Historiques des régiments d’artillerie de campagne durant 14/18

N° 1 à 62

 

Mise à jour : Juillet 2024

 

Un régiment d'artillerie en 1914, c’est quoi ?

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Titre : 1e régiment d’artillerie de campagne (1e RAC) – 26 juin 1916, Verdun - Description : 1e régiment d’artillerie de campagne (1e RAC) – 26 juin 1916, Verdun

 

1e régiment d’artillerie de campagne (1e RAC) – 26 juin 1916, Verdun - #chtimiste

 

Le régiment d’artillerie de campagne (RAC) de 1914-1918 étaient généralement composés de 3 (voir 4) groupes d’artillerie. Chaque groupe disposait de 3 batteries de canons commandées par un capitaine. Une batterie disposait de 4 pièces (canons) de 75 mm.

L’artillerie française d’active comporte en 1914 :

--- 65 régiments d’artillerie divisionnaire (rattachés à une division d’infanterie) à 2 ou 3 groupes de 75 mm, total 36 canons :

--- 20 régiments de corps d’armée (rattachés à un corps d’armée) à 4 groupes de 75, total 48 canons.

--- 2 régiments de montagne.

--- 10 artilleries de divisions de cavalerie, 5 régiments d’artillerie lourde, 9 régiments d’artillerie à pied.

 

En 1914, tous ces régiments sont des régiments dits « montés », donc à cheval ; les transports par véhicules motorisés n’existant pratiquement pas.

A titre d’information, il y avait environ 1500 chevaux pour un régiment à 3 groupes.

La réorganisation entraine, en 1917, la création de plusieurs dizaines de nouveaux régiments numérotés de 201 à 276. (Les historiques de ces régiments d’artillerie sont visibles ici).

A partir 1917, avec la réorganisation, certain de ces régiments d’artillerie (montée) se transforment en artillerie portée, sur plate-forme, camions et autos-camions. Ce sont les RACP.

 

Chaque dépôt d’artillerie ou ville de garnison ont formés aussi des groupes d’artillerie dits de renforcement (groupe de réservistes), et des groupes d’artillerie territoriale et des groupes dits « de sortie ». Les historiques de ces différentes entités sont pour la plupart issus d’un travail fastidieux de lecture des JMO. Un travail de fourmi !

Sans compter avec les sections de munitions d’artillerie (SMA) et sections de munitions d’infanterie (SMI) qui, affectées administrativement à une unité d’artillerie, ne combattent pas systématiquement géographiquement avec cette unité…Elles sont rattachée soit à un corps d’armée, à une division d’infanterie, à un groupe d’artillerie…

 

RAC : régiment d’artillerie de Campagne - AD : Artillerie divisionnaire - AC : Artillerie de Corps.

Exemple : AD17 = artillerie de la 17e division d’infanterie.

 

 

 

 

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Choisissez le N° du régiment recherché :

10-20   20-30   30-40   40-50   50-62   201 à 276

Historique du 1er régiment d’artillerie de campagne (1e RAC)

Les 1e, 2e et 3e groupes d’artillerie (batteries 1 à 9)

Casernement en 1914 : Bourges. 8e brigade d’artillerie, artillerie de la 16e division d’infanterie. Composition : 3 groupes, 9 batteries de 75 (36 canons).

2 citations à l’ordre de l’armée, fourragère verte.

 

1914 : Sarrebourg (août), rive gauche de la Mortagne (fin août). Lorraine : La Mortagne, Clézentaine puis bataille des Hauts-de-Meuse (mi-sept.) : Sampigny, Saint-Mihiel, Koeur-la-Petite, cote 318, Mécrin, plateau de Liouville, Apremont, Bois d’Ailly (sept.-déc.).

 

1915 : secteur de : Saint-Mihiel (toute l’année) : bois Brûlé, bois d’Ailly, forêt d’Apremont.

 

1916 : forêt d’Apremont (janv.) puis bataille de Verdun (fév.-mars) : Douaumont, fort de Troyon (très nombreuses pertes, le régiment subit de plein fouet, l’attaque allemande). Les Éparges (avril-juil.).

Secteur de Tavannes (juil.), fort de Souville, fort de Tavannes (très nombreuses pertes) puis région de Nancy (sept.-nov.). Somme (déc.) : Berny-en-Santerre, Estrées.

 

1917 : forêt d’Argonne (janv.-mars) : Le Four-de-Paris.

Champagne : Offensive d’avril : Thuisy puis Moulainville, Haudiomont (mai-juil.) puis en (juil.-déc.) : Main de Massiges, Maison de Champagne.

 

1918 : Champagne : secteur de la Main de Massiges (janv.-juil.). Attaque allemande : Main-de-Massiges (mi-juil.).

Sud-ouest de Reims, ferme d’Écueil (août), La Vesle (2-5 août), Jonchery, Muizou, Pont-Givard, Amnencourt, Poilcourt, Vieux-lès-Asfeld, est de Nisy-le-Comte (oct.), Banogne, Recouvrance.

Un groupe du 1e régiment d’artillerie de campagne (batteries 23 à 25)

Ce groupe a été formé le 30 août 1914 à Bourges. Il constitue l'artillerie de la 58e division d’infanterie (AD58) avec un groupe du 3e RAC et un du 48e RAC. Ces 3 groupes n’auront donc pas les mêmes lieux de combats que le 1e RAC.

En avril 1917, il ira constituer le 248e RAC. Voir le 248e RAC pour le parcours de ce groupe depuis 1914.

Un nouveau groupe du 1e RAC (31e, 32e et 33e batteries)

Formé à Bourges début 1915 (composé en mars 1915 d’environ 15 officiers, 500 hommes, 500 chevaux et 70 voitures hippomobiles). Composé de 3 batteries (31e, 32e et 33e batt.), canons de 75mm. La 31e batterie est formée d’éléments du dépôt du 8e RAC, la 32e d’éléments de celui du 39e RAC, la 33 d’éléments de celui du 60e RAC.

Le groupe fait partie de l’artillerie divisionnaire de la 1e division du CEO (corps expéditionnaire d’Orient). Composition ici, page 6.

Puis en octobre 1915 du CED (corps expéditionnaire des Dardanelles), puis en janvier 1916 de la 17e division d’infanterie coloniale.

 

1915 : début 1915, constitution à Bourges. Constitution d’un corps expéditionnaire qui prend le nom, fin février, de corps expéditionnaire d’Orient (CEO).

Le groupe du 1e RAC fait partie de l’artillerie de la 1e division du CEO (avec un groupe du 8e RAC et 1 du 2e RAM).

Concentration et embarquement à Marseille (début mars). Transport sur l’île de Lemnos, Grèce (mars). Puis transport à Alexandrie, Égypte (avril).

Expédition des Dardanelles (mai-déc.) : bataille de Sedd-Ul-Bahr, Eski. Bataille de Krithia. Kéréves Déré (août-déc.).

En octobre le CEO devient le CED (corps expéditionnaire des Dardanelles). Le groupe du 1e RAC fait donc partie de l’artillerie de la 1e division du CED (avec un groupe du 8e RAC et un du 25e RAC).

 

1916 : à partir du 1e janvier, évacuation des Dardanelles, jusqu’au 9 janvier.

Le groupe est embarqué à Sedd ul Bahr (Dardanelles, Turquie) et arrive à Moudros (Grèce) le 9 janvier 1916, puis à Salonique en février.

La 17e division d’infanterie coloniale est créée le 9 janvier. Le groupe du 1e RAC en constitue l’artillerie divisionnaire avec 2 autres groupes (un du 8e RAC et un du 47e RAC).

Secteur du Vadar (fév.-mars) : Kara-Azmak, Kayali, Karasouli. Hirsova, Hilinder (mars).

Vilindi, ravin du Gola (juil.), cote 217. Nord de Lioumnitsa (août). Secteur de Nonté, Mahala, Mayadag (sept.-déc.).

 

1917 : Monastir, Florina. Secteur de la region Rapéch-Bernik

En avril 1917, le groupe deviendra le 1e groupe d’artillerie du 201e RAC. Voir >>> ici <<< le 201e RAC.

Sections de munitions d’artillerie et sections de munitions d’infanterie (SMA et SMI) du 1er régiment d’artillerie de campagne :

Elles ne sont pas toutes rattachées directement au régiment. Elles n’ont donc pas exactement le même parcours exposé ci-dessus. On peut citer :

10ème, 11ème, 12ème, 13ème et 14ème sections de munitions d’artillerie du 1er régiment d’artillerie de campagne :

En août 1914, elles sont rattachées au 8ème corps d’armée.

3ème et 4ème sections de munitions d’infanterie du 1er régiment d’artillerie de campagne :

En août 1914, elles sont rattachées au 8ème corps d’armée.

Historique du 2ème régiment d’artillerie de campagne (2e RAC)

 

Une partie du train régimentaire du 2e régiment d’artillerie de campagne, juin 1915.

(200 photos – Charles DEVANT)

 

Les 1e, 2e et 3e groupes d’artillerie (batteries 1 à 9)

Casernement en 1914 : Grenoble. 14e brigade d’artillerie, artillerie de la 27e division d’infanterie. Composition : 3 groupes, 9 batteries de 75 (36 canons).

 

1914 : Lorraine : Haute Meurthe. Bataille de la Marne (6–13 sept.) : Saint Rémy. Somme : Vermandovillers, Chaulnes, Lihons (sept.-oct.).

1915 : bataille de Champagne (sept.).

1916 : bataille de Verdun : Douaumont, Bois de la Lauffée, Vaux, Chesnois (juil.-oct).

1917 : Aisne : Bataille de la Malmaison (fin oct.).

1918 : Alsace. Secteur de Belfort. Monts des Flandres françaises et belges. Champagne.

 

Lire le carnet de guerre de Charles DEVANT, officier d’approvisionnement au 2e régiment d’artillerie de campagne. Ici

Groupe de renforcement du 2e régiment d’artillerie de campagne

Ce groupe du 2e RAC, formé à Grenoble, est l’un des groupes qui forment l’artillerie de la 64e division d’infanterie (AD64) depuis août 1914. Il n’aura donc pas les mêmes lieux de combats que le 2e RAC. En 1917, il deviendra le 1e groupe du 202e RAC, batteries 21 à 23

1914 : Garde des Alpes (début août) : Gap, Embrun. Lorraine : Secteur de Bayon, Saffais, Belchamp. Champenoux. Secteur de Flirey (oct.-déc.) : Seicheprey, Richecourt, Saint Baussand, Montsec, bois de Mort-Mare.

1915 : Secteur de Flirey (janv.-oct.) : même secteur. Champagne (oct.) : Souain, ferme Navarin. Région de Toul (nov.-janv.1915) : Toul, Lucey

1916 : Secteur de Flirey, Saint–Agnant. (janv.-mai). Verdun (juin-oct.) : bois Bourrus, Avocourt, Mort-Homme, Thiaumont, ouvrage de Thiaumont.

Verdun (nov.-janv. 1917) : bois Camard, cote 304.

1917 : En avril 1917 Ce groupe d’artillerie devient le 1e groupe du 202e RAC, batteries 21 à 23. Voir le 202e RAC.

Un groupe du 2e régiment d’artillerie (batteries n° 41 à 43)

Ce groupe du 2e RAC (à 2 batteries, puis 3 en 1916), formé à Grenoble, est l’un des groupes qui forment l’artillerie de la 74e division d’infanterie (AD74) depuis sept. 1914. Il n’aura donc pas les mêmes lieux de combats que le 2e RAC. En 1917, il deviendra le 1e groupe du 254e RAC, batteries 21 à 23.

1914 : regroupement à Lyon. Les batteries se complètent avec des éléments du 54e RAC.

Roville-sur-Bayon, Xermaménil, Jolivet (sept.). Croixmare. Faubourg de Nancy et secteur de Lunéville.

Lorraine, Rehainviller. Forêt de Parroy (nov.-déc.).

1915 : Lorraine (toute l’année) : Moncel, Crio. Secteur entre Avricourt et Arracourt, Réchicourt-la-Petite, Coincourt, Ley. Bois Zeppelin, Avricourt.

1916 : Le 11 mars, une troisième batterie arrive au groupe à Frouard (54). Créée au dépôt du 2e RAC, elle porte le N° 43

Secteur Pont-à-Mousson–Armaucourt, Nomeny (fév.-août). Verdun (sept.-oct.) : Vaux-Chapître, ferme Dicourt, bois Fumin. Dompcevrin, bois Loclont (déc.-janv.17)

1917 : Verdun (fév.-mars) : Bois des Caurières, Louvemont, ferme des Chambrettes. Le 1e avril, Le groupe devient le 1e groupe du 254e RAC, batteries 21 à 23. Voir le 254e RAC

Le 8e groupe du 2e régiment d’artillerie de campagne (batteries n° 58 à 60)

Le 8e groupe (58e, 59e et 60e batteries) du 2e RAC a été créé le 1e avril 1915 (*) à Boucq (54).

Il est équipé de canons de 90 mm. Ils constituent (avec le 7e groupe du 2e RAC) l'artillerie du 31e corps d’armée (AC31), créée en avril 1915. Ces 2 groupes (7e et 8e) n’auront donc pas les mêmes lieux de combats que le 2e RAC.

(*) : Attention le JMO de ce 8e groupe comporte une erreur de date. Il s’agit en effet du 1e avril 1915, pas 1916, comme l’indique le JMO (ici). D’ailleurs en page 4, on retrouve la bonne chronologie.

 

Parcours du 8e groupe (histo 259e RAC, 2e gp.) :

1915 : 1e avril : création.

Rangeval (55), Bouconville, bois des Chanoines, fort de Lionville, Beaumont. Secteur d’Apremont et de Loupimont (mai-juin).

Rambucourt, La Hazelle (juil.-déc.).

1916 : Woëvre (janv.-août) : Rambucourt, bois des Chanoines, Rangeval, Beaumont, La Voisogne.

Grosrouvre, Sanzey. Secteur de Saint-Mihiel (oct.-déc.) : bois des Paroches, ferme du Louvent, Rupt-en-Woëvre. Le 8e groupe s’équipe de canons de 75 et passe à l’AD 170 en décembre 1916.

1917 : Le groupe part à Port d’Atelier et Seyes (Haute-Saône), mi-janvier pour se reformer et échanger ses canons de 90 par des canons de 75mm.

Alsace (fév.) : Gildviller, Falkviller. Soppe-le-Bas, Diefmatten (mars).

Le 1e avril, le groupe ira constituer le 2e groupe du 259e régiment d’artillerie de campagne. Pour voir le parcours de ce groupe, dès avril 1917, consulter le 259e RAC.

Le 7e groupe du 2e régiment d’artillerie de campagne (batteries n° 61 à 63)

Le 7e groupe du 2e RAC (61e, 62e et 63e batteries, puis renommées 52e, 53e et 54e) a été créé le 1e avril 1915. Les hommes proviennent des 3e, 12e, 14e, 25e, 38e, 44e, 46e RAL et des 3e, 5e, 6e, RAL. Les canons viennent de la transformation en batteries montées de 3 batteries de positions déjà en ligne sur le front de la 73e DI et provenant une du 5e bataillon d’artillerie de position de Verdun, une du 6e de Toul et d’une du 8e d’Épinal. Ils ont été rassemblés à Manouville (54). Il est équipé de canons de 90 mm.

Ils constituent (avec le 8e groupe du 2e RAC) l'artillerie du 31e corps d’armée (AC31), créée en avril 1915. Ces 2 groupes (7e et 8e) n’auront donc pas les mêmes lieux de combats que le 2e RAC. Ce 7e groupe deviendra 3e groupe de l’AC31, puis 3e groupe du 202e RAC, batteries 27 à 29.

JMO page 14

Ce groupe s’équipe de canons de 75 et passe à l’AD64 en oct. 1916 et ira constituer le 3e groupe du 202e RAC en avril 1917.

 

1915 : Le Quart-en-Réserve, ferme du Puits, bois le Prêtre, bois de Puvenelle.

1916 : Woëvre (janv.-août) : Rambucourt, bois des Chanoines, Rangeval, Beaumont, La Voisogne

Verdun (nov.-janv. 1917) : bois Camard, cote 304.

Pour voir le parcours du 7e groupe, dès avril 1917, consulter le 202e RAC.

La 104e batterie du 2e régiment d’artillerie de campagne

Date de création ? Elle sera intégrée au 202e régiment d’infanterie à partir d’août 1914. Consulter le 202e RAC.

Le 124e  batterie du 2e régiment d’artillerie de campagne

Date de création : Juin 1916. 146 hommes et 83 chevaux (puis de nombreux renfort en juin). Elle fait partie de l’artillerie de la 76e division d’infanterie (AD76)

1916 : Épinal, Lépanges. Vosges (juin-nov.) La Chapelotte, La Bolle, bois en Y, La Forain, Le Violu, Graingoutte. Gerbéviller (déc.), Gerbéviller, Florémont.

1917 : En janvier, la batterie est transformée en artillerie d’Orient – Des artilleurs partent pour les 54e et 210e RAC (qui va être créé) et des hommes sont intégrés dans le groupe de l’artillerie de corps de la 76e division d’infanterie.

Sections de munitions d’artillerie et sections de munitions d’infanterie (SMA et SMI) du 2ème régiment d’artillerie de campagne :

Elles ne sont pas toutes rattachées directement au régiment. Elles n’ont donc pas exactement le même parcours exposé ci-dessus. On peut citer :

5ème, 6ème, 7ème, 8ème et 9ème sections de munitions d’artillerie du 2ème régiment d’artillerie de campagne :

En août 1914, elles sont rattachées au 14ème corps d’armée.

16ème section de munitions d’artillerie du 2ème régiment d’artillerie de campagne :

En septembre 1914, elle est rattachée au 31ème corps d’armée (ancien corps d’armée général DÉLÉTOILE).

42ème et 43ème sections de munitions d’artillerie du 2ème régiment d’artillerie de campagne :

En mars 1916, elles sont rattachées au 34ème corps d’armée (ancien groupement des Vosges en 1914).

1ère et 2ème sections de munitions d’infanterie du 2ème régiment d’artillerie de campagne :

En août 1914, elles sont rattachées au 14ème corps d’armée.

15ème section de munitions d’infanterie du 2ème régiment d’artillerie de campagne :

En septembre 1914, elle est rattachée au 31ème corps d’armée (ancien corps d’armée général DÉLÉTOILE).

Carnet de guerre de soldats de ce régiment

Lire le carnet de guerre de Charles DEVANT, officier d’approvisionnement au 2e régiment d’artillerie de campagne. Ici

Historique du 3ème régiment d’artillerie de campagne (3e RAC)

Les 1e, 2e et 3e groupes d’artillerie (batteries 1 à 9)

Casernement en 1914 : Carcassonne, Castres. 16e brigade d’artillerie, artillerie de la 32e division d’infanterie(AD32). Composition : 3 groupes, 9 batteries de 75 (36 canons).

 

1914 : Mattaincourt, Hymont, Xermaménil, Lamath. Avricourt (16/08), Azoudange, Rhodes, Bisping, Rorbach. Vého, Gerbevillers, Clayeures (24/08). Noviant-aux-Prés. Aisne (oct.) : Bourg-et-Comin. Bataille des Flandres : secteur de Wytschaete, Groot-Vierstraat (nov.-déc.)

1915 : Secteur d’Arras (janv.) : Mont-Saint Éloi. Champagne : Bois Sabot (fév.-mars), Mont Têtu, butte de Tahure (avril-déc.). Moronviller.

1916 : Verdun : Fleury-sous-Douaumont (août).

1917 : ?

1918 : Nampcel, Coucy-le-Château (mai-juin), La Serre (oct.-nov.).

Le groupe de canons de 80 du 3e régiment d’artillerie de campagne

Un groupe équipé de canons de 80 mm du 3e RAC a été créé durant la guerre. (Date ?)

Il a rejoint, en mai 1916, 2 groupes du 28e RAC et combattra avec eux, mais restera sous l’appellation 3e RAC, jusqu’en avril 1917. À cette date, il prendra officiellement le nom de 3e groupe du 28e RAC. Pour voir son historique à partir de mai 1915, voir le 28e RAC.

Un groupe du 3e régiment d’artillerie de campagne (batteries 24 à 26)

Ce groupe a été formé le 30 août 1914 à Carcassonne. Il constitue l'artillerie de la 58e division d’infanterie (AD58) avec un groupe du 1e RAC et un du 48e RAC. Ces 3 groupes n’auront donc pas les mêmes lieux de combats que le 3e RAC.

En avril 1917, il ira constituer le 248e RAC. Voir le 248e RAC pour le parcours de ce groupe depuis 1914.

41e et 42e batterie du 3e régiment d’artillerie de campagne

Un groupe est formé en mars 1915, de 2 batteries du 3e RAC (41e et 42e) de 6 canons de 95 mm.

Le personnel, en grande majorité originaire du sud de la France, était composé de territoriaux et de réservistes provenant des dépôts et des sections de munitions. Fait partie de l’AD153, puis de l’AC38 en juin 1915.

 

1915 : instruction en mars à Castres et Montpellier. Camp de la Courtine (avril-mai), puis camp de Mailly (mai). Secteur de Reims (juin) : bois en « V » et bois en Gril, Saint Léonard, Taissy, La Roseraie.

Le 22 juin 1915, le groupe devient élément constitutif de l’artillerie du 38e corps d’armée (AD38), avec le groupe du 30e RAC et un groupe du 34e RAC. Il deviendra ensuite élément du 214e RAC.

Pour suivre son parcours après juin 1915, voir le 214e RAC  >>> ici <<<.

Sections de munitions d’artillerie et sections de munitions d’infanterie (SMA et SMI) du 3ème régiment d’artillerie de campagne :

Elles ne sont pas toutes rattachées directement au régiment. Elles n’ont donc pas exactement le même parcours exposé ci-dessus. On peut citer :

5ème, 6ème, 7ème, 8ème et 9ème sections de munitions d’artillerie du 3ème régiment d’artillerie de campagne :

En août 1914, elles sont rattachées au 16ème corps d’armée.

1ère et 2ème sections de munitions d’infanterie du 3ème régiment d’artillerie de campagne :

En août 1914, elles sont rattachées au 16ème corps d’armée.

41ème section de munitions d’infanterie du 3ème régiment d’artillerie de campagne :

En mars 1916, elle est rattachée au 34ème corps d’armée (ancien groupement des Vosges en 1914).

Carnet de guerre de soldats de ce régiment

Lire le carnet de guerre de Jean PICOU, maréchal-des-logis-chef du 3e régiment d’artillerie, déclaré non-mort pour la France

Historique du 4ème régiment d’artillerie de campagne (4e RAC)

 

 

12e régiment d’artillerie de campagne (12e RAC)

Sous-officiers des 1e, 4e et 12e régiments d'artillerie à Taverny, 27 avril 1915 - #chtimiste

Les 1e, 2e et 3e groupes d’artillerie (batteries 1 à 9)

Casernement en 1914 : Remiremont (1er-3e batt.) et Besançon (4e-9e batt.). 7e brigade d’artillerie, artillerie de la 41e division d’infanterie (AD41). Composition : 3 groupes, 9 batteries de 75 (36 canons).

 

1914 : Opérations d’Alsace : Mulhouse (août), Roderen, Aspach (16 août), Saint-Dié (22 août).

Vosges : Ormont, Spizenberg (fin août–début sept.).

1915 : Vosges : col de la Chapelotte (fév.- mars), le Ban-de-Sapt, la Fontenelle (mars–mai).

1916 : Bataille de la Somme : bois de Hem, bois de Riez, Monacu, Bouchavesnes (juil.-sept.).

1917 : Marne : Loivre (avril), Berméricourt (mai).

1918 : Flandres belges : Locre (mai). La Vesle, Oulchy-le-Château, Butte Chalmont, Saponay, Roulers, Audemars.

Le 4e groupe du 4e régiment d’artillerie de campagne (batteries n° 21 à 23) :

Un 4e groupe (21e, 22e et 23e batteries) du 4e RAC a été créé durant la guerre. Il constitue l’artillerie de la 71e division d’infanterie (AD71), avec deux groupes du 62e RAC. Ces 3 groupes n’auront donc pas les mêmes lieux de combats que le 4e RAC. En avril 1917, ces 3 groupes iront constituer le 262e régiment d’artillerie de campagne.

