les complimente tous de leur belle attitude et
adresse des félicitations particulières aux 2ème et 14ème
dragons, aux deux groupes cyclistes et aux escadrons à pies Bouvier et Galard,
dont les pertes élevées témoignent des efforts qu’ils ont dû faire.
Le
général commandant le 9ème C.A.
Dubois
ORDRE DU
2ème C.C. N° 32
Sous le n° 2280, à la date du 17 novembre, le général
commandant le détachement d’armée de Belgique, écrit au général commandant le 2ème
corps de cavalerie :
Le 2ème corps de cavalerie n’a cessé de
rendre à l’armée, sous votre énergique impulsion, des services auxquels je suis
heureux de rendre hommage. Jour et nuit, au combat, depuis plus de trente
jours. Chefs et soldats ont rivalisé d’entrain et de dévouement.
Vos escadrons à pied, dans une tâche nouvelle pour
eux, ont fait preuve des plus solides qualités. Je compte que dans l’avenir,
comme dans le présent, cette troupe continuera à maintenir le bon renom qu’elle
s’est acquis.
A tout le 2ème corps de cavalerie, je
témoigne mon entière satisfaction.
Signé :
D’Urbal
Le général commandant le 2ème corps de
cavalerie est heureux de transmettre aux troupes placées sous ses ordres, les
félicitations qu’il a reçues du général commandant le détachement d’armée de
Belgique.
Ces félicitations font le plus grand honneur aux
chefs et aux soldats du 2ème C.C.
Ce sont eux qui les méritent, car pendant trente
jours de combats continus, ils ont résisté aux plus rudes épreuves, avec la volonté
inébranlable de remplir la mission qui leur était confiée.
La cavalerie française peut être justement fière des
combats de l’Yser ; ils sont dignes des plus brillants souvenirs de son
glorieux passé.
Au
Q.G. le 21 novembre 1914
Le
général commandant le 2ème C..C
De
Mitry
ORDRE
GENERAL N° 32
Depuis trois mois, les attaques violentes et
désespérées des Allemands, ont été impuissantes à nous rompre.
Partout, nous leur avons opposé une victorieuse
résistance.
Le moment est venu de profiter des faiblesses qu’ils
accusent ; alors que nous sommes renforcés en hommes et en matériel,
l’heure des attaques a sonné. Après avoir contenu l’effort des Allemands, il
s’agit maintenant de le briser et de libérer définitivement le territoire national
envahi.
Soldats ! La France compte plus que jamais sur
votre cœur, votre énergie, votre volonté de vaincre à tout prix.
Vous avez déjà vaincu sur la Marne, sur l’Yser, en
Lorraine et dans les Vosges.
Vous saurez vaincre encore jusqu’au triomphe
définitif.
Au
G.Q.G., le général commandant en chef
J.
JOFFRE
Est promu dans la LEGION D’HONNEUR AU GRADE D’OFFICIER :
Le chef
d’escadrons Euller
Sont nommés CHEVALIERS DE LA LEGION D’HONNEUR :
Le capitaine
Bizot-Espiard, commandant le 2ème escadron
(7 novembre 1914)
Le capitaine de
La Marche, commandant le 4ème escadron
(Ordre n° 439 « D », 8 décembre
1914)
Le
sous-lieutenant Guerry, 4ème escadron
(Ordre n° 554 « D », 26 janvier 1915)
Le chef
d’escadrons de La Maisonneuve, commandant le 1er demi-régiment
Le capitaine
Caulet, commandant le 2ème escadron
Le lieutenant de
Pampelonne,
(Ordre n° 805, « D », 17 avril 1915
Le lieutenant
Aucour Joseph
(Ordre 1563 « D », 17 septembre 1915)
LA
MEDAILLE MILITAIRE est conférée au :
Maréchal des logis
Vittet, 3ème escadron
(J.O. du 15
janvier 1915)
Maréchal des
logis Petrier, 4ème escadron
L’adjudant
François, de l’E.M.