Pour voir le parcours de ces groupes, dès 1914, voir le 262e RAC.

Un groupe d’artillerie à cheval du 4e régiment d’artillerie de campagne (batteries n° 10 à 12) :

Affecté à la 8e division de cavalerie. Détaché à l’AC39 en août 1916. Passe à l’AD 168 en décembre 1916. JMO ici

1914 : Bataille de Mulhouse (août), Remiremont. La Marne (sept.) : secteur de Provins, Amifontaine, Prouvais. Picardie (oct.) : Gommecourt, Monchy-au-Bois, secteur d’Hannescamps et de Berles-au-Bois (oct.-déc.)

1915 : Champagne (janv.-mai) : Prosnes, Les Marquises, Prunay. Juvigny, Vraux, Baconnes (juil.). Secteur de Saint-Dizier (août). Champagne (sept.-oct.) : Perthes-lès-Hurlus, Somme-Tourbe.

1916 : Lorraine (oct.1915-fév.) : secteur entre Arracourt et le Sânon. Vézelise (mars). Pont-Saint-Vincent, forêt de Parroy (avril-juil.). La 8e division de cavalerie est dissoute en août 1916 et le groupe est transformé en groupe de campagne et est détaché à l’artillerie du 9e corps d’armée (AC39).

Entre la Moselle et l’étang de Wargévaux, Limey, Lanfroicourt (nov.), Brin.

1917 : Ville-au-Val, Jarville.

La 10e batterie devient la 21e batterie du 233e RAC, la 11e devient la 22e du 233e RAC et la 12e devient la 23e du 233e RAC. Voir le 233e RAC.

La 101e batterie de bombardiers du 4e régiment d’artillerie de campagne :

Date de création ? Elle est équipée de canons de 58 mm. Elle sera dédoublée en avril 1916 pour former les 101e et 121e batteries du 4e RAC.

-Nouvelle 101e batterie : parcours ?

-121e batterie : devient 103e batterie du 49e RAC en octobre 1917, puis devient, en avril 1918, la 2e batterie du nouveau 175e régiment d’artillerie de tranchée.

La 122e batterie de bombardiers du 4e régiment d’artillerie de campagne :

Date de création ? Elle est équipée de canons de 58 mm.

Sections de munitions d’artillerie et sections de munitions d’infanterie (SMA et SMI) du 4ème régiment d’artillerie de campagne :

Elles ne sont pas toutes rattachées directement au régiment. Elles n’ont donc pas exactement le même parcours exposé ci-dessus. On peut citer :

SMA :

2ème section de munitions d’artillerie du 4ème régiment d’artillerie de campagne :

Elle est issue, par changement d’appellation et fusion des 2ème et 3ème SMA du 34e RAC qui sont elles-même issues des 24e et 25ème SMA du 53e RAC à la 41ème division d’infanterie jusque la fin de la guerre.

5ème, 7ème, 8ème et 9ème sections de munitions d’artillerie du 4ème régiment d’artillerie de campagne :

En août 1914, elles sont rattachées au 7ème corps d’armée.

6ème section de munitions d’artillerie du 4ème régiment d’artillerie de campagne :

En août 1914, elle est rattachée au 7ème corps d’armée. Puis en juin 1915, elle est rattachée au 37ème corps d’armée.

SMI :

1ère section de munitions d’infanterie du 4ème régiment d’artillerie de campagne :

En août 1914, elle est rattachée au 7ème corps d’armée. Puis en avril 1917, elle est rattachée à la 41ème division d’infanterie jusque la fin de la guerre.

2ème section de munitions d’infanterie du 4ème régiment d’artillerie de campagne :

En août 1914, elle est rattachée au 7ème corps d’armée.

Historique du 5e régiment d’artillerie de campagne (5e RAC)

Les 1e, 2e, 3e et 4e groupes d’artillerie (batteries 1 à 12)

Casernement en 1914 : Besançon. 7e brigade d’artillerie, artillerie du 7e corps d’armée.

Composition : 4 groupes (puis 2 en fév. 1915), 12 batteries de 75 (48 canons). 70 officiers, 186 sous-officiers, 1940 hommes du rang, 2083 chevaux.

Trois citations à l’ordre de l’armée, fourragère verte.

 

1914 : Opérations d'Alsace : Mulhouse (août). Belfort, Dornach, Reiningen.

Bataille de la Marne (1-13 sept.) : Harbonnières, Attainville, Fontenay-en-Parisis, Brégy, Douy-la-Ramée (04/09), Villers-Cotterêts, Vic-sur-Aisne, Port-Fontenoy, secteur d’Ambleny, Fontenoy (20/09).

Le régiment reste dans ce secteur jusque 1915.

1915 : Soissons, Vignoles, ferme de la Carrière-l’Évêque.

Fin février, le 1e et le second groupe du 5e RAC sont désignés pour créer l’artillerie divisionnaire de la 48e division d’infanterie (avec un groupe de renforcement du 19e RAC, batteries 24, 25 et 26, qui garde son entité au 19e  RAC). La suite de cet historique succinct ne concerne donc que ces 3 groupes.

Les 3e et 4e groupes, quant à eux, passent comme artillerie de la 121e division d’infanterie (AD121), nouvellement formée. Ils constitueront (avec un groupe du 30e RAC) le nouveau 205e RAC. Pour la suite du parcours de ces groupes voir le 205e RAC.

 

La suite ne concerne donc que les 1e et 2e groupes du 5e RAC et le groupe du 19e RAC.

Champagne : Mesnil-lès-Hurlus (mars). Meuse : tranchée de Calonne, carrefour des Trois-Jurés (avril-mai). Artois (mai-juin) : Ouvrages Blancs, bois Carré, Aix-Noulette. Aisne (juil.-sept.) : Fontenoy, Vaux, Ambleny. Oise : Montdidier, position du Disque Rouge (sept.). Champagne (sept.-oct.) : Souain, tranchée des Vandales.

1916 : Givry-en-Argonne, Montzéville (fév.), Bois Bourrus, fort de Marre.

Bataille de Verdun : Cumières, Chattancourt, Marre (mars). Bois de la Caillette, Thiaumont (avril). Bois Bourru. Forts de Saint Michel et de Souville, secteur de Douaumont (avril-mai). Secteur de Reims (juin), fort de la Pompelle, Sillery.

Bataille de la Somme : Bois de Hem, Monacu, Bouchavesnes (juil.-sept.), ferme de Monacu, l’Écluse, Frise.

Secteur de Nancy (oct.-avril 1917), Custine, Ville-au-Val.

1917 : Marne : Mont Blond, Cornillet (avril). Main de Massiges (juin).

Récicourt, Givry-en-Argonne (juil.). Verdun (août) : bois Bourrus, côte du Talou.

1918 : Secteur de Nancy (sept.), Moncel, ferme de Rozebois, Les Servantes, Custine. Pargny-sur-Meuse (mars). Secteur de Compiègne : Choisy, La Plessis-Brion. Secteur de Soissons.

Attaque sur le Matz (juin) : Wacquemoulin, Menevilliers, ferme de la Garenne-Saint-Maur.

Aisne : Longpont, Villers-Hélon, Oulchy-le-Château (juil.), bois de Mauloy, Plessier-Huleu, Grand-Rozoy.

Thury-en-Valois (août), offensive de l’Ailette (sept.), Blérancourt, ferme Beauvoir, Franc-Val. Ouest de Vouziers, Tahure, Tourcelles, Loizy (oct.), Yoncq.

Le 5e groupe du 5e régiment d’artillerie de campagne

Un 5e groupe du 5e RAC, canon de 90, a été créé à Besançon en décembre 1915. Ce sont en majorité des réservistes du 5e RAC. Il constitue l'artillerie de la 133e division d’infanterie (AD133) avec le 6e groupe du 5e RAC et le 8e groupe du 29e RAC.

Ces 3 groupes n’auront donc pas les mêmes lieux de combats que le 5e RAC. Ils garderont leurs numéros respectifs et combattront ensemble sous leur N° d’origine jusqu’en avril 1917. À cette date ces 3 groupes iront constituer le 265e régiment d’artillerie de campagne.

Pour voir le parcours de ce groupe, dès 1916, consulter le 265e RAC.

Le 6e groupe du 5e régiment d’artillerie de campagne

Un 5e groupe du 5e RAC, canon de 90, a été formé avec 2 batteries de canons de 90 (qui étaient à Belfort depuis oct. 1914) en juin 1915. Ce sont en majorité des réservistes du 5e RAC. Il constitue l'artillerie de la 133e division d’infanterie (AD133) avec le 5e groupe du 5e RAC et le 8e groupe du 29e RAC.

Ces 3 groupes n’auront donc pas les mêmes lieux de combats que le 5e RAC. Ils garderont leurs numéros respectifs et combattront ensemble sous leur N° d’origine jusqu’en avril 1917. À cette date ces 3 groupes iront constituer le 265e régiment d’artillerie de campagne.

Pour voir le parcours de ce groupe, dès 1916, consulter le 265e RAC.

2 groupes de renforcement du 5e RAC (batteries 27 à 29 et batt. 41 à 43).

Deux groupes de renforcement ont été créés durant la guerre. Ce sont en majorité, les réservistes du 5e RAC.

Les deux groupes (27e, 28e et 29e batteries pour l’un, et 41e, 42e et 43e batteries pour l’autre) composent constitue l’artillerie de la 57e division d’infanterie (AD57), avec un groupe du 47e RAC. Ces 3 groupes n’auront donc pas les mêmes lieux de combats que le 5e RAC. Ils garderont leurs numéros respectifs et combattront ensemble sous leur N° d’origine jusqu’en avril 1917. À cette date ces 3 groupes iront constituer le 204e régiment d’artillerie de campagne.

Pour voir le parcours de ce groupe, dès 1914, consulter le 204e RAC.

32e batterie du 5e RAC

Cette batterie a été mobilisée à Saint Claude (Jura). Elle va constituer une partie du 2e groupe de l’artillerie de la 70e DI à partir de 1914. En avril 1917, elle entrera dans la composition du 208e RAC. Pour son parcours à partir de 1914, voir le 208e RAC  >>>  ici  <<<.

Groupe du 5e RAC canons de 95, (batteries 44 à 47, puis 44 à 48 et 50)

Caserné à Besançon (25) en août 1914. Ce sont les 4 batteries (44 à 47) de la place de Besançon, composées en majorité de territoriaux et de réservistes.

Fin septembre il est décidé de créer une 5e batterie qui portera le n° 48. Les batt. 44 et 45 (équipés initialement de canons de 90) formeront un groupe équipé de canons de 95. Les batt. 46, 47 et 48e (équipés initialement de canons de 75) formeront un autre groupe mais équipés de canons de 90mm. L’effectif est complété par des artilleurs des 4e, 5e, 47e RAC et du 10e RAP.

 

---> Batteries 44 et 45 (puis en mars 1915 : 44e, 45e et 50e batt.), canons de 95mm. :

1914 : Formation en canons de 95 (début oct.). Vierzy, Coeuvres, Tartiers, Vailly,

1915 : Pasly, Pommiers, secteur de Soissons (jusque fin 1915). Le 20 mars 1915, une batterie de canons de 95, arrive du 13e RAC. Le groupe sera donc à 3 batt. à partir de cette date. En juin cette batterie (ex 13e RAC) sera nommée « 50e batterie (du 5e RAC) » (page17.26N913/12), Le groupe de ces 3 batteries fait partie de l’artillerie du 37e corps d’armée (corps d’armée créé en juin 1915).

1916 : En février le groupe remplace ses canons de 95 par du 75. Saint-Thierry, bois de Gernicourt, bois des Buttes, Bourg-et-Comin.

En décembre, le groupe passe à l’artillerie divisionnaire 153e DI (AD153). En avril 1917, il deviendra le 260e RAC. Le suivre ici.

 

---> Batteries 46 à 48, canons de 90mm :

1914 : Formation en canons de 90 (début oct.) et création de la 48e batterie. Champagne (oct.-déc.) : Suippes, moulin de Souain, Butte du Mesnil.

1915 : Champagne (janv.-nov.) : Butte du Mesnil, Mesnil-lès-Hurlus, Perthes, Mont Cornillet.

En nov. 1915, le groupe est rattaché au 7e corps d’armée et devient l’un de ses groupes d’artillerie. En 1917, il deviendra le 2e groupe du

247e RAC. Suivre son parcours à partir de 1916, voir >>> ici  <<<

49e batterie du 5e RAC

Créée en août 1914 à partir de la 23e section de munitions d’artillerie du 5e RAC.

Elle deviendra la 49e batterie du 62e RAC (nov.1915), puis 9e batt. du 101e RAL (mai 1916), puis 4e batt. du 102e RAL.

Sections de munitions d’artillerie et sections de munitions d’infanterie (SMA et SMI) du 5ème régiment d’artillerie de campagne :

Elles ne sont pas toutes rattachées directement au régiment. Elles n’ont donc pas exactement le même parcours exposé ci-dessus. On peut citer :

SMA :

2ème et 3ème sections de munitions d’artillerie du 9ème régiment d’artillerie de campagne :

Les « 2ème et 3ème SMA » du 5ème RAC (à confirmer?) sont rattachée à la 48ème division d’infanterie en juin 1917.

26ème section de munitions d’artillerie du 5ème régiment d’artillerie de campagne :

En mars 1916, elle est rattachée au 34ème corps d’armée (ancien groupement des Vosges en 1914).

SMI :

1ère section de munitions d’infanterie du 5ème régiment d’artillerie de campagne :

Une « 1ère SMI » (à confirmer?) du 5ème RAC est rattachée à la 48ème division d’infanterie en juin 1917.

Historique du 6ème régiment d’artillerie de campagne (6e RAC)

Casernement en 1914 : Valence (9 batteries de 75) et Grenoble (10e -12e bat.). 14e brigade d’artillerie, artillerie du 14e corps d’armée. Composition : 4 groupes, 12 batteries de 75 (48 canons). Les 4 groupes ont eu des parcours différents :

1e groupe (batteries 1 à 3)

Il compose, dès août, l’artillerie du 14e corps d’armée (AC14). Il passe à l’artillerie de la 44e division d’infanterie (AD44) le 2 septembre 1914 (il forme son 5e groupe JMOAD77page18). Puis à l’AD77 en octobre 1914, et y reste durant toute la guerre. A cette date, l’AD77 est composé de ce 1e groupe du 6e RAC, de 2 batteries du 6e RAC (29e et 30e), de la 31e batterie du 58e RAC, de 2 batteries du 38e RAC (29e et 30e) et la 31e batterie du 9e RAC.

Au total 3 groupes, historique :

 

1914 : Vosges (août-sept.) : Badonvilliers, Le Donon, (août). Crête de Walzcheid. Artois (oct.-déc.) : Secteur d’Arras, Beaurains, Tilloy-les-Mofflaines, Saint Nicolas, Sainte Catherine. Bois de Berthonval (nov.).

1915 : Offensive d'Artois : Mont-Saint-Éloi, Maroeil, Écoivres, bois des Alleux, cimetière de Souchez, Cabaret Rouge (juin). Artois : Souchez, cote 119 (sept.), Carency.

1916 : Artois (janv.-fév.) : même secteur. Verdun (fév.-mars) : secteur de Vaux-Douaumont. Secteur de Flirey, Thiaucourt (juin). Bataille de la Somme (août-nov.) : Méricourt, Flaucourt, Herbécourt.

1917 : Chemin des Dames (janv.-juil.) : Ambleny, Gorgny, Montaigu, Vézaponin (mars).

Le 1e avril, les 3 groupes forment officiellement le 6e RAC. Les batteries des 2e et 3e groupes changent de numéros :

Les 29e/6, 30e/6 et 31e/9 du 2e groupe deviennent les 4e, 5e et 6e du 6e RAC. Les 29e, 30e du 38e et la 31e du 58e deviennent 7e, 8e et 9e batteries du 6e RAC.

Coucy-le-Château, Braye-en-Laonnois. Alsace (sept.-déc.) : Ballersdorf, Hagenbach.

1918 : Le Plessis-de-Roye (avril), Ressons-sur-Matz, château de Plessis, Lassigny (mai). Marne (juil.) : Igny-le-Jard, Cournas. Flandres (oct.) : Staden, moulin d’Hoithoeck, Gravère.

2e groupe (batteries 4 à 6)

Compose, dès août, l’artillerie de l’AC14.

1914 : Vosges : col du Bonhomme, Steige, Sainte-Marie-aux-Mines, Urbeis. Alsace : Saales, Schirmeck, Raon-l’Étape, Croix-Idoux (31/08-04/09), Corne du Lys, col d’Anosel. Somme (sept.-déc.) : Fay, Chaulnes, Bray, Le Quesnoy.

1915 : Somme (janv.-août) : Chaulnes, Bray, Le Quesnoy.

En août, les 2e et 4e groupes du 6e RAC passent à l’AD154 (avec un groupe du 53e RAC qui arrivera en février 1916) et constitueront en 1917 le 266e RAC. Suivre ce groupe au sein du 266e RAC à partir de septembre 1915.

3e groupe (batteries 7 à 9)

Compose, dès août, l’artillerie de l’AC14.

1914 : Vosges : col du Bonhomme, Sainte-Marie-aux-Mines, Urbeis. Alsace : Saales, Shirmeck, Raon-l’Étape, Croix-Idoux (31/08-04/09). Somme (sept.-déc.) : Chaulnes, Bray, Le Quesnoy.

1915 : Somme (janv.-août) : Chaulnes, Bray, Le Quesnoy. Champagne (sept.-nov.) : sud de Perthes, Trou Bricot.

Le 3e groupe passe à l’AD122 en décembre 1915, en partance pour l’armée d’Orient. Il formera le 241e RAC en avril 1917. Voir ici son parcours au sein du 241e RAC à partir de janvier 1916.

4e groupe (batteries 10 à 12)

Compose, dès août, l’artillerie de l’AC14.

1914 : Vosges : col du Bonhomme, Plaine, Sainte-Marie-aux-Mines, Urbeis. Alsace : Saales, Shirmeck, Raon-l’Étape, Croix-Idoux (31/08-04/09), Corne du Lys, col d’Anosel. Somme (sept.-déc.) : Chaulnes, Bray, Le Quesnoy.

1915 : Somme (janv.-août) : Chaulnes, Bray, Le Quesnoy.

En août, les 2e et 4e groupes du 6e RAC passent à l’AD154 (avec un groupe du 53e RAC qui arrivera en février 1916) et constitueront en 1917 le 266e RAC. Suivre ce groupe au sein du 266e RAC à partir de septembre 1915.

Nouveau groupe du 6e RAC (batteries 13 à 15)

Le 1e juin 1915, un groupe de 3 batteries est constitué par :

-- La 2e batterie du 1e régiment d’artillerie de montagne (RAM).

-- La 2e batterie du 2e RAM.

-- La 4e batterie du 2e RAM. Ces batteries (originaires de Nice, de l’AD75) arrivées au 14e CA fin septembre 1914 sont équipées de canons de 65 (puis de 90). Elles font partie de l’AC14. Le 1e juin 1915, ces 3 batteries sont transformées en 1 groupe de canons de 75mm et intégrées et nommées 6e RAC. (JMO 206e RAC 26N1024/1)

Ce nouveau groupe de 6e RAC (13e, 14e et 15e batteries) formera les 21e, 22e et 23e batteries du 206e RAC en avril 1917, avec un groupe du 20e RAC. Voir le parcours des batterie du 6e RAC avant avril 1917 : - la 13e batterie - la 14e batterie - la 15e batterie - Voir son parcours après avril 1917 (206e RAC).

Un groupe de 2 batteries (batteries 27 et 28) (JMO.AD77)

Ces batteries sont cantonnées à Saint Péray (près de Valence, Drome).

Les 27e et 28e batt. (avec la 30e batt. du 53e RAC) composent le 1e groupe d’artillerie de l’AD44 puis de l’AD76.

1914 : Vosges (sept.) : la Chipotte, Raon-l’Etape. Région de Toul (fin sept.). Sud-est de Saint Mihiel : Flirey, Bouconville, Saint-Agnant, Rambucourt.

1915 : Sud-est de Saint Mihiel : est de Flirey (mars), Seicheprey. Woëvre (avril-mai) : bois de Mort-Mare. Saint-Agnant (oct.-déc).

1916 : Lucey. Meuse (mars) : Ligny-en-Barrois. Bataille de Verdun (mars-avril) : Béthincourt, bois d’Avocourt, Malancourt, bois Carré.

Ligny-en-Barrois, Void (mai-juin). Vosges (juin-nov.) : col de Sainte-Marie, la Chapelotte, col du Bonhomme.

1917 : Les batteries iront constituées le 274e RAC et partiront en Orient. Voir le 274e RAC pour le parcours à partir de 1917.

Un groupe de 2 batteries (batteries 29 et 30) (JMO.AD77)

Ces batteries sont cantonnées à Saint-Péray (près de Valence, Drome)

Les 29e et 30e batt. (avec la 31e batt. du 9e RAC) composent le 2e groupe d’artillerie de l’AD44 puis de l’AD77.

Ce groupe formera avec le 1e groupe du 6e RAC l’AD77 jusque la fin de la guerre. Pour voir le parcours de ce groupe : voir le 1e groupe (batt. 1 à 3) du 6e RAC.

Un groupe (6e groupe) de 2 batteries (batteries 41 et 42) (JMO.AD77)

Ce groupe est issu de Valence. Chaque batterie possède 6 canons de 95mm.

1914 : Belgique (nov.-déc) : Bixschoote, Canal de l’Yser, ouest de Boesinghe, Zillebecke

1915 : même secteur.

1916 : même secteur jusqu’en oct. 1916. Somme (nov.) : nord d’Estrées, Ablaincourt, Feuillères. En nov., le groupe est équipé de canons de 120mm. . Le groupe passe à l’AD166 en décembre 1916

1917 : Les batteries iront constituées le 234e RAC et partiront en Orient. Voir le 234e RAC pour le parcours à partir de 1917.

Sections de munitions d’artillerie et sections de munitions d’infanterie (SMA et SMI) du 6ème régiment d’artillerie de campagne :

Elles ne sont pas toutes rattachées directement au régiment. Elles n’ont donc pas exactement le même parcours exposé ci-dessus. On peut citer :

10ème, 11ème, 12ème, 13ème et 14ème sections de munitions d’artillerie du 6ème régiment d’artillerie de campagne :

En août 1914, elles sont rattachées au 14ème corps d’armée.

3ème sections de munitions d’infanterie du 6ème régiment d’artillerie de campagne :

En août 1914, elle est rattachée au 14ème corps d’armée.

4ème section de munitions d’infanterie du 6ème régiment d’artillerie de campagne :

En août 1914, elle est rattachée au 14ème corps d’armée. Puis fin septembre 1914, elle est rattachée au 32ème corps d’armée (ancien groupement général HUMBERT).

Historique du 7ème régiment d’artillerie de campagne (7e RAC)

Les 1e, 2e et 3e groupes d’artillerie (batteries 1 à 9)

Casernement en 1914 : Rennes. 10e brigade d’artillerie, artillerie de la 19e division d’infanterie. Composition : 3 groupes, 9 batteries de 75 (36 canons).

 

1914 : bataille de Guise (fin août). Bataille de la Marne : Boissy-le-Repos (sept.).

1915 : Offensive d’Artois (mai-juin) : Point du Jour, Bailleul-Sir-Berthoult.

1916 : bataille de Verdun : Bois d’Avocourt, Mort-Homme, Cumières (fév.-avril) puis FroideTerre, Thiaumont (juil.-oct).

1917 : Marne : Mont Blond, Le Cornillet (mai), Verdun : cote 344 (août).

1918 : Attaque de l'Aisne (juin), Longpont, Villers-Hélon (juil.).

Une batterie (non numérotée) du 7ème régiment d’artillerie de campagne

Formée au dépôt du 7e RAC, début 1915, équipée de canons de 90, cette batterie va combattre au sein du 36e corps d’armée.

Elle n’aura donc pas les mêmes lieux de combats que le 7e RAC. Les soldats garderont leurs numéros respectifs et combattront ensemble sous leur N° d’origine jusqu’en avril 1917, où elle ira constituer le 270ème régiment d’artillerie de campagne.

Pour voir le parcours de cette batterie, dès 1915, consulter le 270e RAC.

Les 21e, 22e et 23e batteries du 7e RAC

Ces 3 batteries ont été mobilisées à Rennes. Elles vont constituer le 1e groupe de l’artillerie de la 60e DI à partir de 1914.

En avril 1917, elle entrera dans la composition du 207e RAC.

Pour son parcours à partir de 1914, voir le 207e RAC  >>>  ici  <<<.

Sections de munitions d’artillerie et sections de munitions d’infanterie (SMA et SMI) du 7ème régiment d’artillerie de campagne :

Elles ne sont pas toutes rattachées directement au régiment. Elles n’ont donc pas exactement le même parcours exposé ci-dessus. On peut citer :

5ème, 6ème, 7ème, 8ème et 9ème sections de munitions d’artillerie du 7ème régiment d’artillerie de campagne :

En août 1914, elles sont rattachées au 10ème corps d’armée.

1ère et 2ème sections de munitions d’infanterie du 7ème régiment d’artillerie de campagne :

En août 1914, elles sont rattachées au 10ème corps d’armée.

Carnet de guerre de soldats de ce régiment

Souvenir de guerre de Laurent COUAPEL, soldat au 7e d’artillerie.

Historique du 8ème régiment d’artillerie de campagne (8e RAC)

Les 1e, 2e et 3e groupes d’artillerie (batteries 1 à 9)

Casernement en 1914 : Nancy et Lunéville. 20e brigade d’artillerie, artillerie de la 11e division d’infanterie pour 3 groupes (9 batteries de 75) stationné à Nancy et les 10e et 11e batteries à cheval sont rattachées à la 2e division de cavalerie, à Lunéville.

 

1914 : bataille de Morhange : Morhange (août). Lorraine : Vitrimont (sept.). Bataille des Flandres (nov.).

1915 : Offensive d’Artois (mai-juin), bataille de Champagne : Attaque du bois et de la Butte du Mesnil (sept.).

1916 : bataille de Verdun : Bois de Malancourt, Mamelon d’Haucourt, cote 104, bataille de la Somme : Curlu, Haudecourt (juil.).

1917 : Chemin des Dames (avril).

1918 : Cutry, Fosse-en-Bas (juin), plateau de Pernant (juil.), Nazareth.

Un nouveau groupe du 8e RAC (31e, 32e et 33e batteries)

Regroupé à Bourges début 1915 (composé en mars 1915 d’environ 15 officiers, 500 hommes, 500 chevaux et 70 voitures hippomobiles). Composé de 3 batteries (31e, 32e et 33e batteries).

Le groupe fait partie de l’artillerie divisionnaire de la 1e division du CEO (corps expéditionnaire d’Orient). Composition ici, page 6.

Puis en octobre 1915 du CED (corps expéditionnaire des Dardanelles), puis en janvier 1916 de la 17e division d’infanterie coloniale.

 

1915 : début 1915, constitution à Bourges. Constitution d’un corps expéditionnaire qui prend le nom, fin février, de corps expéditionnaire d’Orient (CEO).

Le groupe du 1e RAC fait partie de l’artillerie de la 1e division du CEO (avec un groupe du 1e RAC et 1 du 2e RAM).

Concentration et embarquement à Marseille (début mars). Transport sur l’île de Lemnos, Grèce (mars). Puis transport à Alexandrie, Égypte (avril).

Expédition des Dardanelles (mai-déc.) : bataille de Sedd-Ul-Bahr, Eski. Bataille de Krithia. Kéréves Déré (août-déc.).

En octobre le CEO devient le CED (corps expéditionnaire des Dardanelles). Le groupe du 8e RAC fait donc partie de l’artillerie de la 1e division du CED (avec un groupe du 1e RAC et un du 25e RAC).

 

1916 : à partir du 1e janvier, évacuation des Dardanelles, jusqu’au 9 janvier.

Le groupe est embarqué à Sedd ul Bahr (Dardanelles, Turquie) et arrive à Moudros (Grèce) le 9 janvier 1916, puis à Salonique en février.

La 17e division d’infanterie coloniale est créée le 9 janvier. Le groupe du 8e RAC en constitue l’artillerie divisionnaire avec 2 autres groupes (un du 1e RAC et un du 47e RAC).

Secteur du Vadar (fév.-mars) : Kara-Azmak, Kayali, Karasouli. Hirsova, Hilinder (mars).

Vilindi, ravin du Gola (juil.), cote 217. Nord de Lioumnitsa (août). Secteur de Nonté, Mahala, Mayadag (sept.-déc.)

 

1917 : Monastir, Florina. Secteur de la région Rapéch-Bernik

En avril 1917, le groupe deviendra le 1e groupe d’artillerie du 201e RAC. Voir >>> ici <<< le 201e RAC.

21e, 22e et 23e batterie du 8e RAC.

Ces 3 batteries de Nancy ont été mobilisées à Écouvres (54) début août 1914. Elles vont constituer le 1e groupe de l’artillerie de la 70e DI à partir de 1914. En avril 1917, elles entreront dans la composition du 208e RAC. Pour son parcours à partir de 1914, voir le 208e RAC  >>>  ici  <<<.

Sections de munitions d’artillerie et sections de munitions d’infanterie (SMA et SMI) du 8ème régiment d’artillerie de campagne :

Elles ne sont pas toutes rattachées directement au régiment. Elles n’ont donc pas exactement le même parcours exposé ci-dessus. On peut citer :

10ème, 11ème, 12ème, 13ème et 14ème sections de munitions d’artillerie du 8ème régiment d’artillerie de campagne :

En août 1914, elles sont rattachées au 20ème corps d’armée.

3ème et 4ème sections de munitions d’infanterie du 8ème régiment d’artillerie de campagne :

En août 1914, elles sont rattachées au 20ème corps d’armée.

Carnet de guerre de soldats de ce régiment

Lire le carnet de guerre de Léopold REY du 8e régiment d’artillerie de campagne.

Historique du 9ème régiment d’artillerie de campagne (9e RAC)

puis 9e RACP

Les 1e, 2e, 3e et 4e groupes d’artillerie (batteries 1 à 12)

Casernement en 1914 : Castres. 16e brigade d’artillerie, artillerie du 16e corps d’armée (AC16). Composition : 4 groupes, 12 batteries de 75 (48 canons).

 

1914 : Opérations d'Alsace (fin août) : Mirecourt, Moussey, Cuttigny, Morhange, canal des Salines, ferme Mahon, Rémenonville (début sept.), Einvaux, Moreviller, Gerbéviller. Woëvre (oct.) : bois du Jury. Belgique (nov.-fév. 1915) : secteur d’Ypres, Saint-Éloi, Mont Kemmel.

1915 : Champagne (fév.-mai) : bois Sabot, le Trapèze, butte du Mesnil.

En juin, les 2e et 4e groupes sont dissocié du régiment pour former l’artillerie de la 16e division coloniale. Ces 2 groupes iront ensuite constituer le 209e RAC en avril 1917. Pour suivre ces 2 groupes à partir de juil. 1915, voir le 209e RAC.

Ils sont remplacés par 2 groupes de canons de 90, l’un provenant du 38e RAC, nouveau 2e groupe, l’autre de l’artillerie territoriale du 9e RAC (44e, 45e et 46e batteries).

Champagne (août-déc.) : Main de Massiges, Ville-sur-Tourbe.

1916 : Les 2e et 4e groupes : secteur de Soissons (janv.-juil.)

Les 1 et 3e groupes : secteur de Reims (janv.-juil.) : bois Franco-Allemand, Ville-aux-Bois. Soissons en juil. (1e groupe)

Le 3e groupe va combattre auprès de l’armée britannique dans la Somme début juillet : Frise, Biaches, Barleux (août-sept.).

Les 2e et 4e groupes : Verdun (juil.-août) : Thiaumont, Fleury. 1e, 2e et 4e groupes : Avocourt (sept.), Argonne (oct.-déc.).

Le 3e groupe quitte définitivement détaché et le régiment et part à l’AD161, en octobre 1916. Il deviendra le 267e RAC en avril 1917. Suivre le parcours du 267e RAC >>> ici  <<<.

Le 4e groupe (ancien du 38e) part à l’AD164, en novembre 1916. Il deviendra le 232e RAC en avril 1917. Suivre le parcours du 232e RAC >>> ici  <<<.

Le régiment ne possède plus que 2 groupes d’artillerie. Les canons de 90 sont remplacés par du 75mm.

1917 : Verdun (janv.-août) : Cote 304, Mort-Homme, Avocourt. Béthincourt, Forges (sept.).

En nov., le régiment est transformé en régiment de campagne d’artillerie portée (RACP). Les chevaux sont remplacés par des tracteurs et des camions. Les 2 groupes se transforment en 3 groupes autotractés. Le régiment devient le 9e RACP.

1918 : Belfort, Alsace (janv.-fév.) : Gwenheim, Aspach-le-Bas. Oise (avril-mai) : Montdidier, Welles, Pérennes, Ferrières, Cantigny, Coullemelles.

Secteur d’Amiens (juin-juil.) : Royaucourt, Castel. Aubevillers, Sauvillers, Mailly-Raineval, Anival (fin juil.). Somme (août) : bois St Hubert, Querbigny, Grivilers, Parvillers. Champagne (sept.-oct.) : Butte du Mesnil, Morel, sud de Vouziers.

Un groupe de renforcement du 9e régiment d’artillerie de campagne (batteries n° 27 à 29)

Ce groupe du 9e RAC, canon de 75, a été formé et rassemblé à Castres en août 1914. Ce sont en majorité des réservistes du 9e RAC.

Il constitue en août 1914 l'artillerie de la 66e division d’infanterie - AD66 - avec un groupe du 56e RAC et un du 3e RAC. En janvier 1915, il passe à l’AD 47.

Ce groupe n’aura donc pas les mêmes lieux de combats que le 9e RAC. Il gardera son numéro respectif et jusqu’en avril 1917, avant de devenir le 3e groupe du 256e RAC.

1914 : Transport à Belfort (15/08). Vieux Charmont (25). Vers Mulhouse. Bataille d’Alsace (fin août) : Brunstatt, Flaxlanden.

Secteur de Montbéliard, Delle. Gérardmer (11/09). Vosges : Occupation d’un secteur entre le col du Bonhomme et la Fave : Lesseux, Thann, Tête du Voilu, Tête de Faux.

1915 : Vosges (toute l’année) : Plainfaing, La Schlucht, Steinbach, Metzeral, Richackerkopf, Le Linge

1916 : Vosges (janv.-mars) : Metzeral, Vallée de la Lauch.

En avril 1917. Ce groupe devient le 3e groupe du 256e RAC. Voir le 256e RAC

Un groupe de canons de 95mm du 9e régiment de campagne :

Rassemblé et formé à Castres en nov. 1914, avec des hommes provenant des 3e, 18e, 57e et 56e régiments d’artillerie. Fait partie de l’artillerie de la 85e division territoriale.

Formé de 2 batteries (48e et 49e) à 3 canons de 95 mm chacune. Il fera partie de l’ADT85, puis de l’AC35, puis du 203e RAC.

 

1914 : Grenoble (déc.-mi-janv.1915) : formation au champ de tir du Drac.

1915 : Secteur de Soissons (janv.-mars) : Acy, Chacrise, Venizel, Billy, Septmonts. Le 23 mars les 2 batteries sont transformées en 3 batteries (la batterie N° 50 est formée, mais créée administrativement que le 21 août)

Secteur de Vic-sur-Aisne, blockhaus du Lézard (avril-mai). Taillefontaine, Montaigu.

Le 20 mai 1915, le groupe quitte la 85e DIT (qui est dissoute) est devient le 1e groupe de l’AC35, composé de 2 groupes (avec un groupe de 95 du 37e RAC).

Oise (juin-nov.) : Ferme du Touvent, Quennevières, Puisieux

En juillet 1915, les 2 batteries de canons de 95 mm sont transformées en 3 batteries de canons de 75.

1916 Secteur de Liancourt. Somme (juin-nov.) : Estrée, Belloy-en-Santerre, Berny-en-Santerre, bois du Satyre, Soyécourt, Ablaincourt.

1917 Secteur de Berny-en-Santerre (janv.-fév.).

En avril 1917, la 48e batterie du 9e RAC devient 24e batterie du 203e RAC, la 49e devient 25e du 203e RAC, la 50e devient 26e, la 51e devient 27e, la 52e devient 28e, la 53e devient 29e. Ce groupe devient donc second groupe du 203e RAC. Suivre  >>> ici <<< le 203e RAC

La 31e batterie du 9e régiment d’artillerie de campagne

Formée à Castres en août 1914. Composition 174 officiers, sous-officiers et hommes de troupe, 165 chevaux.

Elle embarque à Castres le 9/08/1914, pour rejoindre à Guilherand (près de Valence, Drôme), les 29e et 30e batteries du 6e RAC avec lesquelles elle formera le second groupe de l’artillerie de la 44e puis 77e division d’infanterie.

Elle n’aura donc pas les mêmes lieux de combats que le 9e RAC. Les soldats garderont leurs numéros respectifs et combattront ensemble sous leur N° d’origine jusqu’en avril 1917. A cette date, cette batterie prendra finalement le nom de 6e batterie du 6e RAC en avril 1917.

Pour voir le parcours de cette batterie, dès 1915, consulter le 1e groupe du 6e RAC.

Un groupe d’artillerie territoriale (44e, 45e et 46e batterie) du 9e RAC

Ces trois batteries sont composées de territoriaux. Ce groupe est formé à Perpignan. Elle constitue l’AD96T avec un groupe du 38e RAC.

Parcours de 1914 à 1916 de la - 44e batterie45e batterie46e batterie -

En juin 1915, il ira rejoindre le 9e RAC pour remplacer un groupe qui partira former le 209e RAC. Voir la suite du parcours >>>  ici  <<<

Sections de munitions d’artillerie et sections de munitions d’infanterie (SMA et SMI) du 9ème régiment d’artillerie de campagne :

Elles ne sont pas toutes rattachées directement au régiment. Elles n’ont donc pas exactement le même parcours exposé ci-dessus. On peut citer :

SMA :

16ème section de munitions d’artillerie du 9ème régiment d’artillerie de campagne :

Canons de 90 mm. En janvier 1915, elle est rattachée au 35ème corps d’armée.

23ème et 25ème sections de munitions d’artillerie du 9ème régiment d’artillerie de campagne :

En août 1914, elles sont rattachées à la 37ème division d’infanterie. En juillet 1915, elles sont rattachées au 35ème corps d’armée. En juin 1917, elles sont transformées en 2ème et 3ème SMA du 5ème RAC ( ?) et rattachée à la 48ème division d’infanterie.

24ème section de munitions d’artillerie du 9ème régiment d’artillerie de campagne :

En août 1914, elle est rattachée à la 37ème division d’infanterie.

SMI :

21ème section de munitions d’infanterie du 9ème régiment d’artillerie de campagne :

En août 1914, elle est rattachée à la 37ème division d’infanterie. Puis en janvier 1916, elle est rattachée à la 48ème division d’infanterie

22ème section de munitions d’infanterie du 9ème régiment d’artillerie de campagne :

En août 1914, elle est rattachée à la 37ème division d’infanterie. Puis en juillet 1915, elle est rattachée au 35ème corps d’armée. En juin 1917, elle est transformée en 1ère SMI du 5ème RAC ( ?) et rattachée à la 48ème division d’infanterie.

Carnet de guerre de soldats de ce régiment

Lire le carnet et les lettres de guerre de Louis GRÈS de la 24ème section de munitions d’artillerie (SMA) de 75mm du 9ème régiment d’artillerie.

Historique du 10ème régiment d’artillerie de campagne (10e RAC)

Les 1e, 2e et 3e groupes d’artillerie (batteries 1 à 9)

Casernement en 1914 : Rennes, Dinant. 10e brigade d’artillerie, rattaché à la 20e division d’infanterie. Composition : 3 groupes, 9 batteries de 75 (36 canons).

2 citations à l’ordre de l’armée, fourragère verte

 

1914 : Charleroi (août) : Leroux, Falisolles, Florennes, Oret (24/08), forêt de Chimay, retraite.

Bataille de Guise (28-30 août) : Lesourd, Colomfay, Saint-Richaumont, retraite sur Sézanne (Marne, 05/09).

Bataille de la Marne (7-9/09) : Sézanne, Thoult, Clos du Roi puis secteur de Reims : Sillery, Reims, La Neuvillette, Les Cavaliers de Courcy (jusque fin sept.).

Artois (oct.) : Arras, Boisleux-Saint-Marc, (2-6 oct.), Ficheux, Dainville, cote 105, Fielleux, secteur d’Arras jusqu’en déc.

1915 : Artois (janv.-mars) : secteur d’Arras, Écurie, bataille d’Artois de mai (Vimy, Thélus) et juin (le Labyrinthe).

Argonne (juil.-déc.) : Bois de La Gruerie.

1916 : Argonne (janv.-juin) puis Somme (juil.-déc.) : Méharicourt, Chilly (sept.), pertes importantes puis secteur de Lihons (oct.-déc.).

1917 : Tilloloy, Ham (mars), Tugny, Pont, ferme Bourgies puis Champagne (avril) : Moronvilliers, le Casque, Le Téton, bois de la Grille en mai, Le Cornillet.

Verdun : (juin-oct.) : bois de la Caillette, carrières d’Haudromont, cote 344, côte du Poivre.

Les Hauts-de-Meuse, Les Éparges (nov.-déc.).

Le 14 juillet 1917, le 10e RAC envoie un détachement à Paris pour le défilé ; il est un des rares régiments d'artillerie qui ont l'honneur de défiler avec leur étendard à travers les rues de la capitale.

1918 : secteur des Éparges, fort de La Marne, tranchée de Calonne (janv.-mars) puis Verdun (mars-mai) : Les Chambrettes, bois des Caurières, abri 320, ravin de la Dame, côte du Poivre.

Marne : Épernay (mai), Chapelle-Hurlay, bois Tronqué, plateau de la Défense, Mareuil-le-Port, Jaulgonne (juin) puis Orbay-l’Abbaye, Évry, Comblisy (attaque allemande de juillet), ferme Le Hallais, ferme de la Bourdonnerie, est de Dormans (fin juillet), ferme Coupigny, Fismes.

Vosges (sept.-nov.) : Saint-Dié, Corcieux.

Une batterie (non numérotée) du 10ème régiment d’artillerie de campagne

Formée au dépôt du 10e RAC, début 1915, équipée de canons de 90, cette batterie va combattre au sein du 36e corps d’armée. Elle n’aura donc pas les mêmes lieux de combats que le 10e RAC. Les soldats garderont leurs numéros respectifs et combattront ensemble sous leur N° d’origine jusqu’en avril 1917, où elle ira constituer le 270e régiment d’artillerie de campagne.

Pour voir le parcours de cette batterie, dès 1915, consulter le 270e RAC.

Les 24e, 25e et 26e batteries du 10e RAC

Ces 3 batteries ont été mobilisées à Dinan. Elles vont constituer le 2e groupe de l’artillerie de la 60e DI à partir de 1914. En avril 1917, elle entrera dans la composition du 207e RAC.

Pour son parcours à partir de 1914, voir le 207e RAC  >>>  ici  <<<.

Sections de munitions d’artillerie et sections de munitions d’infanterie (SMA et SMI) du 10ème régiment d’artillerie de campagne :

Elles ne sont pas toutes rattachées directement au régiment. Elles n’ont donc pas exactement le même parcours exposé ci-dessus. On peut citer :

10ème, 11ème, 12ème, 13ème et 14ème sections de munitions d’artillerie du 10ème régiment d’artillerie de campagne :

En août 1914, elles sont rattachées au 10ème corps d’armée.

3ème et 4ème sections de munitions d’infanterie du 10ème régiment d’artillerie de campagne :

En août 1914, elles sont rattachées au 10ème corps d’armée.

Historique du 11e régiment d’artillerie de campagne (11e RAC)

puis 11e RACP

Les 1e, 2e, 3e et 4e groupes d’artillerie (batteries 1 à 12)

Casernement en 1914 : Rouen (4 groupes, 12 batteries de canons de 75), 3e brigade d’artillerie, artillerie du 3e corps d’armée (AC3), 5e armée.

1 citation à l’ordre de l’armée (1/09/1918).

 

1914 : Ardennes : nord de Rethel (début août). Retraite de Charleroi (24/08 au 05/09) : Longs Bois, Binche, Salles, Momignies. Marne : Nesle-le-Repons.

Bataille de la Marne : ferme Les Fourneaux, Corribert, Courgivaux (6 sept.) Montceaux-lès-Provins, ferme Champfleury (7 sept.), Montmirail, ferme Mont Coupot (8 sept.). Aisne : secteur du fort de Brimont, Corroy, Cormicy (oct. à déc.).

1915 : Aisne : secteur du fort de Brimont, Corroy, Cormicy (janv. à mai 1915).

En juillet 1915, les 3e et 4e groupes, passent comme artillerie de la 130e division d’infanterie (AD130), nouvellement formée. Ils constitueront (avec un groupe du 28e RAC) le nouveau 211e RAC. Pour la suite du parcours de ces 2 groupes voir le 211e RAC.

Artois (mai à oct.) : sud-ouest d’Arras, cimetière de Saint-Vaast (juil.), crête de Vimy (sept.), bois de la Folie. Somme (oct. à déc.) : Rosières-en-Santerre, Lihons, Framerville.

1916 : Somme (janv. à mars) : Maucourt, Lihons, Framerville. Soissons (mars) : Ambleny, Sacy. Verdun (avril-mai) : Tavannes, crête St Michel, Douaumont (22/05), Les Éparges (juin-mars 1917).

1917 : Les Éparges (jusque mars). Chemin des Dames (avril) : Carroy-Cormicy, plateau de Madagascar (juin à août).

Secteur de Saint-Quentin (sept.-janv. 1918) : Castres, Maissemy.

1918 : En janv.-mars, le régiment est transformé en régiment de campagne d’artillerie portée (RACP). Les chevaux sont remplacés par des tracteurs et des camions. Les 2 groupes se transforment en 3 groupes autotractés. Le régiment devient le 11e RACP.

Secteur de Craonne-Pontavert (mars -avril), Butte-aux-Vents, Juvincourt, bois Marteau, Clausade.

Secteur de Roye-sur-Matz (2-9 mai 1918), Godenvillers (25-27 mai). Offensive allemande (27 mai) : Vic-sur-Aisne, Villers-Hélon (29/05), Grand-Rozoy, Neuilly, Saint-Front, Latilly, Chézy-en-Orxois. Offensive allemande (15 juil.), Monthurel, bois de Condé, ferme des Grèves, ferme des Boisets.

28 juillet : ferme L'Hérolle, Le Charmel, Vincelles.

Bataille de l'Aisne (14 août-6 sept.) : Vic-sur-Aisne, la Maladrerie, moulin Pinchelin. Champagne (26 sept.-2 nov.) : Hurlus, Perthes-lès-Hurlus, la Croix-Musart, Orfeuil, La Croix-Gille, Quilly. Octobre : Condé-les-Vouziers, Vouziers.

Une batterie (non numérotée) du 11e régiment d’artillerie de campagne

Formée au dépôt du 11e RAC, début 1915, équipée de canons de 90, cette batterie va combattre au sein du 36e corps d’armée. Elle n’aura donc pas les mêmes lieux de combats que le 11e RAC. Les soldats garderont leurs numéros respectifs et combattront ensemble sous leur N° d’origine jusqu’en avril 1917, où elle ira constituer le 270e régiment d’artillerie de campagne.

Pour voir le parcours de cette batterie, dès 1915, consulter le 270e RAC.

Groupe de renforcement du 11e régiment d’artillerie de campagne

Un groupe de renforcement du 11e RAC, a été créé à Voulpaix (Aisne) en août 1914. Ce sont en majorité des réservistes.