(J.O. du 21
janvier 1915)
Le maréchal des
logis Pierret, 2ème escadron
(Ordre n° 805 « D », 17 avril 1915
Le cavalier
Rival, 1er escadron
(Ordre
n0 822, « D » du 24 avril 1915)
Le maréchal des
logis Stoss, 2ème escadron
(Ordre n° 1229
« D », 1er août 1915)
L’adjudant
Misson, 3ème escadron
(J.O. du 7
août 1915)
Est cité à
l’ORDRE DE L’ARMEE
Le capitaine
Sainte-Marie-Perrin
(Ordre n° 45, 8 janvier 1915)
Est cité à
l’ORDRE DU CORPS DE CAVALERIE
Le colonel
Schultz
(Ordre n° 37, 3 décembre 1914)
Sont cités
à l’ORDRE DE LA DIVISION
Le brigadier
Domeck, 2ème escadron
Le maréchal des
logis Tonelli, 2ème escadron
Les
cavaliers : Comte – Joye – Messerschmidt – François, 2ème
escadron
(Ordre n° 21, 24 octobre 1914)
Le colonel
Schultz
Le 2ème
escadron du 2ème dragons
(Ordre n° 27, 1er novembre 1914)
Le brigadier Bas
Le cavalier
Morellet (4ème escadron)
(Ordre n° 52, 28 janvier 1915)
Le
sous-lieutenant de Courville
Le maréchal des
logis chef Poirier, 4ème escadron
Le maréchal des
logis Colin, 2ème escadron
Le brigadier
Maillard, 4ème escadron
Le cavalier
Michel, 2ème escadron
Le cavalier
Maisonneuve, 4ème escadron
Le cavalier Mollard,
escadron à pied
(Ordre n° 81, 27 mai 1915)
Le cavalier
Forel, 3ème escadron
(Ordre n° 88, 17 juillet 1915)
Le cavalier
Duceau, 4ème escadron
(Ordre n° 177, 3 avril 1916)
Le cavalier
Perret
(Ordre n° 178, 31 mars 1916)
L’adjudant
Lacrotte
(Ordre n° 257, 14 janvier 1917)
Le brigadier
Bernard Victor
Ordre n° 259, 27 janvier 1917)
Sont cités
à l’ORDRE DU REGIMENT
L’adjudant
Bethbeze – le brigadier Eymard, 1er escadron
Le brigadier
Serre, les cavaliers Garonnaire – Malochet, 2ème escadron
Le brigadier
Perrier, 3ème escadron
Le maréchal logis
Marchiani, 4ème escadron
Les adjudants
Pasqualini, d’Hauteville, le maréchal des logis chef trompette Poujol, E.M.
(Ordre n° 10, 15 octobre 1914)
Le capitaine
Mouze – le capitaine Verots
L’adjudant Betbeze,
le brigadier Lambert, 1er escadron
Les
brigadiers : Tresca – Lasset – Grand - le cavalier François, 2ème
escadron
Le maréchal des
logis Achard – le cavalier Lefaure, 3ème
escadron
Le maréchal des
logis Boisnard – le cavalier Georgeon, 4ème escadron
(Ordre n° 14, 4 novembre 1914)
Le lieutenant de
Prunelé – le lieutenant Crozet de la Fay – le sous-lieutenant Chevin
Le brigadier
Payen, 1er escadron
Le maréchal des
logis Rostaing, 2ème escadron
Les maréchaux des
logis : Thomasset – Diochon – le brigadier Letellier, 3ème
escadron
Le maréchal des
logis Gaume – le brigadier Denis – le cavalier Bonnefond, 4ème
escadron
Le cavalier
Dubail, escadron à pied
(Ordre n° 37, 27 mai 1915)
Le lieutenant de
Ferre-Lagrange
Le brigadier
Roche – les cavaliers : Sadin – Montagny, 3ème escadron
(Ordre n° 43, 8 juillet 1915)
Le médecin-major
Baurrier
(Ordre du n° 57, 17 septembre 1915)
Le brigadier
Bernard, 1er escadron
Les
cavaliers : Guillermoz, 4ème escadron – Prost, 2ème
escaddron
(Ordre n° 36, 5 mars 1916)
Le brigadier
Lanoue, le cavalier Couturier, 4ème escadron
(Ordre n° 44, 2 avril 1916)
Les
cavaliers : Lombard – Sabartez, 4ème escadron
(Ordre n° 46, 4 avril 1916)
Le brigadier
Palegry, 1er escadron
(Ordre n° 71, 5 juin 1916)
Le cavalier
Despreaux, 4ème escadron
(Ordre n° 71, 5 juin 1916)
Le cavalier
Belantan, de l’escadron à pied
(Ordre n° 97, 21 juillet 1916)
Le cavalier
Mercier, 4ème escadron
(Ordre n° 97, 21 juillet 1916)
Le cavalier
Vollerin, 4ème escadron
(Ordre n° 71, 31 juillet 1917)
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