Il constitue l'artillerie de la 53e division d’infanterie (AD53) avec un groupe du 22e RAC et un du 43e RAC. Ces 3 groupes n’auront donc pas les mêmes lieux de combats que le 11e RAC. En avril 1917, ces 3 groupes iront constituer le 243e régiment d’artillerie de campagne.

Pour voir le parcours de ce groupe, dès 1914, consulter le 243e RAC.

Sections de munitions d’artillerie et sections de munitions d’infanterie (SMA et SMI) du 11ème régiment d’artillerie de campagne :

Elles ne sont pas toutes rattachées directement au régiment. Elles n’ont donc pas exactement le même parcours exposé ci-dessus. On peut citer :

SMA :

16ème section de munitions d’artillerie du 11ème régiment d’artillerie de campagne :

En mars 1916, elle est rattachée à la 46ème division d’infanterie. Puis en avril 1917, elle devient 23ème SMA du 227ème régiment d’artillerie de campagne.

23ème section de munitions d’artillerie du 11ème régiment d’artillerie de campagne :

En août 1914, elle est rattachée à la 53ème division d’infanterie.

SMI :

24ème et 25ème sections de munitions d’artillerie du 11ème régiment d’artillerie de campagne :

En août 1914, elles sont rattachées à la 53ème division d’infanterie. Puis en avril 1917, elles deviennent 24ème et 25ème SMA du 243e RAC.

21ème section de munitions d’infanterie du 11ème régiment d’artillerie de campagne :

En août 1914, elle est rattachée à la 53ème division d’infanterie et y restera jusqu’en avril 1917 où elle devient la 21ème SMI du 243ème RAC.

22ème section de munitions d’infanterie du 11ème régiment d’artillerie de campagne :

En août 1914, elle est rattachée à la 53ème division d’infanterie.

Carnet de guerre de soldats de ce régiment

Carnet de route d’Octave-Alphonse ROGER du 11e d’artillerie

Historique du 12ème régiment d’artillerie de campagne (12e RAC)

 

12e régiment d’artillerie de campagne (12e RAC) – 1913 - #chtimiste

 

Les 1e, 2e et 3e groupes d’artillerie (batteries 1 à 9)

Casernement en 1914 : Bruyères (1er-3e bat.) et Vincennes (4e-9e bat.). 19e brigade d’artillerie, artillerie de la 43e division d’infanterie. Composition : 3 groupes, 9 batteries de 75 (36 canons).

 

1914 : Vosges : Saint-Blaise, la Chipotte (août). Champagne : Suippes, Souain : (sept.). Bataille des Flandres en Belgique : Hollenbecke, Zonnebecke (fin oct.).

1915 : Offensive d’Artois (mai-juin), Artois : Notre-Dame-de-Lorette, Bois en H, Givenchy-en-Gohelle (sept.).

1916 : bataille de Verdun (fév.), batterie de Damloup, Douaumont. Bataille de la Somme (sept.-nov.).

1917 : Aisne : La Malmaison (oct.).

1918 : Marne : Neuilly-la-Poterie, Bouresche. Champagne : Perthes, Tahure (août-oct.), cote 193.

Groupe de renforcement du 12e régiment d’artillerie de campagne

Un groupe de renforcement du 12e RAC, 21e, 22e et 23e batteries, constitué à Nogent-sur-Marne en août 1914. Ce sont en majorité des réservistes.

Il constitue l'artillerie de la 73e division d’infanterie (AD73) avec un groupe du 39e RAC et un groupe constitué par une batterie du 37e RAC, une du 49e RAC et une du 52e RAC. Ces 3 groupes n’auront donc pas les mêmes lieux de combats que le 12e RAC. Ils garderont leurs numéros respectifs et combattront ensemble sous leur N° d’origine jusqu’en avril 1917. À cette date ces 3 groupes iront constituer le 239e régiment d’artillerie de campagne.

Pour voir le parcours de ce groupe, dès 1914, consulter le 239e RAC.

5e batterie du 12e RAC

Regroupée à Bruyères (88) en août 1914, fait partie de l’AD43 en août 1914. 174 hommes et 168 chevaux.

1914 : camp de Corcieux (Vosges). Col du Plafond, Saint-Dié, Ban de Laveline, Bertrimoutier, Rothau (16/08), Alberviller, Baccarat, bois des Bingottes.

Le 24 août la batterie se trouve au nord-est de Baccarat entre la voie ferrée et le bois des Bingottes. La batterie est prise à partie par des obusiers allemands. Les avant-trains sont décimés, 45 chevaux sont tués. Après avoir tiré à 600 m sur les Allemands, le capitaine donne l’ordre de rendre inutilisables tous les canons de la batterie. Tous les hommes se « retirent » par les bois vers Raon-l’Étape.

Une partie des hommes rescapés complète la 8e batterie du 12e RAC. (Voir le JMO). La plus grande partie est fondue avec le reste de la 30e batterie du 53e RAC qui vient de perdre la moitié de son effectif dans un grave accident de train. La 5e batterie du 12e RAC disparait au profit de la 30e batterie du 53e RAC qui rejoint la 44e division le 31 août. Elle passera à l’AD76 en oct. 1914.

Pour suivre son parcours, voir la 30e batterie du 53e RAC.

Sections de munitions d’artillerie et sections de munitions d’infanterie (SMA et SMI) du 12ème régiment d’artillerie de campagne :

Elles ne sont pas toutes rattachées directement au régiment. Elles n’ont donc pas exactement le même parcours exposé ci-dessus. On peut citer :

SMA

11ème, 12ème, 13ème et 14ème sections de munitions d’artillerie du 12ème régiment d’artillerie de campagne :

En août 1914, elles sont rattachées au 21ème corps d’armée.

10ème section de munitions d’artillerie du 12ème régiment d’artillerie de campagne :

En août 1914, elle est rattachée au 21ème corps d’armée. En janvier 1915, elle est rattachée à la 47ème division d’infanterie et y restera jusqu’en avril 1917.

SMI

3ème et 4ème sections de munitions d’infanterie du 22ème régiment d’artillerie de campagne :

En août 1914, elles sont rattachées au 21ème corps d’armée.

Historique du 13ème régiment d’artillerie de campagne (13e RAC)

Les 1e, 2e et 3e groupes d’artillerie (batteries 1 à 9)

Casernement en 1914 : Vincennes et Paris. 19e brigade d’artillerie, Gouvernement Militaire de Paris, 9 batteries de 75 et les 10e et 11e batteries à cheval rattachées à la 1e division de cavalerie à Vincennes.

 

1914 : Opérations du corps de Cavalerie Sordet (août). Bataille de Guise (fin août). Bataille de la Marne (6-13 sept.) : Louppy-le-Château. Woëvre : Bois d'Avocourt (sept.). Reprise de l’offensive : Cheppy, Vauquois et Varennes (déc.).

1915 : Argonne : Vauquois (mars).

1916 : bataille de la Somme : Rancourt, Bouchavesnes (oct.), bois de Saint-Pierre-Waast (oct.).

1917 : Aisne : offensive d’avril : route 44, bois des Buttes.

1918 : Oise : bataille de Noyon (mars). La Vesle (sept.).

Groupe de renforcement du 13e régiment d’artillerie de campagne

Un groupe de renforcement du 13e RAC, a été créé en août 1914. Ce sont en majorité des réservistes.

Il constitue l'artillerie de la 55e division d’infanterie (AD55) avec un groupe du 30e RAC et un du 45e RAC. Ces 3 groupes n’auront donc pas les mêmes lieux de combats que le 13e RAC. En avril 1917, ces 3 groupes iront constituer le 230e RAC.

Pour voir le parcours de ce groupe, dès 1914, consulter le 230e RAC  >>> ici  <<<

5e groupe à tracteurs du 13e régiment d’artillerie de campagne

En octobre 1916, un groupe de 3 batteries à tracteurs est créé. Ce groupe "porté" du 13e RAC (canons de 75 mm sur plate-forme tirés par tracteurs léger) est le seul (avec le 6e groupe) de leur espèce de 1915 à mars 1917. Il est formé des 31e, 32e et 33e batteries du 13e RAC.

Ø  31e batterie

Créé en mai 1915 à Vincennes. Formation en avril-juillet.

1915 : Entre Pont-à-Mousson et Nancy (août-sept.) : Millery, Attan, Bathelemont, bois de Juré, forêt de Paroy, Einville, Héville, Sornéville, Champenoux (oct.).

Manonviller, secteur de Lunéville (jusque déc.).

1916 : Lunéville, sud de Blémerey, Domjevin (janv.-avril). Vosges (avril-mai) : Raon, La Chapelotte, La Pierre Percée, Raon-l’Étape, col du Bonhomme. Secteur de Lunéville (juin-août), forêt de Parroy.

En octobre 1916, les 31e, 32e et 33e batteries de ce 13e RAC sont regroupées pour former le 5e groupe à tracteurs.

Secteur de Nancy pour instruction (sept.-déc.) : Laneuveville, Dombasle, Sommerviller.

1917 : Lorraine : Secteur de Lunéville (janv.-mars). Cette batterie deviendra la 21e batterie du 1e groupe du 213e RAC. Voir son parcours >>>  ici  <<<

Ø  32e batterie

Créé en août 1915 à Vincennes. Formation en août-sept.

1915 : Champagne (sept.-déc.) : Somme-Suippes, Suippes, Athis, Juvigny-sur-Marne. Secteur de Prones (nov.), Nauroy.

1916 : Champagne (janv.-juil.) : Nauroy, bois des Sapins, puis Baconnes.

En octobre 1916, les 31e, 32e et 33e batteries de ce 13e RAC sont regroupées pour former le 5e groupe à tracteurs.

Secteur de Nancy pour instruction (sept.-déc.) : Laneuveville, Dombasle, Sommerviller.

1917 : Lorraine : Secteur de Lunéville (janv.-mars). Cette batterie deviendra la 22e batterie du 1e groupe du 213e RAC. Voir son parcours >>>  ici  <<<

Ø  33e batterie

Créé fin 1915 à Vincennes. Regroupé à Saint Maurice (94)

1916 : Sud d’Arras, Beaumetz (janv.-fév.), Auxy-le-Château (fév.). Lignières, Villers-les-Roye, secteur de Montdidier. Le Forestel (juin). Somme (juil.-août) : Herbécourt, Omiécourt.

En octobre 1916, les 31e, 32e et 33e batteries de ce 13e RAC sont regroupées pour former le 5e groupe à tracteurs.

Secteur de Nancy pour instruction (sept.-déc.) : Laneuveville, Dombasle, Sommerviller.

1917 : Lorraine : Secteur de Lunéville (janv.-mars). Cette batterie deviendra la 23e batterie du 1e groupe du 213e RAC. Voir son parcours >>>  ici  <<<

6e groupe à tracteurs du 13e régiment d’artillerie de campagne

En avril 1916, un groupe de 3 batteries à tracteurs est créé à Vincennes. Ce groupe "porté" du 13e RAC (canons de 75 mm sur plate-forme tirés par tracteurs léger), est le seul (avec le 5e groupe) de leur espèce de 1915 à mars 1917. Il est formé des 34e, 35e et 36e batteries du 13e RAC.

1916 : Somme (juin-août) : Heilly, Morlancourt. Le groupe soutient l’infanterie anglaise lors de la bataille de la Somme. Bois de Mametz, Contalmaison, Bazentin-le-Petit, Bazentin-le-Grand, Longeval, Flers, Guillaumont.

Secteur de Belfort (juil.-sept.) : Ballersdorf, bois de Carspach. Vosges : Saint Dié (oct.), Wisembach, Le Pré des Raves, Col du Bonhomme, Croix-aux-Mines, Hagenbach (nov.), Michelbach, Wesserling (déc.). Gérardmer.

1917 : Vosges (janv.-mars) : Retzwiller, Badincourt, Largitzen, Bisel, Fulleren.

Le 1e avril, le 2e groupe à tracteurs devient le 2e groupe du 213e régiment d’artillerie de campagne tracté. Les batteries 34, 35 et 36 prennent le nom de 24e, 25e et 26e batteries. Suivre le parcours du 213e RAC >>> ici <<<

Une batterie de canons de 95mm (N° ?)

Le 20 mars 1915, une batterie de canons de 95 du 13e RAC arrive pour compléter un groupe de 2 batteries au 5e RAC. Ce nouveau groupe de 3 batteries du 5e RAC deviendra en 1917 un groupe du 260e RAC. Suivre son parcours ici.

Sections de munitions d’artillerie et sections de munitions d’infanterie (SMA et SMI) du 13ème régiment d’artillerie de campagne :

Elles ne sont pas toutes rattachées directement au régiment. Elles n’ont donc pas exactement le même parcours exposé ci-dessus. On peut citer :

SMA :

5ème, 6ème, 7ème, 8ème et 9ème sections de munitions d’artillerie du 13ème régiment d’artillerie de campagne :

En août 1914, elles sont rattachées au 5ème corps d’armée.

42ème section de munitions d’artillerie du 13ème régiment d’artillerie de campagne :

En juin 1915, elle est rattachée au 2ème corps d’armée colonial.

23ème section de munitions d’artillerie du 13ème régiment d’artillerie de campagne :

En août 1914, elle est rattachée à la 56ème division d’infanterie.

24ème section de munitions d’artillerie du 13ème régiment d’artillerie de campagne :

En août 1914, elle est rattachée à la 56ème division d’infanterie et y restera jusqu’en avril 1917 où elle devient la 22ème SMA du 225ème RAC.

25ème section de munitions d’artillerie du 13ème régiment d’artillerie de campagne :

En août 1914, elle est rattachée à la 56ème division d’infanterie.

SMI :

1ère et 2ème sections de munitions d’infanterie du 13ème régiment d’artillerie de campagne :

En août 1914, elles sont rattachées au 5ème corps d’armée.

21ème section de munitions d’infanterie du 13ème régiment d’artillerie de campagne :

En août 1914, elle est rattachée à la 56ème division d’infanterie et y restera jusqu’en avril 1917 où elle devient la 21ème SMI du 225ème RAC.

22ème section de munitions d’infanterie du 13ème régiment d’artillerie de campagne :

En août 1914, elle est rattachée à la 56ème division d’infanterie.

Carnets de guerre de soldats de ce régiment :

Lire le carnet de guerre du sous-lieutenant GROSS du 13e d’artillerie.

Lire le carnet de guerre de Claude BERNELIN, des 54e, 27e et 13e régiments d’artillerie.

Historique du 14ème régiment d’artillerie de campagne (14e RAC)

Les 1e, 2e et 3e groupes d’artillerie (batteries 1 à 9)

Casernement en 1914 : Tarbes.  18e brigade d’artillerie, artillerie de la 36e division d’infanterie. Composition : 3 groupes, 9 batteries de 75 (36 canons).

 

1914 : Opération des 3e et 4e armées : Gozée, Biesme-sous-Thuin. Bataille de Guise (août). Bataille de la Marne (6–13 sept.) : Courgivaux (6-7 sept.), Montmirail, (9-10 sept), Marchais-en-Brie (11 sept.). Aisne : Hurtebise, la Ville-aux-Bois, Craonnelle.

1916 : bataille de Verdun (mai-juin).

1917 : Aisne : Craonne, plateau de Californie (avril-mai).

1918 : Ayencourt, Assainvillers (mars), Tricot (juin), plateau de Pinon (sept.), Verneuil-sur-Serre (oct.).

Groupe de renforcement du 14e RAC

Un groupe de renforcement a été formé à Tarbes à 3 batteries (N° 24, 25 et 26e). En août 1914, il est le 2e groupe de l’AD68.

Ce groupe n’aura donc pas les mêmes lieux de combats que le 14e RAC. Les soldats garderont leur N° d’origine (14e RAC) jusqu’en avril 1917

 

1914 : Nancy, Laneuvelotte, Pettoncourt (20/08), ferme des 4 bouteilles, Buissoncourt, Seichamps, Mont d’Amance, ferme Vorincourt, Champenoux.

Fin septembre, le groupe passe à l’AD68.

Secteur de Flirey (oct.-déc.) : Seicheprey, Richecourt, Saint Baussand, Montsec, bois de Mort-Mare.

1914 : Secteur de Flirey (oct.-déc.) : Seicheprey, Richecourt, Saint Baussand, Montsec, bois de Mort-Mare.

1915 : Secteur de Flirey (janv.-oct.) : même secteur. Champagne (oct.) : Souain, ferme Navarin. Région de Toul (nov.-janv.1915) : Toul, Lucey

1916 : Secteur de Flirey, Saint–Agnant. (janv.-mai). Verdun (juin-oct.) : bois Bourrus, Avocourt, Mort-Homme, Thiaumont, ouvrage de Thiaumont.

Verdun (nov.-janv. 1917) : bois Camard, cote 304.

1917 : En avril 1917 Ce groupe d’artillerie devient le 3e groupe du 202e RAC. Voir le 202e RAC.

Une batterie (non numérotée) du 14ème régiment d’artillerie de campagne

Formée au dépôt du 14e RAC, début 1915, équipée de canons de 90, cette batterie va combattre au sein du 36e corps d’armée. Elle n’aura donc pas les mêmes lieux de combats que le 14e RAC. En avril 1917, elle ira constituer le 270ème régiment d’artillerie de campagne.

Pour voir le parcours de cette batterie, dès 1915, consulter le 270e RAC.

2 groupes du 14e régiment d’artillerie de campagne de 3 batteries chacun (batteries 41 à 46)

--- Un groupe du 14e régiment d’artillerie (41e batteries, 42e batterie et 43e batterie) – Formé à Tarbes - Composition : 16 officiers, 535 sous-officiers et hommes du rang, 521 chevaux, 12 canons.

--- Un groupe du 14e régiment d’artillerie (44e batteries, 45e batterie et 46e batterie) – Formé à Tarbes - Composition : 10 officiers, 528 sous-officiers et hommes du rang, 516 chevaux, 12 canons.

Ces 2 groupes composent l’artillerie de la 92e division territoriale (AD92T)

1914 : sept.-oct. : Nord-est du camp retranché de Paris : Tremblay, Villepinte, Gonesse, Creil (01/10). Saint-Just-en-Chaussée.

Secteur nord d’Amiens (oct.). Artois (oct.-déc.) : secteur de Vermelles, La Bassée, Angres, Grenay, Le Rutoire, Loos, Bénifontaine.

1915 : Artois : même secteur jusqu’en avril.

En avril 1915, les 6 batteries sont séparées.Les 41e et 42e batteries passent à l’AD43 - Les 44e et 45e batteries passent à l’AC21 - Les 43e et 46e batteries passent à l’AC33 :

--- Les 41e et 42e batteries

    Ce groupe de 2 batteries du 14e RAC passe à l’AD43. Ces batteries seront fondues dans les 3 groupes du 12e RAC. Voir le 12e RAC.

--- Les 44e et 45e batteries

    Ce groupe de 2 batteries du 14e RAC passe à l’AC21, mais restent aux ordres de l’AD92T jusqu’en août.

    Artois : Loos, Grenay (mai-août).

    En août, les 2 batteries sont versées aux 3e et 4e groupes du 59e RAC. Elles formeront une partie du 259e RAC en avril 1917.

--- Les 43e et 46e batteries

Ce groupe du 14e RAC (à 2 batteries, puis 3 en 1915) passe à l’AC33, puis en août 1915, il est l’un des groupes qui forment l’artillerie de la 74e division d’infanterie (AD74). Il n’aura donc pas les mêmes lieux de combats que le 14e RAC. En 1917, il deviendra le 3e groupe du 254e RAC

1915 : Une nouvelle batterie (formée où ?) début 1915 arrive au 33e CA le 10 avril 1915. Appelée 46e bis, elle forme un groupe de 3 batteries avec les 43e et 46e.

Artois (mai-août) : secteur sud de Lens, bois de Berthonval. Le 12/08/1915, le groupe passe à l’AD74 et change de secteur

Lorraine (sept.-déc.) : Moncel, Crio. Secteur entre Avricourt et Arracourt, Réchicourt-la-Petite, Coincourt, Ley. Bois Zeppelin, Avricourt.

1916 : Secteur Pont-à-Mousson–Armaucourt, Nomeny (fév.-août). Verdun (sept.-oct.) : Vaux-Chapître, ferme Dicourt, bois Fumin. Dompcevrin, bois Loclont (déc.-janv.17)

1917 : Verdun (fév.-mars) : Bois des Caurières, Louvemont, ferme des Chambrettes. Le 1e avril, Le groupe devient le 3e groupe du 254e RAC. Voir le 254e RAC.

 

53ème batterie du 14ème régiment d’artillerie de campagne

Le 16 juillet 1916 la 26ème batterie du 11ème régiment d’artillerie à pied devient, par simple transformation du nom, la 53ème batterie du 14ème régiment d’artillerie.

Lire ici le carnet de guerre d’André LESTY maréchal-des-logis de cette batterie.

Sections de munitions d’artillerie et sections de munitions d’infanterie (SMA et SMI) du 14ème régiment d’artillerie de campagne :

Elles ne sont pas toutes rattachées directement au régiment. Elles n’ont donc pas exactement le même parcours exposé ci-dessus. On peut citer :

23ème section de munitions d’artillerie du 14ème régiment d’artillerie de campagne :

En septembre 1914, elle est rattachée au 31ème corps d’armée (ancien corps d’armée général DÉLÉTOILE).

Historique du 15ème régiment d’artillerie de campagne (15e RAC)

Les 1e, 2e et 3e groupes d’artillerie (batteries 1 à 9)

Casernement en 1914 : Douai. 1e brigade d’artillerie, artillerie de la 1e division d’infanterie (AD01). Composition : 3 groupes, 9 batteries de 75 (36 canons).

4 citations, dont trois à l’armée, fourragère verte

 

1914 : Vers Charleroi : Dinant, Saint Gérard, Marienbourg. Bataille de Guise (28-30 août), Esternay (5/09), Montmirail (8/09), Fontaine-Armée, Reims (13/09), La Neuvillette, Les Cavaliers de Courcy (15-16/09), Bouffignereux (17/09), ferme du Choléra, cote 108, cote 91 (oct.-nov.), Soupir, Chavonne.

 

1915 : Champagne (janv.-mars) : Beauséjour, Mesnil-lès-Hurlus, Maisons-de-Champagne puis Meuse (mars-avril) : Les Éparges.

Marne (mai-déc.) : Bataille de Champagne, Berry-au-Bac, cote 108, ferme du Choléra.

 

1916 : Verdun (fév.-avril) : Fleury, Froideterre, ravin de Fleury, côte du Poivre puis Aisne (avril-juil.) : Craonne.

Somme (août-oct.) : Crèvecoeur, bois d’Anderlu, Maurepas, Combles (fin sept.), ferme de Falfemont. Champagne (oct.-déc.) : Souain.

 

1917 : Champagne (janv.-fév.) : Souain, Maisons-de-Champagne puis Aisne (avril) : Craonne, plateau de Californie.

Flandres belges (mai-oct.) : secteur de l’Yser, Bixschoote, forêt d’Houlust, Kortekeer, ferme des Paratonnerres, ferme de la Maison Carrée, bois Charpentier.

Aisne (fin 1917) : Craonne.

 

1918 : Craonne (janv.-mars).

Oise : bataille de Noyon (fin mars), Braine, Forêt de Retz, monts de Choisy, d’Ourscamp, de Sempigny.

Secteur de Compiègne (mai), plateau de Serches, Ambrief, ferme du Pavillon, ferme de l’Épitaphe, Plessier-Huleu (30/05), Billy-sur-Ourcq puis en juin : ferme de Chavigny, de la ferme La Grille, Longpont, Gorcy, bois d’Hartennes, Le Plessier-Huleu, Grand-Rozoy (juil.).

Alsace (août-nov.) : secteur de Thann.

Un groupe de renforcement du 15e régiment d’artillerie de campagne

Ce groupe du 15e RAC, canon de 75, a été formé et rassemblé à Auby (59) en août 1914. Ce sont en majorité des réservistes du 15e RAC.

Il constitue l'artillerie de la 51e division d’infanterie (AD51) avec un groupe du 27e RAC et un du 41e RAC.

Ces 3 groupes n’auront donc pas les mêmes lieux de combats que le 15e RAC. Ils garderont leurs numéros respectifs et combattront ensemble sous leur N° d’origine jusqu’en avril 1917, avant de se nommer 215e RAC.

Pour voir le parcours de ce groupe, dès 1914, consulter le 215e RAC.

31e batterie du 15e régiment d’artillerie de campagne (31e batterie)

En avril 1915, la 31e batterie est créée à ?

Il constitue (avec la 32e batterie du 21e RAC et la 33e du 49e RAC) le 2e groupe de l’artillerie de la 47e division d’infanterie (AD47) à partir de mai 1915. En avril 1917. Ce groupe devient le 2e groupe du 256e RAC.

1915 : Vosges (mai-déc.) : Plainfaing, La Schlucht, Steinbach, Metzeral, Richackerkopf, Le Linge

1916 : Vosges (janv.-mars) : Metzeral, Vallée de la Lauch.

En avril 1917. Cette batterie devient la 25e batterie du 256e RAC. Voir le 256e RAC

Un groupe de 3 batteries (40e à 42e batteries)

40e batterie du 15e RAC (canons de 95) :

Créée au front en juin 1916, à Bretten (Haut-Rhin) avec des éléments des 41e et 42e batteries du 15e RAC. Elle constitue (avec les 41e et 42e batt.) un groupe du 15e RAC de l’AD 157.

1916 : Vosges (juin-déc.).

1917 : Vosges, puis camp d’Arches (fév.).

Le 1 avril 1917, la batterie devient la 24e batt. du 236e RAC. Voir le 236e RAC

41e batterie du 15e RAC (canons de 95) :

Créée au front. Date de création ? Avec la 42e batt. elle constitue un groupe du 15e RAC de l’AD 155 puis AD 157 en avril 1915.

1916 : Vosges (juin-déc.) : Gommersdorf, Hagenbach, Aspach.

1917 : Vosges, puis camp d’Arches (fév.).

Le 1 avril 1917, la batterie devient la 25e batt. du 236e RAC. Voir le 236e RAC

42e batterie du 15e RAC (canons de 95) :

Créée au front en juin 1916. Avec la 41e batt. elle constitue un groupe du 15e RAC de l’AD 155 puis AD 157.

1916 : Vosges (juin-déc.).

1917 : Vosges, puis camp d’Arches (fév.).

Le 1 avril 1917, la batterie devient la 26e batt. du 236e RAC. Voir le 236e RAC

Sections de munitions d’artillerie et sections de munitions d’infanterie (SMA et SMI) du 15ème régiment d’artillerie de campagne :

Elles ne sont pas toutes rattachées directement au régiment. Elles n’ont donc pas exactement le même parcours exposé ci-dessus. On peut citer :

5ème, 6ème, 7ème, 8ème et 9ème sections de munitions d’artillerie du 15ème régiment d’artillerie de campagne :

En août 1914, elles sont rattachées au 1er corps d’armée.

1ère et 2ème sections de munitions d’infanterie du 15ème régiment d’artillerie de campagne :

En août 1914, elles sont rattachées au 1er corps d’armée.

Historique du 16ème régiment d’artillerie de campagne (16e RAC)

Les 1e, 2e et 3e groupes d’artillerie (batteries 1 à 9)

Casernement en 1914 : Issoire. 13e brigade d’artillerie, artillerie de la 25e division d’infanterie. Composition : 3 groupes, 9 batteries de 75 (36 canons).

 

1914 : Opérations des 1e et 2e armées : Cirey-sur-Vezouze, Hartzviller (20-21 août).

La Course à la mer : Élincourt (13/09), Carlepont (16-19 sept.), Plessier-de-Roye , Lassigny. Bataille des Flandres : Zonnebecke (nov.).

1915 : Somme et Oise (janv.-sept.) : Audrechy, Beuvraignes, Boulogne-la-Grasse, Tilloloy, bois de Bus.

Secteur de Montdidier (oct.-nov.) : Romagies, Mortemer, Cuvilly.

1916 : Conchy-les-Pots, bois des Loges (janv.-fév.).

Bataille de Verdun : bois des Corbeaux et de Cumières (mars). Bataille de Verdun : bois d'Avocourt, bois de Malancourt (mars et juil.-oct.).

Bataille de la Somme : Chaulnes (sept.).

1917 : Gauchies, Grugies (avril), Giffrecourt, Dallon (avril). Verdun : cote 304 (août).

1918 : Saint-Mihiel (12-13 sept.), bois des Caures (oct.).

Un groupe de renforcement du 16e régiment d’artillerie de campagne

Ce groupe du 16e RAC, canon de 75, a été formé et rassemblé à Issoire en août 1914. Ce sont en majorité des réservistes du 16e RAC.

Il constitue l'artillerie de la 63e division d’infanterie (AD63) avec un groupe du 36e RAC et un du 53e RAC.

Ces 3 groupes n’auront donc pas les mêmes lieux de combats que le 16e RAC. Ils garderont leurs numéros respectifs et combattront ensemble sous leur N° d’origine jusqu’en avril 1917, avant de se nommer 216e RAC.

Pour voir le parcours de ce groupe, dès 1914, consulter le 216e RAC.

Groupe territorial du 16e RAC

Un groupe du 16e RAC a été formé en novembre 1914 à partir d’une batterie du 36e RAC et une du 53e RAC (canons de 95).

1914 : Artillerie de la 84e division d’infanterie territoriale (AD84T), en novembre.

Flandres (nov.-déc.) : Ypres, château d’Hollenbecque, Zandwoorde, Becelaere, Gheluvelt. Artois (déc.) : bois de Berthonval, Neuville-Saint-Vaast.

 

1915 : Artois (janv.-oct.) : Roclincourt, sud d’Arras, Chemin des Pylônes.

En mars le groupe est réorganisé et passe à 3 batteries de 4 canons de 95mm. En juillet 1915, le groupe passe à l’AC3.

Somme (oct.-fév. 1916) : Santerre, Frise, Lihons.

1916 : Oise (mars-avril) : secteur de Quennevières, Moulin-sous-Touvent, Quennevières. Verdun (avril-mai) : secteur de Vaux, bois des Hospice, La Vauche. Secteur de Saint Mihiel (sept.-déc.) : forêt de Marcaulieu.

 

1917 : Alsace (janv.-mars) : Étupes, Chaux-les-Ports, Bavilliers, Seppois, forêt de Carlspach.

Entre janv. et fév. Le groupe échange ses canons de 95 par du 75mm. Il est rejoint par un groupe d’artillerie du 2e régiment d’artillerie coloniale de Cherbourg. Les 2 groupes vont constituer l’artillerie du 21e corps d’armée (AC21) et former le 212e RAC. Suivre le 212e RAC.

Sections de munitions d’artillerie et sections de munitions d’infanterie (SMA et SMI) du 16ème régiment d’artillerie de campagne :

Elles ne sont pas toutes rattachées directement au régiment. Elles n’ont donc pas exactement le même parcours exposé ci-dessus. On peut citer :

5ème, 6ème, 7ème, 8ème et 9ème sections de munitions d’artillerie du 16ème régiment d’artillerie de campagne :

En août 1914, elles sont rattachées au 13ème corps d’armée.

1ère et 2ème sections de munitions d’infanterie du 16ème régiment d’artillerie de campagne :

En août 1914, elles sont rattachées au 13ème corps d’armée.

Historique du 17ème régiment d’artillerie de campagne (17e RAC)

Les 1e, 2e et 3e groupes d’artillerie (batteries 1 à 9)

Casernement en 1914 : La Fère. 2e brigade d’artillerie, artillerie de la 3e division d’infanterie. Composition : 3 groupes, 9 batteries de 75 (36 canons).

 

1914 : La retraite des 3e et 4e armées : Cesse (27 août). Bataille de la Marne (6–13 sept.) : Vienne-la-Ville, Servon-Melzicourt, Daucourt.

1915 : Champagne : Fortin de Beauséjour (fév.).

1916 : bataille de Verdun : batterie de Damloup (oct.).

1917 : Mont Spin (mai), Plateau de Pommerieux (juil.). Verdun : cote 304 (août).

1918 : L'Avre (juil.), plateau du Losange, Bois Saint-Hubert (août), Attaque de Champagne (sept.).

Un groupe du 17e régiment d’artillerie (quatrième groupe ?)

Un groupe (31e, 32e et 33e batteries), du 17e RAC, a été constitué en novembre 1915 (où ?) avec des réservistes.

Il constitue une partie de l'artillerie du 30e corps d’armée à partir de février 1916. Il passe à l’AD169 en janvier 1917. Il constituera un groupe du 210e régiment d’artillerie.

Ce groupe n’aura donc pas les mêmes lieux de combats que le 17e RAC.

1916 : Verdun, fort du Rozelier. Lure, Charmois (avril-mai). Somme (juin-août) : secteur de Soyécourt, Foucaucourt-en-Santerre, cimetière de Foucaucourt.

Fin de 1916 : Le Hamel, bois Leconte, cote 97.

 

1917 : Voir le 210e RAC

Un groupe de renforcement du 17e régiment d’artillerie

Ce groupe du 17e RAC, canon de 75, a été formé et rassemblé à Versigny et Rogécourt (près de La Fère, 02) en août 1914. Ce sont en majorité des réservistes du 17e RAC.

Il constitue l'artillerie de la 52e division d’infanterie (AD52) avec un groupe du 29e RAC et un du 42e RAC.

Ces 3 groupes n’auront donc pas les mêmes lieux de combats que le 17e RAC. Ils garderont leurs numéros respectifs et combattront ensemble sous leur N° d’origine jusqu’en avril 1917, avant de se nommer 217e RAC.

Pour voir le parcours de ce groupe, dès 1914, consulter le 217e RAC.

Un groupe du 17e RAC (batteries 44 à 46)

Créé en mars 1915 à Pontivy (Morbihan). Il compose l’artillerie de la 156e division d’infanterie (AD156), nouvellement créée pour partir en Orient.

La 156e DI se nommera « 2e division du CEO » (corps expéditionnaire d’Orient) d’avril à septembre 1915, puis « division de Serbie » ou « division BAILLOUD » et redeviendra « 156e DI ».

1915 : Formation à Salon-de Provence (mars-mai). Embarquement à Marseille (11 mai) à bord du « Polynésien ». Île de Moudros, puis Turquie : (fin mai-oct.) : Krithia, Kéréves-Déré. Départ pour Salonique (Grèce) début octobre à bord de « l’Algérie ».

1916 : Salonique (Grèce) (janv.-mai). Secteur de Kilindir et du lac d’Ardjan (mai-juil.). Offensive sur Monastir (sept.-janv. 1917).

1917 : En avril 1917, le groupe deviendra le 2e groupe d’artillerie du 242e RAC. Voir >>> ici <<< le 242e RAC.

Sections de munitions d’artillerie et sections de munitions d’infanterie (SMA et SMI) du 17ème régiment d’artillerie de campagne :

Elles ne sont pas toutes rattachées directement au régiment. Elles n’ont donc pas exactement le même parcours exposé ci-dessus. On peut citer :

5ème, 6ème, 7ème, 8ème et 9ème sections de munitions d’artillerie du 17ème régiment d’artillerie de campagne :

En août 1914, elles sont rattachées au 2ème corps d’armée.

1ère et 2ème sections de munitions d’infanterie du 17ème régiment d’artillerie de campagne :

En août 1914, elles sont rattachées au 2ème corps d’armée.

Historique du 18ème régiment d’artillerie de campagne (18e RAC)

Les 1e, 2e et 3e groupes d’artillerie (batteries 1 à 9)

Casernement en 1914 : Agen. 17e brigade d’artillerie, artillerie de la 33e division d’infanterie. Composition : 3 groupes, 9 batteries de 75 (36 canons).

 

1914 : Forêt de Luchy (août), La Meuse (fin août). Bataille de la Marne : les Grandes-Perthes. Champagne : Perthes-lès-Hurlus (déc.).

1915 : Artois : Vimy  (sept).

1916 : bataille de Verdun : bois de Vaux Chapitre, Fleury (juin), Côte du Poivre (oct.).

1917 : Marne : Moronvilliers, le Téton (avril-mai).

1918 : Offensive de l'Ourcq (juil.). Bataille de l'Ailette (août-sept.). Bataille de l'Oise : Origny-Sainte-Benoîte, Mont d'Origny.

 

Lire ici le carnet de guerre de Jean LUPIS artilleur aux 18e et 57e  régiments d’artillerie de campagne.

Un groupe de renforcement du 18e régiment d’artillerie de campagne

Ce groupe du 18e RAC, canon de 75, a été formé et rassemblé à Agen en août 1914. Ce sont en majorité des réservistes du 18e RAC.

Il constitue l'artillerie de la 67e division d’infanterie (AD67) avec un groupe du 23e RAC et un du 57e RAC.

Ces 3 groupes n’auront donc pas les mêmes lieux de combats que le 18e RAC. Ils garderont leurs numéros respectifs et combattront ensemble sous leur N° d’origine jusqu’en avril 1917, avant de se nommer 218e RAC.

Pour voir le parcours de ce groupe, dès 1914, consulter le 218e RAC.

Un groupe du 18e régiment d’artillerie de campagne

Ce groupe, de 2 batteries, a été créé fin 1915, est composé des 31e et 32e batteries du 18e RAC. Ces 2 batteries sont équipées de canons de 90 mm. .

Le groupe constitue l'artillerie de la 126e division d’infanterie (AD126), en déc. 1915. Puis l’artillerie du 15e corps d’armée en juin 1916.

Ce groupe n’aura donc pas les mêmes lieux de combats que le 18e RAC. En avril 1917, il ira constituer le 238e régiment d’artillerie de campagne.

Parcours de ces 2 batteries :

Ø  31e batterie du 18e RAC, future 21e batterie du 238e RAC.

Créée à Ville-en-Tardenois, en décembre 1915. Les hommes venus du dépôt de différentes unités du front (JMO). La batterie est affectée à l’AD126.

1916 : Champagne (janv.-mai) : Ripont, butte du Mesnil. En juin, la batterie passe de l’AD 126 à l’artillerie du 15e corps d’armée (AC15). Canons de 90 échangés en mai 1916 par des canons de 75mm.

Argonne (juin-nov.) : Jouy-en-Argonne, bois de Mermont. Avocourt, bois de Verrières, bois le Comte. Verdun (déc.) : Douaumont, ravin de Vignes, boyau des Pirates,

1917 : Verdun (janv.-avril) : Côte du Poivre, Les Chambrettes, bois des Caurrières,

Le 1e avril 1917, la 31e batterie du 18e RAC devient la 21e batterie du 1e groupe du 238e RAC.

 

Ø  32e batterie du 18e RAC, future 22e batterie du 238e RAC.

Créée à Ville-en-Tardenois, en décembre 1915. Les hommes venus du dépôt de différentes unités du front (JMO). 177 hommes, 167 chevaux.

1916 : Champagne (janv.-mai) : Mesnil. En juin, la batterie passe de l’AD 126 à l’artillerie du 15e corps d’armée (AC15). Canons de 90 échangés en mai 1916 par des canons de 75mm. Verdun (juin-août) : côte 304, Mort-Homme, Avocourt. Montzéville (oct.), Fleury (nov.).

À titre d’information la batterie a tirée 3835 obus la journée du 15/12/1916 sur le bois des Caurrières.

1917 : Verdun (janv.-avril) : Les Chambrettes, bois des Caurrières,

Le 1e avril 1917, la 32e batterie du 18e RAC devient la 22e batterie du 1e groupe du 238e RAC.

Sections de munitions d’artillerie et sections de munitions d’infanterie (SMA et SMI) du 18ème régiment d’artillerie de campagne :

Elles ne sont pas toutes rattachées directement au régiment. Elles n’ont donc pas exactement le même parcours exposé ci-dessus. On peut citer :

5ème, 6ème, 7ème, 8ème et 9ème sections de munitions d’artillerie du 18ème régiment d’artillerie de campagne :

En août 1914, elles sont rattachées au 17ème corps d’armée.

43ème et 44ème sections de munitions d’artillerie du 18ème régiment d’artillerie de campagne :

En juin 1915, elles sont rattachées au 2ème corps d’armée colonial.

1ère et 2ème sections de munitions d’infanterie du 18ème régiment d’artillerie de campagne :

En août 1914, elles sont rattachées au 17ème corps d’armée.

42ème section de munitions d’infanterie du 18ème régiment d’artillerie de campagne :

En juin 1915, elle est rattachée au 2ème corps d’armée colonial.

Historique du 19e régiment d’artillerie de campagne (19e RAC)

Les 1e, 2e et 3e groupes d’artillerie (batteries 1 à 9)

Casernement en 1914 : Nîmes. 15e brigade d’artillerie, artillerie de la 30e division d’infanterie. Composition : 3 groupes, 9 batteries (n° 1 à 9) de 75 (36 canons).

 

1914 : Offensive 2e armée : Lagarde (10 août). « L’affaire » de Lagarde (11 août). Lorraine : Serres, Crèvechamp, Damelevières (fin août).

Bataille de la Marne (5 au 13 sept.) : Trémont (forêt des Trois Fontaines), Mogeville, Andernay (7 sept), Revigny-sur-Ornain (sept.).

1915 : Opérations d’Argonne : Bois de Malancourt (fév.).

1916 : bataille de Verdun : Thiaumont (juin).

1917 : Armée d'Orient.

1918 : Attaque de septembre, secteur de Prespa.

Lire le journal de Paul BERNIER, officier au 19e régiment d'artillerie de campagne. à partir de 1917

Groupe de renforcement du 19e RAC (batteries 24, 25 et 26)

Fin février 1915, les batteries 24, 25 et 26 sont désignées pour créer l’artillerie divisionnaire de la 48e division d’infanterie (AD48) avec le 1e et le second groupe du 5e RAC. Ce groupe du 19e RAC deviendra officiellement le 3e groupe du 5e RAC le 1e avril 1917. Voir le 5e RAC pour ces batteries à partir de février 1915.

Un groupe de canons de 80 du 19e RAC : (31e, 32e et 33e batteries).

31e batterie : formée en mai 1915 à Nîmes - 32e batterie : formée en mai 1915 à Nîmes - 33e batterie : formée en mai 1915 à Orange, fournie par le 55e RAC.

1915 : Les 3 batteries sont équipée de 6 canons de 80 mm. Formation au camp d’Avord (Cher) d’août à déc. 1915. Les canons de 80 sont remplacés par du 77mm en décembre.

1916 : Camp retranché de Paris (janv.-juin). Oise (juin-sept.) : Machemont. Secteur de Reims (sept.) : Sillery puis Aisne : Viel-Arcy –nov.)

1917 : En avril 1917, il ira constituer le 219e régiment d’artillerie de campagne (avec un groupe du 35e et un du 52e RAC). Voir le 219e RAC.

Sections de munitions d’artillerie et sections de munitions d’infanterie (SMA et SMI) du 18ème régiment d’artillerie de campagne :

Elles ne sont pas toutes rattachées directement au régiment. Elles n’ont donc pas exactement le même parcours exposé ci-dessus. On peut citer :

5ème, 6ème, 7ème, 8ème et 9ème sections de munitions d’artillerie du 19ème régiment d’artillerie de campagne :

En août 1914, elles sont rattachées au 15ème corps d’armée.

18ème section de munitions d’artillerie du 19ème régiment d’artillerie de campagne :

En juin 1915, elle est rattachée au 37ème corps d’armée.

1ère et 2ème sections de munitions d’infanterie du 19ème régiment d’artillerie de campagne :

En août 1914, elles sont rattachées au 15ème corps d’armée.

17ème section de munitions d’infanterie du 19ème régiment d’artillerie de campagne :

En juin 1915, elle est rattachée au 37ème corps d’armée.

Historique du 20ème régiment d’artillerie de campagne (20e RAC)

Les 1e, 2e et 3e groupes d’artillerie (batteries 1 à 9)

Casernement en 1914 : Poitiers (9 batteries de 75). 9e brigade d’artillerie, artillerie de la 17e division d’infanterie.

2 citations à l’ordre de l’armée, fourragère verte.

 

1914 : bataille de Morhange (août) : la Seille, Houdremont (23/08), Faux (30/08), Juniville.

Bataille de la Marne (sept.) : La Fère-Champenoise, les Marais de Saint Gond, secteur de Bannes, mont Août, Linthes, ferme Sainte Sophie (09/09).

Certains historiens considèrent cet épisode comme un « tournant » de la Bataille de la Marne (coté centre). Les Allemands avaient engagé leur meilleure troupe (la Garde Prussienne) pour percer à tout prix sur le plateau de la ferme Sainte Sophie. Le régiment, sans aucune protection d’infanterie, voit arriver la garde jusqu’à 800 m devant leurs canons. Ils tirent à tir tendu, les Allemands ont fauchés.

Le 3e groupe a été séparé des 2 autres durant 1 mois : il a combattu à Réméréville, Herbéviller (fin août), Gourgançon, Prosnes, Moronvilliers.

Le régiment se reconstitue à Moronvilliers le 19 sept.

bataille des Flandres (oct.-nov.) : à l’est d'Ypres.

1915 : Flandres belges (janv.-mars) puis Artois (avril-mai) : Loos puis Neuville-Saint-Vaast, participation aux offensives de mai-juin puis au sud d'Arras (sept.) Artois (oct.-déc.).

1916 : bataille de Verdun : cote 304 (avril-mai) le régiment perd la moitié de ses hommes et de son matériel.

Somme : participation à la bataille de la Somme (juil.-nov.) : secteurs de la route Péronne-Bapaume, prise de Sailly-Saillisel puis en déc. secteurs Bouchavesnes–Cléry.

1917 : Aisne : Chemin des Dames : buttes de La Ville-aux-Bois et Pontavert (avril), plateau de Craonne, plateau d'Ailles, du plateau des Casemates (mai-sept.) puis Lorraine (jusque déc.).

1918 : Lorraine (janv.-mars) puis Picardie : ouest de Moreuil. Aisne (mai-juil.) : Troyon.

Taux, ravin de Serches, Moulin-sous-Touvent (août), Autrêches, tranchées du Tibia et de la Rotule, ferme Tiolet, Crécy-au-Mont.

Poursuite de l’ennemi depuis la Serre jusqu'au Thon (sept.-nov.).

Groupe de renforcement du 20e régiment d’artillerie de campagne (21e à 23e batteries)

Un groupe de renforcement du 20e RAC, a été créé à Vouneuil-sur-Biard en août 1914. Ce sont en majorité des réservistes.

Il constitue l'artillerie de la 59e division d’infanterie (AD59) avec un groupe du 33e RAC et un du 49e RAC. Ces 3 groupes n’auront donc pas les mêmes lieux de combats que le 20e RAC. En avril 1917, ces 3 groupes iront constituer le 220e régiment d’artillerie de campagne.

Pour voir le parcours de ce groupe, dès 1916, consulter le 220e RAC.

Un groupe du 20e régiment d’artillerie de campagne (31e à 33e batteries)

Créée et constitué en déc. 1915 à Fagnières (51) d’hommes venant des dépôts des 20e et 33e RAC, de l’artillerie des 7e et 32e corps d’armée, et du train des équipages du 9e corps d’armée. Il est armé du canon de 90 jusqu’en fin 1916. Le groupe fait partie de l’AD100T.

1916 : Champagne : Wez, Thuisy, Prosnes, Baconnes, Les Marquises, Ferme des Wacques, Le Trou-Bricot.

Le groupe passe à l’AD165 en fin d’année 1916.

1917 : Secteur de Vienne-le-Château, Saint Thomas.

En avril, le groupe devint le 1e groupe du 235e RAC. Les batteries 31, 32 et 33 de ce groupe deviennent les batteries 21, 22 et 23 du 235e RAC. Voir le 235e RAC.

Un groupe du 20e régiment d’artillerie (34e à 36e batteries)

Un groupe du 20e RAC composé de 3 batteries : la 34e a été créé à Poitiers, la 35e provenant du dépôt du 33e RAC (Angers) et la 36e provenant du dépôt du 49e RAC (Poitiers).

 

1916 : Champagney (70), Eloyes, formation au camp d’Arches (mars). Verdun (mars-déc.) : fort du Rozelier, tranchée de Calonne, bois de Manheulles, les Clairs Chênes, Hardaumont, Damloup, ravin d’Horgne.

1917 : Somme (janv.-fév.) : Guerbigny, bois Lecomte.

En avril 1917, ce groupe avec un groupe de 6e RAC formera les 24e, 25e et 26e batteries du 206e RAC en avril 1917. Voir son parcours après avril 1917 (206e RAC).

Groupe territorial du 20e régiment d’artillerie de campagne (44e à 46e batterie)

Un groupe du 20e RAC a été créé durant la guerre. Ce sont en majorité des territoriaux.

Il constitue l'artillerie de la 88e division d’infanterie territoriale (AD88T, avec un groupe du 28e RAC) puis de l’AC33, en avril 1915. Ce groupe n’aura donc pas les mêmes lieux de combats que le 20e RAC. Les soldats garderont leurs numéros respectifs et combattront ensemble sous leur N° d’origine jusqu’en avril 1917, où elle ira constituer (avec 1 groupe du 44e RAC) le 264e régiment d’artillerie de campagne.

Pour voir le parcours de ce groupe, dès 1914, consulter le 264e RAC.

Sections de munitions d’artillerie et sections de munitions d’infanterie (SMA et SMI) du 20ème régiment d’artillerie de campagne :

Elles ne sont pas toutes rattachées directement au régiment. Elles n’ont donc pas exactement le même parcours exposé ci-dessus. On peut citer :

5ème, 6ème, 7ème, 8ème et 9ème sections de munitions d’artillerie du 20ème régiment d’artillerie de campagne :

En août 1914, elles sont rattachées au 9ème corps d’armée.

1ère et 2ème sections de munitions d’infanterie du 20ème régiment d’artillerie de campagne :

En août 1914, elles sont rattachées au 9ème corps d’armée.

31ème section de munitions d’infanterie du 20ème régiment d’artillerie de campagne :

En juin 1915, elle est rattachée au 37ème corps d’armée.

Historique du 21e régiment d’artillerie de campagne (21e RAC)

Les 1e, 2e et 3e groupes d’artillerie (batteries 1 à 9)

Casernement en 1914 : Angoulême. 12e brigade d’artillerie, artillerie de la 23e division d’infanterie (AD23).Composition : 3 groupes, 9 batteries de 75 (36 canons).

1 citation à l’ordre de l’armée.

 

1914 : En Belgique : Pin, Staimont (23/08), retraite, Neufchâteau, Florenville, Margut, Pouilly (26/08), Vouziers, Vitry-le-François (04/09), Sommepuis, ferme des Grandes Perthes (9-10/09), Perthes-lès Hurlus (17/09).

Champagne (sept.-mars 1915) : secteur de Reims, Tassy, Saint Léonard. Jonchery, Suippes, moulin de Chantereine, carrières de Jonchery.

1915 : Lorraine (avril-juin) : bois le prêtre, Mamey, bois de la Lampe, bois Brûlé, ravin de Limey. Artois (juil.-mars 1916) : Le Labyrinthe, Roclincourt, Écurie, le Fond de la Vase. Thélus.

1916 : Verdun (avril-juin) : ferme Wameau, crête de Froideterre, Fleury.

Le régiment a envoyé près de 500.000 obus durant son séjour à Verdun.

Aisne (juil.-nov.) : Soissons, Chemin des Dames, plateau de Madagascar, crête de Pargnan. Somme (nov.-janv.) : Biaches, la Maisonnette, Flaucourt, bois Désiré.

1917 : Champagne (janv.-oct.) : ferme des Wacques, moulin de Souain. Italie (nov.-déc.) : Vincence, Castelgomberto.

1918 : Italie (janv.-nov.) : Vallonara, Bassano, Campo-Rossignolo, pentes du Sprunck et du Taglio, Cima-Echar (juin), Turcio, secteur du Piave (oct.-nov.).

Groupe de renforcement du 21e régiment d’artillerie de campagne

Un groupe de renforcement du 21e RAC, a été créé à Angoulême en août 1914. Ce sont en majorité des réservistes.

Il constitue l'artillerie de la 62e division d’infanterie (AD62) avec un groupe du 34e RAC et un du 52e RAC. Ces 3 groupes n’auront donc pas les mêmes lieux de combats que le 21e RAC. En avril 1917, ces 3 groupes iront constituer le 221e régiment d’artillerie de campagne.

Pour voir le parcours de ce groupe, dès 1914, consulter le 221e RAC.

La 32e batterie du 21e régiment d’artillerie de campagne

En avril 1915, la 32e batterie est créée à Ruelle-sur-Tourve (16)

Il constitue (avec la 31e batterie du 15e RAC et la 33e du 49e RAC) le 2e groupe de l’artillerie de la 47e division d’infanterie (AD47) à partir de mai 1915. En avril 1917. Ce groupe devient le 2e groupe du 256e RAC.

1915 : Vosges (mai-déc.) : Plainfaing, La Schlucht, Steinbach, Metzeral, Reichsackerkopf, Le Linge

1916 : Vosges (janv.-mars) : Metzeral, Vallée de la Lauch.

En avril 1917. Cette batterie devient la 24e batterie du 256e RAC. Voir le 256e RAC

4e groupe du 21e régiment d’artillerie de campagne

En janvier 1916, 34e, 35e et 36e batteries, est créé à Angoulême. Il constituera l’AD128 avec 2 autres groupes du 52e RAC.

En 1917, il deviendra le 2e groupe du 252e RAC. Pour voir son parcours de 1916 à 1918, voir le 252e RAC.

Sections de munitions d’artillerie et sections de munitions d’infanterie (SMA et SMI) du 21ème régiment d’artillerie de campagne :

Elles ne sont pas toutes rattachées directement au régiment. Elles n’ont donc pas exactement le même parcours exposé ci-dessus. On peut citer :

5ème, 6ème, 7ème, 8ème et 9ème sections de munitions d’artillerie du 21ème régiment d’artillerie de campagne :

En août 1914, elles sont rattachées au 12ème corps d’armée.

1ère et 2ème sections de munitions d’infanterie du 21ème régiment d’artillerie de campagne :

En août 1914, elles sont rattachées au 12ème corps d’armée.

Historique du 22ème régiment d’artillerie de campagne (22e RAC)

Les 1e, 2e et 3e groupes d’artillerie (batteries 1 à 9)

Casernement en 1914 : Versailles. 3e brigade d’artillerie, artillerie de la 6e division d’infanterie. Composition : 3 groupes, 9 batteries de 75 (36 canons).

 

1914 : Charleroi (21-23 août). Les opérations de l'aile gauche : Guise (28-29 août). Bataille de la Marne (5 au 13 sept.) : Montceaux-lès-Provins.

1915 : Offensive d’Artois (mai-juin) : Vimy.

1916 : bataille de Verdun : secteur de Bezonvaux et Tavannes.

En avril 1917 : le 1e groupe de ce régiment alla constituer le 243e régiment d’artillerie.

1918 : Offensive vers Lassigny (août).

Groupe de renforcement du 22e régiment d’artillerie de campagne

Un groupe de renforcement du 22e RAC, a été créé à Fontaine-lès-Vervins (Aisne) en août 1914. Ce sont en majorité des réservistes.

Il constitue l'artillerie de la 53e division d’infanterie (AD53) avec un groupe du 11e RAC et un du 43e RAC. Ces 3 groupes n’auront donc pas les mêmes lieux de combats que le 22e RAC. En avril 1917, ces 3 groupes iront constituer le 243e régiment d’artillerie de campagne.

Pour voir le parcours de ce groupe, dès 1914, consulter le 243e RAC.

Une batterie (non numérotée) du 22ème régiment d’artillerie de campagne

Formée au dépôt du 22e RAC, début 1915, équipée de canons de 90, cette batterie va combattre au sein du 36e corps d’armée. Elle n’aura donc pas les mêmes lieux de combats que le 22e RAC. En avril 1917, elle ira constituer le 270ème régiment d’artillerie de campagne.

Pour voir le parcours de cette batterie, dès 1915, consulter le 270e RAC.

Sections de munitions d’artillerie et sections de munitions d’infanterie (SMA et SMI) du 22ème régiment d’artillerie de campagne :

Elles ne sont pas toutes rattachées directement au régiment. Elles n’ont donc pas exactement le même parcours exposé ci-dessus. On peut citer :

10ème, 11ème, 12ème, 13ème et 14ème sections de munitions d’artillerie du 22ème régiment d’artillerie de campagne :

En août 1914, elles sont rattachées au 3ème corps d’armée.

3ème et 4ème sections de munitions d’infanterie du 22ème régiment d’artillerie de campagne :

En août 1914, elles sont rattachées au 3ème corps d’armée.

Historique du 23ème régiment d’artillerie de campagne (23e RAC)

Les 1e, 2e et 3e groupes d’artillerie (batteries 1 à 9)

Casernement en 1914 : Toulouse. 17e brigade d’artillerie, artillerie de la 34e division d’infanterie. Composition : 3 groupes, 9 batteries de 75 (36 canons).

 

1914 : Opérations des 3e et 4e armées en Belgique : Bertrix (août). Bataille de la Marne (5-13 sept.). Course à la mer : Perthes, cote 200.

1915 : Champagne : Perthes-lès-Hurlus (fév.). Offensive d’Artois (mai-juin).

1916 : bataille de Verdun : Côte 304, bois d’Avocourt (11 mars-30 avril).

1917 : Secteur Marquises, Prosnes, attaque du 31 janv. Marne : Mont Blond, Cornillet (avril). Verdun : Les Chambrettes (nov.-déc.).

1918 : Monts des Flandres (avril-mai). Somme : Chaulnes (août), Somme (sept.), Longchamp, Noyelles (oct.), Guise (nov.).

Un groupe de renforcement du 23e régiment d’artillerie de campagne

Ce groupe du 23e RAC, canon de 75, a été formé et rassemblé à Toulouse en août 1914. Ce sont en majorité des réservistes du 23e RAC.

Il constitue l'artillerie de la 67e division d’infanterie (AD67) avec un groupe du 18e RAC et un du 57e RAC.

Ces 3 groupes n’auront donc pas les mêmes lieux de combats que le 23e RAC. Ils garderont leurs numéros respectifs et combattront ensemble sous leur N° d’origine jusqu’en avril 1917, avant de se nommer 218e RAC.

Pour voir le parcours de ce groupe, dès 1914, consulter le 218e RAC.

41e batterie du 23e RAC (canons de 90) :

En avril 1915, la 41e batterie (6 canons de 90 mm) est constituée à Toulouse en hommes et en chevaux par des prélèvements sur les autres batteries du 23e RAC. Le 25 mai 1915, elle fait partie de l’artillerie de la 101e division territoriale (AD101). La majorité des artilleurs sont des territoriaux.

1915 : d’avril à août : formation au camp d’Avord (Cher). Camp retranché de Paris (août-sept.) : Meaux, Mitry-Mory. Aisne (sept.) : May-en-Multien, Largny, Érise-la-Brûlée (oct.). Chauvoncourt, Villers-sur-Meuse. Ouest de Pont à Mousson (oct.- mai 1916) : Flirey, Gironville.

1916 : Saint-Agnant, étang de Wargévaux (mai-sept.). Koeur-la-Grande, Dompcevrin (sept.-nov.).

En nov., la batterie fait partie de l’AD134 et se rend dans la région de Belfort. Occupation d’un secteur entre la frontière suisse et le canal du Rhin au Rhône jusqu’en mars 1917.

Le 1 avril 1917, la batterie devient la 21e batt. du 223e RAC. Voir le 223e RAC.

42e batterie du 23e RAC (canons de 90) :

Début 1915, la 42e batterie est constituée à ? . En mai 1915, elle fait partie de l’artillerie de la 101e division territoriale (AD101). La majorité des artilleurs sont des territoriaux.

1915 : d’avril à août : formation au camp d’Avord (Cher). Camp retranché de Paris (août-sept.) : secteur de Meaux. Meuse (oct.-déc.) : ?

1916 ?

En nov., la batterie fait partie de l’AD134 et se rend dans la région de Belfort. Occupation d’un secteur entre la frontière suisse et le canal du Rhin au Rhône jusqu’en mars 1917.

Le 1 avril 1917, la batterie devient la 22e batt. du 223e RAC. Voir le 223e RAC

43e batterie du 23e RAC (canons de 90) :

En mars 1915, la 43e batterie est constituée à Agen. En mai 1915, elle fait partie de l’artillerie de la 101e division territoriale (AD101). La majorité des artilleurs sont des territoriaux.

1915 : d’avril à août : formation au camp d’Avord (Cher). Camp retranché de Paris (août-sept.) : Meaux, Villers-sur-Morin.

Meuse (oct.-déc.) : Villotte-devant-Saint-Mihiel, Laneuville-au-Rupt. Woëvre : Essey, Richecourt.

1916 : Woëvre (janv.-nov.) : Euzevin, Nonsard, Bouillonville, Pannes. Puis Varnéville, Apremont-la-Forêt, bois Brûlé, bois Jura.

En nov., la batterie fait partie de l’AD134 et se rend dans la région de Belfort. Occupation d’un secteur entre la frontière suisse et le canal du Rhin au Rhône jusqu’en mars 1917.

Le 1 avril 1917, la batterie devient la 23e batt. du 223e RAC. Voir le 223e RAC

Un groupe, créé en 1917, constitué par :

Ø  Une batterie formée en avril 1917, à Toulouse, par des éléments de la 43e section de munitions (43e SM) du 18e RAC dissoute, du 18e RAC, du 23e RAC, du 57e RAC, du 117e

Ø  Une batterie formée en mars 1917, à Toulouse, avec principalement des éléments jeunes du 23e RAC et des territoriaux de la 43e SM.

Ø  Une batterie est formée en mars 1917, à Toulouse, avec des éléments provenant du dépôt du 23e RAC.

Ce groupe ira constituer le 3e groupe du 223e RAC. Voir le 223e RAC.

Sections de munitions d’artillerie et sections de munitions d’infanterie (SMA et SMI) du 23ème régiment d’artillerie de campagne :

Elles ne sont pas toutes rattachées directement au régiment. Elles n’ont donc pas exactement le même parcours exposé ci-dessus. On peut citer :

SMA

10ème, 11ème, 12ème et 13ème sections de munitions d’artillerie du 23ème régiment d’artillerie de campagne :

En août 1914, elles sont rattachées au 17ème corps d’armée.

14ème sections de munitions d’artillerie du 23ème régiment d’artillerie de campagne :

En août 1914, elle est rattachée au 17ème corps d’armée. Puis en mars 1916, elle est rattachée à la 46ème division d’infanterie. Puis en avril 1917, elle devient 22ème SMA du 227ème régiment d’artillerie de campagne.

SMI

3ème et 4ème sections de munitions d’infanterie du 23ème régiment d’artillerie de campagne :

En août 1914, elles sont rattachées au 17ème corps d’armée.

Historique du 24ème régiment d’artillerie de campagne (24e RAC)

Les 1e, 2e et 3e groupes d’artillerie (batteries 1 à 9)

Casernement en 1914 : La Rochelle. 18e brigade d’artillerie, artillerie de la 35e division d’infanterie, toute la guerre. Composition : 3 groupes, 9 batteries de 75 (36 canons).

2 citations à l’ordre de l’armée, fourragère verte.

 

1914 : La Sambre : Thuin-Sartiau (23-24/08), retraite, Avesnes, Le Nouvion.

Bataille de Guise (28-29 août), route Guise à Marle, Hérie-La-Viéville, La Ferté-Chevrésis, Laon, Chavonne, Paars, Dormans, Montmirail, Sancy, Voulton (05/09).

Bataille de la Marne (5-13 sept.) : Villiers-Saint-Georges, Montceaux-lès-Provins, Château-Thierry, Fismes, Roucy.

Aisne : Pontavert (15/09), ruisseau de la Miette, Plaine-Selves. Felleries, signal d’Origny, moulin de Vauclerc, bois de Blanc-Sablon, Craonnelle.

1915 : Aisne (toute l’année) : secteur de Craonnelle, Paissy, Moulins, Bourg-et-Comin, Mont Charmont, ferme Comin.

1916 : Aisne (janv.-avril) : Mont Charmont, ferme Comin. Bataille de Verdun : Vaux, Douaumont, Thiaumont, l’Hôpital, Tavannes (mai).

Argonne (juin-oct.) : le Four-de-Paris, bois de la Gruerie. Somme (déc.-fév.17) : Belloy-en-Santerre, Berny puis Andechy, Lassigny, Noyon (fév.-mars).

1917 : offensive du Chemin des Dames (avril) : La Courtine puis vallée d’Oulches face au plateau de Vauclerc (mai), plateau des Casemates, Craonne.

Alsace (juil.-sept.) : Altenach. Champagne (oct.-déc.) : Souain.

1918 : Champagne (janv.-mars) : Souain.

Oise : bataille de Noyon (mars-mai), Mont Renaud, Pont-l’Evêque, plateau des Carrières, ferme de la Cense, carrières de Montigny, ravin du Hamel puis secteur de Ribécourt (mars-mai).

 

En mars, le régiment intègre le 5e groupe du 118e RAL (artillerie lourde, canons de 155).

 

Secteur de Soissons (mai-juin) : Laversine, Missy-aux-Bois, Montagne de Paris, râperie Sainte-Creaude, grottes de Cutry, Cutry, auberge du Chat Embarrassé.

Argonne (juin-août) : le Four-de-Paris, Biesme puis Oise, Rouy-le-Grand, Rouy-le-Petit.

bataille de Saint-Quentin (sept.), bois Francoeur, Épine de Dallon puis Achevy, Anguilcourt (oct.), ferme Ferrière, Chevrésis-les-Dames, Catillon-du-Temple, ferme de Bertaignemont, Courjumelles (oct.).

Une batterie (non numérotée) du 24ème régiment d’artillerie de campagne

Formée au dépôt du 24e RAC, début 1915, équipée de canons de 90, cette batterie va combattre au sein du 36e corps d’armée. Elle n’aura donc pas les mêmes lieux de combats que le 24e RAC. En avril 1917, elle ira constituer le 270ème régiment d’artillerie de campagne.

Pour voir le parcours de cette batterie, dès 1915, consulter le 270e RAC.

Groupe de renforcement du 24e régiment d’artillerie de campagne

Un groupe de renforcement du 24e RAC, a été créé à La Rochelle en août 1914 (533 hommes et 520 chevaux). Ce sont en majorité des réservistes.

Il constitue l'artillerie de la 68e division d’infanterie (AD68) avec un groupe du 14e RAC (puis le 62e RAC en oct. 1915) et un du 58e RAC. Ces 3 groupes n’auront donc pas les mêmes lieux de combats que le 24e RAC. Ils garderont leurs numéros respectifs et combattront ensemble sous leur N° d’origine jusqu’en avril 1917. À cette date, ces 3 groupes (24e, 58e et 62e RAC) iront constituer le 224e régiment d’artillerie de campagne.

Pour voir le parcours de ce groupe, dès 1914, consulter le 224e RAC.

 

Un groupe de 90mm du 24e régiment d’artillerie de campagne (31e, 32e et 33e batteries)

Constitué à La Rochelle de 3 batteries (31e, 32e et 33e batteries) et formé à la 5e armée, le groupe (groupe Renaud) de 90 arrive le 29/12/1915 à l’AD123 (JMOAD123). Arrive au 15e CA le 08/01/1916. Change ses canons de 90 par du 75 et passe officiellement à l’AC15 en mai 1916. Passe à l’AD164 en nov. 1916. Ces 3 batteries n’auront donc pas les mêmes lieux de combats que le 24e RAC. Ils garderont leurs numéros respectifs et combattront ensemble sous leur N° d’origine jusqu’en avril 1917.

1916 : Champagne (janv.-mai) : secteur des Mamelles. Verdun (mai-nov.) : La Hayette, cote 304.

1917 : Le 1e avril 1917, le groupe devient le 1e groupe du 232e RAC. Voir le 232e RAC.

8e groupe du 24e régiment d’artillerie de campagne (43e, 44e et 45e batteries)

Formation : La Rochelle en avril 1915. Constitution canons de 90mm. Rattaché à la 73e division d’infanterie (AD73). Canons de 90mm.

Constitution 15 officiers, 540 sous-officiers et hommes de troupe, 506 chevaux. Ces 3 batteries n’auront donc pas les mêmes lieux de combats que le 24e RAC. Ils garderont leurs numéros respectifs et combattront ensemble sous leur N° d’origine jusqu’en avril 1917.

1915 : Camp de La Courtine (Creuse) en avril. Camp de Mailly (10) en mai. Bois Le Prêtre (juin-déc.), Punevelle, Le Quart-en-Réserve, Vide-Bouteille.

1916 : Bois Le Prêtre (janv.-oct.).

En octobre, le groupe intègre l’AD 129 (qui passe à 3 groupes d’artillerie, avec un groupe du 41e et un du 44e RAC), forme son 3e groupe et échange ses canons de 90 par du 75mm.

Somme (nov.-janv. 1917) : nord de Barleux et de Belloy-en-Santerre.

1917 : Le 1e avril 1917, le groupe devient le 1e groupe du 231e RAC. Voir le 231e RAC.

Sections de munitions d’artillerie et sections de munitions d’infanterie (SMA et SMI) du 24ème régiment d’artillerie de campagne :

Elles ne sont pas toutes rattachées directement au régiment. Elles n’ont donc pas exactement le même parcours exposé ci-dessus. On peut citer :

10ème, 11ème, 12ème, 13ème et 14ème sections de munitions d’artillerie du 24ème régiment d’artillerie de campagne :

En août 1914, elles sont rattachées au 18ème corps d’armée.

3ème et 4ème sections de munitions d’infanterie du 24ème régiment d’artillerie de campagne :

En août 1914, elles sont rattachées au 18ème corps d’armée.

Historique du 25ème régiment d’artillerie de campagne (25e RAC)

Les 1e, 2e et 3e groupes d’artillerie (batteries 1 à 9)

Casernement en 1914 : Châlons-sur-Marne. 6e brigade d’artillerie, artillerie de la 12e division d’infanterie. Composition : 3 groupes, 9 batteries de 75 (36 canons).

 

1914 : Retraite des 3e et 4e armées : Petit-Xivry (24 août). Bataille de la Marne (5 au 13 sept.) : La Vaux-Marie (6 sept.), Sommaisne (8 sept.), Rembercourt-aux-Pots (10 sept.)

Bataille de la Woëvre et des Hauts-de-Meuse : Mouilly (21-22 sept.), Saint-Mihiel (26-28 sept.), Haumont-prés-Samogneux (oct.)

1915 : bataille de Champagne (sept.).

1916 : bataille de la Somme (sept.).

1917 : Aisne : attaque sur Berry-au-Bac (avril). Chemin des Dames (mai).

1918 : Canny-sur-Matz, Plémont, Plessier-de-Roye (mars-avril). Offensive de l'Aisne (sept.). Monts des Flandres.

Groupe de renforcement du 25e régiment d’artillerie de campagne

Un groupe de renforcement du 25e RAC, a été mobilisé à Saint-Martin-sur-le-Pré et Recy (Châlons-sur-Marne. 51). Ce sont en majorité des réservistes.

Il constitue l'artillerie de la 56e division d’infanterie (AD56) avec un groupe du 32e RAC et un du 40e RAC. Ces 3 groupes n’auront donc pas les mêmes lieux de combats que le 25e RAC. Ils garderont leurs numéros respectifs et combattront ensemble sous leur N° d’origine jusqu’en avril 1917. À cette date, ces 3 groupes iront constituer le 225e régiment d’artillerie de campagne.

Pour voir le parcours de ce groupe, dès 1914, consulter le 225e RAC.

Un groupe du 25e RAC (batteries 41 à 43)

Créé en mars 1915 à partir d’éléments puisés du dépôt du 25e RAC à Rennes. Il compose l’artillerie de la 156e division d’infanterie (AD156), nouvellement créée pour partir en Orient.

La 156e DI se nommera « 2e division du CEO » (corps expéditionnaire d’Orient) d’avril à septembre 1915, puis « division de Serbie » ou « division BAILLOUD » et redeviendra « 156e DI ».

1915 : Formation à Salon-de Provence (mars-mai). Embarquement à Marseille (11 mai) à bord de la « Havraise ». Île de Moudros, puis Turquie : Dardanelles (fin mai-oct.) : Krithia, Kéréves-Déré. Départ pour Salonique (Grèce) début octobre.

1916 : Salonique (Grèce) (janv.-mai). Secteur de Kilindir et du lac d’Ardjan (mai-juil.). Offensive sur Monastir (sept.-janv. 1917).

1917 : En avril 1917, le groupe deviendra le 1e groupe d’artillerie du 242e RAC. Voir >>> ici <<< le 242e RAC.

Sections de munitions d’artillerie et sections de munitions d’infanterie (SMA et SMI) du 25ème régiment d’artillerie de campagne :

Elles ne sont pas toutes rattachées directement au régiment. Elles n’ont donc pas exactement le même parcours exposé ci-dessus. On peut citer :

SMA :

13ème, 14ème, 17ème et 18ème sections de munitions d’artillerie du 25ème régiment d’artillerie de campagne :

En août 1914, elles sont rattachées au 6ème corps d’armée.

15ème section de munitions d’artillerie du 25ème régiment d’artillerie de campagne :

En août 1914, elle est rattachée au 6ème corps d’armée. Puis juin 1915, elle est rattachée au 2ème corps d’armée colonial.

16ème section de munitions d’artillerie du 25ème régiment d’artillerie de campagne :

En août 1914, elle est rattachée au 6ème corps d’armée. Puis fin septembre 1914, elle est rattachée au 32ème corps d’armée (ancien groupement général HUMBERT).

SMI :

4ème et 6ème sections de munitions d’infanterie du 25ème régiment d’artillerie de campagne :

En août 1914, elles sont rattachées au 6ème corps d’armée.

5ème section de munitions d’infanterie du 25ème régiment d’artillerie de campagne :

En août 1914, elle est rattachée au 6ème corps d’armée. Puis fin septembre 1914, elle est rattachée au 32ème corps d’armée (ancien groupement général HUMBERT). Puis en juillet 1916, elle est rattachée à la 40ème division d’infanterie. La 5ème SMI du 25e RAC devient en avril 1917 la 1ère SMI du 40e RAC, et est rattachée à la 40ème division d’infanterie jusqu’à la fin de la guerre.

Historique du 26ème régiment d’artillerie de campagne (26e RAC)

Les 1e, 2e et 3e groupes d’artillerie (batteries 1 à 9)

Casernement en 1914 : Chartres. 4e brigade d’artillerie, artillerie de la 7e division d’infanterie. Composition : 3 groupes, 9 batteries de 75 (36 canons).

 

1914 : La retraite des 3e et 4e armées. Bataille de la Marne (5-13 sept.) : Nanteuil-le-Haudouin. Course à la mer : Bois Saint Mard, Lassigny (sept.).

1915 : bataille de Champagne : Auberive (sept.).

1916 : bataille de Verdun - Reprise des Forts de Douaumont et de Vaux : secteur Marguerite.

1917 : Verdun : Le Talou (août-sept).

1918 : Champagne (juil.). Attaque de Champagne (sept.), Arnes, Saint-Clément (oct.).

Un groupe de renforcement du 26e régiment d’artillerie de campagne

Un groupe (5e groupe ?) du 26e RAC, a été créé quand ? Où ? 34e, 35e et 36e batteries.

Il est arrivé au 34e CA le 23 avril 1916 (JMO AC34) et constitue une partie de l'artillerie du 34e corps d’armée, puis en juin 1916 l’AD66. Ce groupe n’aura donc pas les mêmes lieux de combats que le 26e RAC. En avril 1917, il ira constituer le 240e régiment d’artillerie de campagne (avec un groupe du 37e RAC et un du 40e RAC).

Pour voir le parcours de ce groupe, dès 1916, consulter le 240e RAC.

3e groupe de renforcement du 26e régiment d’artillerie.

Formé aux environ de Chartres. Formée de trois batteries (21e, 22e et 23e batteries) de 75mm, il est affecté à l’AD54, puis à l’AD65 en oct.1914.

1914 : Combats de Vaudoncourt, Spincourt (23et 34/08), Billy-sous-Mangiennes, Spada (27/08), Beaumont, Saint-Mihiel (05/09), Koeur, Camp des Romains.

Bataille de la Marne (6-10/09) : Seraucourt, Beauzée-sur-Aire, Courcelles –sur-Aire, La Vaux-Marie. Ornes, Jumelles d’Ornes, Gremilly.

Secteur de Saint-Mihiel (sept.-déc.) : Woinbey, fort de Troyon, casernes de Chauvoncourt, bois des Hautes-Charrières, Le Malin-Bois

1915 : Secteur de Saint-Mihiel (janv.-mai) : secteur entre Maizey et les Paroches, bois de La Charme, fort des Paroches, Koeur-la-Grande.

De juin 1915 à mai 1916 occupation d’un secteur entre Regniéville-en-Haye et Fey-en-Haye.

1916 : Bataille de Verdun (juin-sept.) : Chattancourt, La Hayette. Début oct. repos à Vaubecourt. Verdun (oct.-janv. 1917) : Secteur entre la Hayette et la Meuse, vers Charny.

1917 : Argonne (janv.-sept.) : secteur entre l’Aire et le Four-de-Paris.

En avril 1917, le groupe ira former le 3e groupe du 255e RAC. Pour suivre ce groupe à partir de 1917, voir le 255e RAC.

Sections de munitions d’artillerie et sections de munitions d’infanterie (SMA et SMI) du 26ème régiment d’artillerie de campagne :

Elles ne sont pas toutes rattachées directement au régiment. Elles n’ont donc pas exactement le même parcours exposé ci-dessus. On peut citer :

SMA :

5ème, 6ème, 7ème, 8ème et 9ème sections de munitions d’artillerie du 26ème régiment d’artillerie de campagne :

En août 1914, elles sont rattachées au 4ème corps d’armée.

SMI :

1ère et 2ème sections de munitions d’infanterie du 26ème régiment d’artillerie de campagne :

En août 1914, elles sont rattachées au 4ème corps d’armée.

Historique du 27ème régiment d’artillerie de campagne (27e RAC)

Les 1e, 2e et 3e groupes d’artillerie (batteries 1 à 9)

Casernement en 1914 : Saint-Omer et Aire-sur-la-Lys. 1e brigade d’artillerie, artillerie de la 2e division d’infanterie. Composition : 3 groupes, 9 batteries de 75 (36 canons).

 

1914 : Vers Charleroi : Dinant, Charleroi (21-23 août). Bataille de Guise (28-29 août). Bataille de la Marne (6–13 sept.) : Esternay.

1915 : Champagne : Mesnil-lès-Hurlus (fév.), bois d'Ailly.

1916 : bataille de Verdun : Douaumont (fév.). Bataille de la Somme : Combles (fin sept.).

1917 : Offensive de l'Aisne (avril). Offensive des Flandres (juil.-oct.).

1918 : Le Sépulcre, Offensive de l'Ourcq (juil.).

Un groupe de renforcement du 27e régiment d’artillerie de campagne

Ce groupe du 27e RAC, canon de 75, a été formé et rassemblé à Waziers (59) en août 1914. Ce sont en majorité des réservistes du 27e RAC.

Il constitue l'artillerie de la 51e division d’infanterie (AD51) avec un groupe du 15e RAC et un du 41e RAC.

Ces 3 groupes n’auront donc pas les mêmes lieux de combats que le 27e RAC. Ils garderont leurs numéros respectifs et combattront ensemble sous leur N° d’origine jusqu’en avril 1917, avant de se nommer 215e RAC.

Pour voir le parcours de ce groupe, dès 1914, consulter le 215e RAC.

Un groupe du 27e RAC (batteries 31 à 33)

Ce groupe du 27e RAC, canon de 75, a été formé et rassemblé à Nontron, Thiviers (Charente) en avril 1916.

1916 : Instruction au camp de la Braconne. Belfort (fin mai), secteur de Ballersdorf juin-juil.). Somme (juil.-nov.) : Maurepas, Curlu, Rancourt, Sailly-Saillisel, Fouquescourt, Maricourt, Le Hamel. Secteur de Remiremont (déc.-janv.1917), Metzeral, Leimbach.

1917 : Camp de Valdahon (fév.-mars).

Le 1e avril, le groupe deviendra le 1e groupe du 227e régiment d’artillerie. Les batteries 31e, 32e et 33e deviendront les 21e, 22e et 23e batteries du 227e RAC. Voir le 227e RAC.

Sections de munitions d’artillerie et sections de munitions d’infanterie (SMA et SMI) du 27ème régiment d’artillerie de campagne :

Elles ne sont pas toutes rattachées directement au régiment. Elles n’ont donc pas exactement le même parcours exposé ci-dessus. On peut citer :

10ème, 11ème, 12ème, 13ème et 14ème sections de munitions d’artillerie du 27ème régiment d’artillerie de campagne :

En août 1914, elles sont rattachées au 1er corps d’armée.

3ème et 4ème sections de munitions d’infanterie du 27ème régiment d’artillerie de campagne :

En août 1914, elles sont rattachées au 1er corps d’armée.

Carnet de guerre de soldats de ce régiment

Lire le carnet de Claude BERNELIN, des 54e, 27e et 13e régiments d’artillerie.

Historique du 28e régiment d’artillerie de campagne (28e RAC)

Titre : 28e régiment d’artillerie de campagne (28e RAC) – Ravin de Gratreuil 1915 - #chtimiste - Description : 28e régiment d’artillerie de campagne (28e RAC) – Ravin de Gratreuil 1915 - #chtimiste

 

28e régiment d’artillerie de campagne (28e RAC) – Ravin de Gratreuil 1915 - #chtimiste

Les 1e, 2e, 3e et 4e groupes d’artillerie (batteries 1 à 12)

Casernement en 1914 : Vannes. 11e brigade d’artillerie, artillerie du 11e corps d’armée. Composition : 4 groupes (puis 2 en juin 1915, puis 3 en avril 1917), 12 batteries de 75 en 1914 (48 canons).

Pas de citations du régiment, mais citations de groupes et batteries.

 

1914 : Boult-aux-Bois (août), Belgique (21-31 août) : secteur de Bouillon, les Hayons, Paliseul, Norefontaine.

Retraite de la bataille de Charleroi (fin août) : combats de Vadelaincourt, Fresnois, Vrigne-aux-Bois, sud de Sedan, Chéhéry, Château Racan, cote 307, Bulson, ferme Historia (28/08), Charbogne, Billy-au-Pré, nord-est de Reims, Machault. Combats de Laffincourt, Sept-Saulx, Vraux (04/09), Semoines (05/09).

Bataille de la Marne (6-10 sept.) : secteur nord de la Fère-Champenoise : Écury-Le-Repos, Normée, Morains, Connantray, Gourgançon, Salon, Châlons (11/09), ferme de Jonchery (13/09), sud-ouest de Reims.

Oise (oct.) : Beaumont-Hamel, Bouzincourt, secteur d’Albert (oct.-déc.), La Boisselle.

 

1915 : secteur d’Albert, La Boisselle, Thiepval (avril).

En mai 1915, les 1e et 2e groupes formeront l’artillerie de la 151e division d’infanterie (AD151), les 3e et 4e groupes resteront artillerie du 11e corps d’armée. Pour suivre l’historique des 3e et 4e groupes, voir le 228e RAC.

Il reste donc que 2 groupes. La suite de cet historique ne concerne donc que les 1e et 2e groupes du 28e RAC.

Bray-sur-Somme (avril-août). Champagne (sept.-oct.) : Ville-sur-Tourbe, bois de Ville, Aubérive, Cernay, Mesnil-lès-Hurlus (nov.).

 

1916 : Champagne (janv.-mai) : Trou Bricot, Mesnil-lès-Hurlus.

En mai 1916, un groupe du 3e RAC (canons de 80) est adjoint aux 2 groupes du 28e RAC et combattra avec eux, mais restera sous l’appellation 3e RAC jusqu’en avril 1916. Ils formeront l’AD151.

Verdun (mai-août) : ouest du fort Saint-Michel, les Graviers, ouest du fort de Belleville, le Faubourg-Pavé, fort de Marre, ouvrage de Belle-Épine puis secteur de Reims (sept.-déc.).

 

1917 : faubourg ouest de Reims (janv.-avril).

Le 1e avril devient officiellement le 3e groupe du 28e RAC.

Offensive d’avril-mai : secteur de Reims : Les Cavaliers de Courcy, saillant de Neufchâtel.

Secteur du Chemin des Dames : Ailles, ferme d’Hurtebise (août-sept.). Bataille de La Malmaison (oct.), moulin de Laffaux (déc.).

 

1918 : Vauxaillon, Leuilly, château de Coucy (mars), bois de Monthizel (avril), Coucy-le-Château (08/04), Montécouvé, Monthizel (mai), ravin de Margival, Sorny, Villiers-la-Fosse, Fontenoy (30/05), Nouvron, Confrécourt, ravin du Soulier (03/06), ferme Murger, Courtieux.

Alsace (mai-août) : Manspach, Altenach.

Champagne (sept.-oct.) : Sainte-Marie-à-Py, Notre-Dame-des-Champs, Ville-sur-Retourne.

Les 35e et 44e batteries du 28ème régiment d’artillerie de campagne

Détachées du 28e RAC, dès août 1914, ces 2 batteries vont combattre ensemble (avec une batterie du 50e RAC) au sein de la 69e division d’infanterie. Elles n’auront donc pas les mêmes lieux de combats que le 28e RAC. En avril 1917, ce groupe ira constituer le 3e groupe du 268e RAC. Pour voir le parcours de ces batteries, dès 1914, consulter le 268e RAC.

Groupe de territoriaux du 28e régiment d’artillerie de campagne

Un groupe (41e, 42e et 43e batteries) d’artillerie du 28e RAC a été créé à Vannes durant la guerre. C’est un groupe entièrement formés de territoriaux (en août 1914). Il constitue l’artillerie de la 88e division d’infanterie (AD88T). En avril 1915, il passe à l’AC7, puis à l’AD162 en novembre 1916 avec 2 groupes du 53e RAC. Ces 3 groupes n’auront donc pas les mêmes lieux de combats que le 28e RAC. En avril 1917, ces 3 groupes iront constituer le 263e régiment d’artillerie de campagne.

 

Parcours 1914-1916 de ce groupe :

1914 : Artois (août-sept.) : débarqué à Douai, Arras. Retraite vers la Somme : Coizé, Fréchencourt, Béthencourt (20/09), Tilloy, Beaumont-Hamel. Artois (nov.-déc.) : secteur d’Arras, Beaumetz-les-Loges, Monchy-au-Bois, Adinfer, Bailleulval, Ransart.

1915 : Artois (janv.-juin) : Adinfer, Bailleulval, Ransart. Champagne (sept.-déc.) : Jonchery, Épine de Védegrange, bois Volant.

1916 : Verdun (fév.-mars) : Jumelles d’Ormes, bois des Caurières, bois de la Vauche, Fleury. Puis en avril-juil. : cote 309, nord de Montzéville, cote 304. Somme (sept.) : Frise, Bouchavesnes. Argonne (oct.) : ferme de la Renarde. Champagne (nov.-janv. 1917) : Souain.

En avril 1917, ce groupe ira constituer le 3e groupe du 263e RAC. Pour voir le parcours de ce groupe, dès 1917, consulter le 263e RAC.

Groupe de canons de 95 du 28e RAC.

46e, 47e et 48e batteries constituées en mars 1915 (26N954/21). Le groupe batterie est à la disposition du 3e corps d’armée.

Parcours 1915-1916 de ce groupe :

1915 : Artois (sept.-oct.) : bois de Bonval, bois de la Folie, bois du Champ Pourri, bois des Alleux, Savy, cote 140, bois de La Justice, Acq.

Somme (nov.-fév. 1916) : Cappy, La Grenouillère, Éclusier, Morcourt, bois Vert.

1916 : Oise (début mars) : Attichy. mars-mai : secteur de Lunéville, Blainville-sur-L’eau, forêt de Champenoux.

Verdun (juin) : secteur du fort de Douaumont. Argonne (août) : Les Islettes. Fresnes-en-Woëvre (nov.-déc.), Ville-en-Woëvre.

En avril 1917, ce groupe ira constituer le 3e groupe du 211e RAC. Pour voir le parcours de ce groupe, dès 1917, consulter le 211e RAC.

La 33e batterie du 28ème régiment d’artillerie de campagne

Formée à Vannes le 11 janvier 1916, cette batterie va combattre au sein de la 154e division d’infanterie. Elle n’aura donc pas les mêmes lieux de combats que le 28e RAC. En avril 1917, elle deviendra la 43e batterie du 266e régiment d’artillerie de campagne.

Pour voir le parcours de cette batterie, dès 1916, consulter le 266e RAC.

Un groupe de renforcement du 28e régiment d’artillerie de campagne

Ce groupe du 28e RAC (batteries 27 à 29) canon de 75, a été formé et rassemblé à Vannes en août 1914. Ce sont en majorité des réservistes du 27e RAC.

Il constitue l'artillerie de la 61e division d’infanterie (AD61) avec un groupe du 35e RAC et un du 51e RAC. Ce groupe sera dissous fin septembre 1914.

La 47e batterie du 28ème régiment d’artillerie de campagne

Formées à Brest en septembre 1914, elle est affectée au 57e RAC.

1914 : Marne (oct.-déc.) : Suippes, Perthes-lès-Hurlus.

1915 : En juillet la batterie est dissoute est devient la 6e batterie du 57e RAC. Elle deviendra ensuite une batterie du 257e RAC, en 1917. Voir le 57e RAC

Un groupe du 28e régiment d’artillerie de campagne

En mai 1915, un nouveau groupe à 3 batteries (N° de batteries ?) est formé avec 2 batteries nouvellement créées à Angoulême et une batterie provenant du 6e groupe de réserve (61e et 62e DI). Ce groupe fera partie de l’AD 61. En avril 1917, il deviendra 3e groupe du 251e RAC. Voir le 251e RAC.

Sections de munitions d’artillerie et sections de munitions d’infanterie (SMA et SMI) du 28ème régiment d’artillerie de campagne :

Elles ne sont pas toutes rattachées directement au régiment. Elles n’ont donc pas exactement le même parcours exposé ci-dessus. On peut citer :

23ème et 24ème sections de munitions d’artillerie du 28ème régiment d’artillerie de campagne :

En janvier 1915, elles sont rattachées au 35ème corps d’armée.

22ème section de munitions d’infanterie du 28ème régiment d’artillerie de campagne :

En janvier 1915, elle est rattachée au 35ème corps d’armée.

Historique du 29ème régiment d’artillerie de campagne (29e RAC)

puis 29e RACP

Les 1e, 2e, 3e et 4e groupes d’artillerie (batteries 1 à 12)

Casernement en 1914 : Laon (3 groupes) et Sissonne (1 groupe). Il fait partie de la 2e brigade d'artillerie et est l’artillerie du 2e corps d’armée.

Composition : 4 groupes (puis 2 en juin 1915), 12 batteries de 75 (48 canons).

Une citation du régiment à l’armée, 1 à la 165e DI, 1 à la 11e DI, 1 à la 10e armée, fourragère et croix de guerre.

 

1914 :

Montmédy (22/08), bataille de Virton, Martincourt, Stenay, Authe, Grandpré (début sept.), Possesse, Biesme, Hauteville (5 sept.)

Bataille de la Marne : Thiéblemont (6-11 sept.), Givry-en-Argonne, Sainte-Menehould (14/09), Servon. Forêt d’Argonne (oct.-janv.) : 1e et 3e groupes : Vienne-la-Vienne et 2e et 4e groupes : Four-de-Paris.

Lire le carnet de guerre du maréchal-des-logis à la 8ème batterie Eugène ALBERT qui revient sur cette bataille dans ses écrits.

1915 :

Saint-Mard (repos), Champagne, fév.-mars (pour les 1e et 3e groupes) : fortin de Beauséjour, butte du Mesnil.

Les Éparges (avril-juil.), Ville-en-Woëvre, Mesnil-sous-les-Côtes, Hannoncelles.

Début juin, les 3e et 4e groupes sont enlevés du régiment et constitue l’artillerie de la 10e division coloniale (affecté au 2e corps colonial).

Ces 2 groupes et un groupe du 3e RAC colonial, constitueront, en avril 1917, le 229e RAC, puis en mai 1918 le 41e régiment d’artillerie coloniale

1e groupe : fort de Troyon (août-déc.).

2e groupe : fort de Troyon (août-sept.), Champagne (oct.-déc.).

3e et 4e groupes : à partir de juin 1915 : voir le 229e RAC

L’historique qui suit est donc seulement celui des 1e et second groupes.

1916 :

1e groupe : fort de Troyon (janv.-juin.)

2e groupe : Champagne (janv.-fév.), Verdun, le Mort-Homme (mars-juin).

Les 2 groupes : Somme (juil.-déc.), Assevillers, bois Robert.

1917 :

Secteur de Toul, Nancy (repos), bataille du chemin des Dames (avril) : bois de Gernicourt, puis jusqu’en juillet : Berry-au-Bac, Cuvette Charpentier, Cormicy, bois Poupeux, bois de la Marien, Sapigneul, bois du Champ du Seigneur.

Verdun (août) : carrières d’Haudromont, ravin de Vignes puis en sept.-nov. : Bois d’Esnes.

Tranchée de Calonne (mi-nov.).

1918 :

Le Mort-Homme (janv.-mars). Oise (avril) : Secteur de Montdidier, Clairois, Chevincourt, l’Équevillon, ferme d’Attiche, Ricquebourg.

En mai, le régiment est transformé en régiment de campagne d’artillerie portée (29e RACP). Les chevaux sont remplacés par des tracteurs et des camions.

Les 2 groupes se transforment en 3 groupes autotractés.

Nord de Soissons (mai-juil.) : Beaurepaire, Râperie de Sainte Creaude, Cutry, Chassemy, puis Coeuvres.

En un mois et demi, le régiment a perdu près de 180 hommes.

Hartennes (août), Tartiers, moulin de Laffaux, Crouy (sept.), Bangone (oct.), secteur de Nancy (nov.).

Le 8e groupe du 29e régiment d’artillerie de campagne

Le 8e groupe du 29e RAC, canon de 95, a été créé à Lorient en décembre 1914. Ce sont en majorité des réservistes du 5e RAC.

Il constitue l'artillerie de la 133e division d’infanterie (AD133) avec les 5e et 6e groupes du 5e RAC. Ces 3 groupes n’auront donc pas les mêmes lieux de combats que le 29e RAC. En avril 1917, ces 3 groupes iront constituer le 265e régiment d’artillerie de campagne.

Pour voir le parcours de ce groupe, dès 1916, consulter le 265e RAC.

Un groupe de réserve du 29e régiment d’artillerie (41e, 42e et 43e batteries). 

Formé (Laon ?) en août 1914 de 3 batteries (41e, 42e et 43e) de canons de 75mm. Le groupe compose en août 1914 le 1e groupe de l’artillerie de la 81e division d’infanterie territoriale (AD81T), avec un autre groupe de réserve du 29e RAC (44e, 45e et 46e batteries), puis en mars 1916 de l’AD46.

1914 : Nord de la France (août) : Douai, Saint-Omer. Somme (sept.). Secteur d’Amiens, Dury, Gaillefontaine, Buchy.

Souatres, Wailly, Bailleulval, Bucquoy, Berles-au-Bois (oct.), Ficheux, Blainreville.

Belgique (nov.-août 1915) : Alternance entre secteur de Dunkerque et Nieuport, en Belgique. Secteur de Lombartzyde.

1915 : Artois (sept.-fév.1916) : Secteur de Lens, Loos, Angres, Grenay.

1916 : Le groupe passe à l’AD46 en mars 1916. Alsace (mars-juin). Somme (juil.-nov.) : Maurepas, bois de la Cranière, Rancourt, tranchée des Portes de Fer, Sailly-Saillisel, Fouquescourt, Maricourt, Le Hamel. Secteur de Remiremont (déc.-janv.1917), Metzeral, Leimbach.

1917 : Camp de Valdahon (fév.-mars).

Le 1e avril, le groupe deviendra le 2e groupe du 227e régiment d’artillerie. Les batteries 41e, 42e et 43e deviendront les 24e, 25e et 26e batteries du 227e RAC. Voir le 227e RAC.

Un groupe de réserve du 29e régiment d’artillerie (44e, 45e et 46e batteries).

Mobilisé à Saint-Nicolas-au-Bois (02), constitue l’un des groupes de l’artillerie de la 81e division territoriale (AD81DT), avec un autre groupe de réserve du 29e RAC (41e, 42e et 43e batteries). Puis il constituera un groupe de l’AD165.

1914 : Flandres (mi-août) : Hazebrouck. Puis marches et contremarches dans le Nord, puis vers Rouen, puis de nouveau vers le Nord. Bucquoy, Achiet-le-Grand, Monchy-au-Bois, Hannescamps (sept.-oct.).

Belgique (oct.-nov.) : Entre Nieuport et la mer. Belgique (déc.) : plaine de l’Yser, Lombartzyde.

1915 : Belgique (janv.-août) : plaine de l’Yser : Dune 17, Saint Georges, Ramscappelle, Steenstraate. Artois (sept.- déc.) : Angres, fosse Calonne, Loos, Souchez

1916 : Somme (fév.-juin) : Flers-sur-Noye, Lamotte-en-Santerre. Oise : Tracy-le-Val, Tracy-le-Mont, Puisaleine. Estrees-Saint-Denis (nov.-déc.). Le groupe passe à l’AD165 en fin d’année 1916.

1917 : Secteur de Vienne-le-Château, Saint-Thomas.

En avril, le groupe devint le 2e groupe du 235e RAC. Les batteries 44, 45 et 46 de ce groupe deviennent les batteries 24, 25 et 26 du 235e RAC. Voir le 235e RAC.

31e batterie du 29ème régiment d’artillerie de campagne

Détachées du 29e RAC, dès août 1914, cette batterie va combattre au sein de la 69e division d’infanterie. Elle n’aura donc pas les mêmes lieux de combats du 29e RAC.

En avril 1917, elle ira constituer le 268e régiment d’artillerie de campagne.

Pour voir le parcours de cette batterie, dès 1914, consulter le 268e RAC.

Un groupe de renforcement du 29e régiment d’artillerie

Ce groupe du 29e RAC, canon de 75, a été formé et rassemblé à Cerny-les-Bussy (près de Laon, 02) en août 1914. Ce sont en majorité des réservistes du 29e RAC.

Il constitue l'artillerie de la 52e division d’infanterie (AD52) avec un groupe du 17e RAC et un du 42e RAC.

Ces 3 groupes n’auront donc pas les mêmes lieux de combats que le 29e RAC. Ils garderont leurs numéros respectifs et combattront ensemble sous leur N° d’origine jusqu’en avril 1917, avant de se nommer 217e RAC.

Pour voir le parcours de ce groupe, dès 1914, consulter le 217e RAC.

Sections de munitions d’artillerie et sections de munitions d’infanterie (SMA et SMI) du 29ème régiment d’artillerie de campagne :

Elles ne sont pas toutes rattachées directement au régiment. Elles n’ont donc pas exactement le même parcours exposé ci-dessus. On peut citer :

SMA :

23ème section de munitions d’artillerie du 29ème régiment d’artillerie de campagne :

En août 1914, elle est rattachée à la 52ème division d’infanterie.

24ème section de munitions d’artillerie du 29ème régiment d’artillerie de campagne :

En août 1914, elle est rattachée à la 52ème division d’infanterie. Puis en juin 1915, elle est rattachée au 38ème corps d’armée.

25ème section de munitions d’artillerie du 29ème régiment d’artillerie de campagne :

En août 1914, elle est rattachée à la 52ème division d’infanterie et y restera jusqu’en avril 1917 où elle devient la 22ème SMA du 217e RAC

SMI :

21ème section de munitions d’infanterie du 29ème régiment d’artillerie de campagne :

En août 1914, elle est rattachée à la 52ème division d’infanterie et y restera jusqu’en avril 1917 où elle devient la 21ème SMI du 217eRAC

22ème section de munitions d’infanterie du 29ème régiment d’artillerie de campagne :

En août 1914, elle est rattachée à la 52ème division d’infanterie. Puis en juin 1915, elle est rattachée au 38ème corps d’armée.

Carnet de guerre de soldats de ce régiment

Lire le carnet de guerre du maréchal-des-logis Eugène ALBERT de la 8ème batterie du 29ème régiment d’artillerie de campagne.

 

Historique du 30ème régiment d’artillerie de campagne (30e RAC)

Les 1e, 2e et 3e groupes d’artillerie (batteries 1 à 9)

Casernement en 1914 : Orléans. Il fait partie de la 5e brigade d’artillerie et est l’artillerie de la 9e division d’infanterie pour les 3 groupes (9 batteries de 75) stationné à Orléans.

Les 10e et 11e batteries à cheval sont rattachées à la 7e division de cavalerie, à Orléans.

Une citation du régiment à l’ordre de l’armée et une citation au corps d’armée.

 

1914 : Lérouville (7/08), Verdun, Longuyon, Tellancourt (21/08), crête de Saint Pancré (22/08) (nombreuses pertes).

Petit-Xivry, Petit-Failly (25/08), entre Cunel et Nantillois. Repli vers Cierges, Charpentry, vallée de l’Aire, Varennes, Neuvilly, Clermont.

Evres, bois Defuy, ruisseau des Cinq Fontaines (5/09).

Bataille de la Marne : ferme de Vaux-Marie (7 sept.) puis Condé-en-Barrois, Louppy-le-Château, Triaucourt, Froidos, Auzéville, Clermont-en-Argonne (11/09), Montblainville, Varennes, forêt d’Argonne.

Forêt de Hesse (nov.), Les Bouleaux, la Maize, côtes de Forimont, Le Rendez-Vous de Chasse, La Cigalerie (déc.).

1915 : Argonne (janv.-mai) : 1e groupe : La Maison Forestière. 2e groupe : La Chalade, Le Four-de-Paris. 3e groupe : Grand Triage, la Fille Morte.

Argonne (mai-déc.) : Haute Chevauchée, cote 263, cote 285, forêt de Hesse, Clermont-en-Argonnes.

1916 : Même secteur (janv.-août).

Verdun (sept.-déc.) : bois de Fleury, La Poudrière, fort de Souville.

1917 : Chemin des Dames (avril). Chemin des Dames (toute l’année) : Cormicy, Cauroy, Hermonville, bois de Génicourt, le Choléra, bois Clausade.

1918 : Oise (mars-avril) : bataille de Noyon (mars), Berlancourt, Beaurain, Thiescourt, l’Écouvillon, ferme Saint-Claude.

Marne (juil.-août) : nord d’Épernay : bois Saint Marc, Romery, Le Paradis, Nanteuil (juil.).

Groupe de renforcement du 30e RAC :

Un groupe de renforcement du 30e RAC, a été créé en août 1914. Ce sont en majorité des réservistes.

Montigny, Berry-au-Bac, Mont Spin, bois de Génicourt, bois des Pies, Bois des Geais, La Recouvrance (nov.).

Il constitue l'artillerie de la 55e division d’infanterie (AD55) avec un groupe du 13e RAC et un du 45e RAC. Ces 3 groupes n’auront donc pas les mêmes lieux de combats que le 30e RAC. En avril 1917, ces 3 groupes iront constituer le 230e RAC.

Pour voir le parcours de ce groupe, dès 1914, consulter le 230e RAC.

Groupe de territoriaux du 30e RAC

Un groupe de trois batteries a été créé en début 1917. Ce sont en majorité des territoriaux qui proviennent du dépôt d’Orléans.

En avril 1917, ce groupe ira constituer le 223e régiment d’artillerie de campagne, avec 2 groupes du 23e RAC.

41e et 42e batterie du 30e RAC (41e et 42e batteries)

Un groupe, formé en mars 1915, de 2 batteries du 30e RAC (41e et 42e) de 6 canons de 95 mm. Le personnel était composé de territoriaux et de réservistes provenant principalement du Loiret. Fait partie de l’AD154, puis de l’AC38 en juin 1915.

1915 : formation à Orléans et Joigny. Instruction Récy (avril-mai). Secteur de Mailly (juin).

Le 22 juin 1915, le groupe devient élément constitutif de l’artillerie du 38e corps d’armée (AD38), avec le groupe du 3e RAC et un groupe du 34e RAC. Il deviendra ensuite élément du 214e RAC.

Pour suivre son parcours après juin 1915, voir le 214e RAC >>> ici <<<

Un groupe du 30e régiment du 30e RAC (44e, 45e et 46e batteries)

Un 4e groupe (44e, 45e et 46e batteries de canons de 90mm) du 30e RAC a été créé le 18 novembre 1915. Ce sont en majorité des réservistes du 30e RAC.

Les hommes de la 44e batterie proviennent du dépôt du 30e RAC, ceux de la 45e batt. du dépôt du 45e RAC et ceux de la 46e batt. de celui du 13e RAC.

Il constitue l'artillerie de la 121e division d’infanterie (AD121) avec 2 groupes du 5e RAC. Ces 3 groupes n’auront donc pas les mêmes lieux de combats que le 30e RAC. En avril 1917, ces 3 groupes iront constituer le 205e régiment d’artillerie de campagne.

Pour voir le parcours de ce groupe, dès 1915, consulter le 205e RAC.

Sections de munitions d’artillerie et sections de munitions d’infanterie (SMA et SMI) du 30ème régiment d’artillerie de campagne :

Elles ne sont pas toutes rattachées directement au régiment. Elles n’ont donc pas exactement le même parcours exposé ci-dessus. On peut citer :

10ème, 11ème, 12ème, 13ème et 14ème sections de munitions d’artillerie du 30ème régiment d’artillerie de campagne :

En août 1914, elles sont rattachées au 5ème corps d’armée.

3ème et 4ème sections de munitions d’infanterie du 30ème régiment d’artillerie de campagne :

En août 1914, elles sont rattachées au 5ème corps d’armée.

Historique du 31ème régiment d’artillerie de campagne (31e RAC)

 

État-major du 31ème régiment d’artillerie lors du départ le 5 août 1914 au Mans. Voir les noms.

Les 1e, 2e et 3e groupes d’artillerie (batteries 1 à 9)

Casernement en 1914 : Le Mans. Il fait partie de la 4e brigade d’artillerie et est l’artillerie de la 8e division d’infanterie. Composition : 3 groupes, 9 batteries de 75 (36 canons).

3 citations à l’ordre de l’armée, fourragère verte (à vérifier).

 

1914 : nord de Verdun (07/08) : Charny, Consenvoye, Spincourt, Mangiennes, Virton (22/09), Mont Quintin, Belgique (21-22 août, une batterie) : Izel, Claière de Florenville.

Retraite, Sainte-Menehould (2/09) puis bataille de la Marne : Monceaux-lès-Provins, Montagny, Lizy-sur-Ourcq, Pierrefonds, forêt de Compiègne, Lamotte (13/09), Malvoisine, Ecafaut, sud de Tracy-le-Mont.

Course à la mer : Conchy-les-Pots, Roye, Laucourt, Popincourt (fin sept.), le Quesnoy-en-Santerre (oct.), Andechy, Davenescourt, (nov.-déc.).

1915 : Champagne : Tahure, Perthes-lès-Hurlus, bois Sabot, bois des Bouleaux (fév.).

Secteur des monts (mars-août) : Mont Haut, Le Cornillet, les Marquises, Thuisy ouvrage du Monstre, ouvrage du Tumulus.

Bataille de Champagne : Auberive, bois des Territoriaux, bois Raquette (sept.), Épine de Védegrange (oct.-déc.).

1916 : Marne : Main-de-Massiges (janv.-juin). Bataille de Verdun (juil.) : Froideterre, fort Saint-Michel.

En 1 mois, le régiment avait eu 33 canons détruits (sur 36), la 6e batterie avait tiré 27000 (vingt-sept mille) obus en 26 jours de position.

Marne : butte du Mesnil (août-oct.).

1917 : Somme (janv.-mars.) puis Marne : secteur des Monts Le Casque, le Téton, Moronvilliers (avril-mai), le Mont Haut (juil.), Les Marquises puis Trou Bricot et Perthes-lès-Hurlus (sept.-déc.).

1918 : Marne (janv.-juin) : secteur des Monts puis secteur d’Épernay (juil.) : Verneuil, Cuisles, Le Grand-Essart, Trotte, Chatillon-sur-Marne, Vandières (juil.) puis massif de Moronvilliers (août-oct.), ouvrage du Monstre, ouvrage du Tumulus.

Groupe territorial du 31e régiment d’artillerie de campagne

Un groupe du 31e RAC a été créé durant la guerre. Ce sont en majorité des territoriaux.

Il fait partie de l’artillerie du 36e corps d’armée (puis de la 87e division territoriale puis artillerie de la 45e division d’infanterie, puis de l’AD 153, puis AD 152, puis AD 45) avec 2 autres groupes qui allait constitué le 270e RAC. Voir le 270e RAC pour le parcours de ce groupe.

Un groupe (45e, 46e et 47e batteries) du 31e régiment d’artillerie de campagne

Ce groupe provient de la transformation en groupe de tir de 2 sections de munitions prélevées en octobre 1914 sur le parc d’artillerie du 4e corps d’armée.

Il est constitué par les 45e, 46e et 47e batteries équipés de canons de 95. En avril 1917, il ira constituer le 222e RAC. Voir le 222e RAC pour le parcours de ce groupe depuis 1914.

4e groupe du 31e régiment d’artillerie de campagne (24e, 25e et 26e batteries)

Constitue l’artillerie de la 54e division d’infanterie en août 1914 (avec le 5e groupe du 44e RAC). Constitué au Mans.

1914 : Spincourt (24/08), bois Martin, Gercourt, bois des Forges, bois des Moriaux (fin août).

Le 4 déc., la 54e DI est dissoute et son artillerie passe au 6e corps d’armée, comme artillerie de corps (AC6). Secteur entre Verdun et Bar-le-Duc : Vaux-Marie, Romagne-sous-les-Côtes (sept.), Saint-Mihiel, Lacroix-sur-Meuse. Les Éparges (oct.-déc..).

1915 : Les Éparges, Marchéville, tranchée de Calonne (fév.-mai).

En juin le groupe quitte le 6e CA est devient un groupe de l’artillerie de la 129e division d’infanterie (AD129) nouvellement créée. L’AD129 est composé de 2 groupes, avec celui du 44e RAC.

Vosges (juin-août.) : La Fontenelle, Le Linge. Champagne (sept.-oct.) : nord de la ferme des Wacques. Vosges (déc.-janv.) : L’Hartmannswillerkopf, Wolskopf, Ban-de-Sapt.

1916 : Lorraine (mars-mai) : secteur entre Nomeny et Brin. Verdun (juin-juil.) : Thiaumont, côte de Froideterre. Bois le Prêtre (juil.-oct.) : Fey-en-Haye. Somme (nov.-janv. 1917) : nord de Barlaux et de Belloy-en-Santerre.

1917 : Le 1e avril 1917, le groupe devient le 1e groupe du 231e RAC. Voir son parcours >>> ici <<<.

Sections de munitions d’artillerie et sections de munitions d’infanterie (SMA et SMI) du 31ème régiment d’artillerie de campagne :

Elles ne sont pas toutes rattachées directement au régiment. Elles n’ont donc pas exactement le même parcours exposé ci-dessus. On peut citer :

10ème, 11ème, 12ème, 13ème et 14ème sections de munitions d’artillerie du 31ème régiment d’artillerie de campagne :

En août 1914, elles sont rattachées au 4ème corps d’armée. Elles n’ont donc pas exactement le même parcours exposé ci-dessus.

3ème et 4ème sections de munitions d’infanterie du 31ème régiment d’artillerie de campagne :

En août 1914, elles sont rattachées au 4ème corps d’armée. Elles n’ont donc pas exactement le même parcours exposé ci-dessus.

Carnet de guerre de soldats de ce régiment :

Lire le carnet de Pierre BOURGAULT, artilleur au 31ème régiment d’artillerie.

Lire le carnet de guerre de Jean BORDOZ des 31ème et 231ème régiments d’artillerie.

Historique du 32ème régiment d’artillerie de campagne (32e RAC)

Les 1e, 2e, 3e et 4e groupes d’artillerie (batteries 1 à 12)

Casernement en 1914 : Orléans (batteries 1e à 3e et 7e à 9e) et Fontainebleau (batteries 4 et 6). Il fait partie de la 5e brigade d’artillerie et est l’artillerie du 10e corps d’armée.

Composition : 4 groupes, 12 batteries de 75 (48 canons).

 

1914 : Charleroi (21-23 août) 

Bataille de la Marne (6-13 sept.) : Montmirail  (9 sept), Château-Thierry (10 sept.), Fismes (13 sept.).

Bataille des Flandres : L'Yser , Luyghem, Bixschoote, Maison du Passeur.

1915 : armées du Nord - Canal de l'Yperlée : Steenstraate, Lizerne.

1916 : bataille de Verdun (22-29 juil.) : Reprise des Forts de Douaumont et de Vaux, Louvemont, les Chambrettes (déc.).

1917 : Hurtebise, Aisne : La Malmaison (fin oct.).

1918 : Orvillers-Sorel. Aisne : Carlepont, Longpont (30 mai - 11 juin).

Un groupe de canons de 95 du 32e RAC

Un groupe du 5e régiment d’artillerie lourde a été transformé en un groupe du 32e RAC en nov. 1915. Ce groupe, équipé de canons de 95mm, constituera le 244e RAC en avril 1917. Pour suivre ce groupe, voir le 244e RAC.

Un groupe territorial du 32e régiment d’artillerie

Un groupe (41e, 42e et 33e batteries), du 32e RAC, canons de 75 a été créé en août 1914. Ce sont en majorité des territoriaux.

Il constitue une partie de l'artillerie de la 85e division d’infanterie territoriale en août 1914. En juin 1915, les canons de 75 sont échangés par du 90mm et le groupe passe à l’artillerie du 37e CA (AC37). En juillet 1916, les canons sont de nouveaux échangés par du 77mm. Le groupe passe à l’AD169 en janvier 1917.

Il constituera un groupe du 210e régiment d’artillerie en avril 1917. Ce groupe n’aura donc pas les mêmes lieux de combats que le 32e RAC.

 

1914 : Camp retranché de Paris (sept.-déc.).

1915 : Aisne (janv.-juin) : Chacrise, Vénizel, Condé-sur-Aisne, Longpont, Cutry, Serches. En juin 1915, les canons de 75 sont échangés par du 90mm.

Même secteur jusque février 1916.

1916 : La Neuvillette, bois de Beau-Marais, bois des Buttes, Loivre (mars), Berry-au-Bac, Soupir, moulin de Pontoy.

1917 : Voir le 210e RAC

Groupe de renforcement du 32e régiment d’artillerie de campagne

Un groupe de renforcement du 32e RAC, a été mobilisé à Fontainebleau. Ce sont en majorité des réservistes.

Il constitue l'artillerie de la 56e division d’infanterie (AD56) avec un groupe du 25e RAC et un du 40e RAC. Ces 3 groupes n’auront donc pas les mêmes lieux de combats que le 32e RAC. Ils garderont leurs numéros respectifs et combattront ensemble sous leur N° d’origine jusqu’en avril 1917. À cette date, ces 3 groupes iront constituer le 225e régiment d’artillerie de campagne.

Pour voir le parcours de ce groupe, dès 1914, consulter le 225e RAC.

Un groupe territorial du 32e régiment d’artillerie de campagne, canon de 90mm

Constitué de 3 batteries (45e, 46e et 47e batteries) à Fontainebleau. Ce sont en majorité des territoriaux (au début de la guerre). Créé en août 1915 à l’ADT103. Passe à l’AD46 en mars 1916. Passe à l’AD164 en nov. 1916. Ces 3 batteries n’auront donc pas les mêmes lieux de combats que le 24e RAC. Ils garderont leurs numéros respectifs et combattront ensemble sous leur N° d’origine jusqu’en avril 1917.

1915 : Les batteries arrivent « sans canons, ni caissons, ni voitures » le 18/08/1915 à la DIT103. Camp de la Courtine. Le groupe reçoit ses canons 1 mois après.

Aisne (oct.) : Villers-Hélon, Le Franc-Port. Oise (nov.-mars 1916) : secteur de Tracy-le-Val.

1916 : Alsace (mars-juil.) : Col de la Schlucht et col de Sainte-Marie. Somme (août-nov.) : Le Forest, ferme de l’hôpital, Rancourt, Sailly-Saillisel. Sud d’Amiens.

1917 : Le 1e avril 1917, le groupe devient le 2e groupe du 232e RAC. Voir le 232e RAC.

Sections de munitions d’artillerie et sections de munitions d’infanterie (SMA et SMI) du 32ème régiment d’artillerie de campagne :

Elles ne sont pas toutes rattachées directement au régiment. Elles n’ont donc pas exactement le même parcours exposé ci-dessus. On peut citer :

3ème, 4ème, 5ème sections de munitions d’artillerie du 32ème régiment d’artillerie de campagne :

En août 1914, elles sont rattachées à la 38ème division d’infanterie.

1ère et 2ème sections de munitions d’infanterie du 32ème régiment d’artillerie de campagne :

En août 1914, elles sont rattachées à la 38ème division d’infanterie.

Carnet de guerre de soldats de ce régiment

Mémoire de Lucien TORCHEBOEUF, artilleur au 32e régiment d’artillerie.

Les 11 carnets de guerre de Louis LECOMTE, maître-canonnier au 32e d’artillerie.

Historique du 33ème régiment d’artillerie de campagne (33e RAC)

Les 1e, 2e et 3e groupes d’artillerie (batteries 1 à 9)

Casernement en 1914 : Angers. Il fait partie de la 9e brigade d’artillerie et est artillerie de la 18e division d’infanterie pour les 3 groupes (9 batteries de 75) stationné à Angers.

Les 10e et 11e batteries à cheval sont rattachées à la 9e division de cavalerie, à Tours.

Une citation à l’ordre de la division.

 

1914 : sud de Nancy (août) : Flavigny, Delme, Nomeny, forêt de Bezange, La Neuvotte (23/08), Erbéviller, bois Morel, Champenoux, ferme de Bosebois, Nancy.

Pour le 3e groupe seul : Frouart (20/08), Alle, Monceau (23/08), Membre, Vresse, Mézières, Beuilly (26/08), Servion (27/08), Launoy, Neuvisy (29/08), Pont-Faverger (31/08).

Bataille de la Marne (5-13 sept.) : Oeuvry, Connantray, Gourgançon, Semoine, sud-est de Baconnes, Moronvilliers (14/09), Baconnes, Prosnes, Les Marquises (oct.).

Bataille des Flandres : Belgique (oct.-déc.). Ypres, Zonnebecke et de Paschendaele, le Polygone.

1915 : Belgique (janv.-mars) : secteur d’Ypres puis Artois (avril) : secteur d’Arras, Sainte-Catherine, Thélus, Roclincourt puis retour en Belgique (avril-mai) : Hetsas, Steenstraate, Lizerne puis secteur sud de Lens (mai-juil.) : Mont-Saint-Eloi, Berthonval, cote 140.

Bataille d’Artois de sept. : Achicourt puis Grenay, coron du Maroc, Bully (oct.-déc.).

1916 : Artois (janv.-mars) : entre Loos et Souchez.

Verdun (avril-mai) : bois d’Avocourt, bois Camard, cote 304.

Durant cette période du 21 avril au 24 mai, le régiment a tiré 180 000 obus, 600 obus par jour et par pièce, 17 canons ont été détruits, 19 éclatés, 17 hors de service par usure, 55 hommes tués, 78 chevaux tués. Chaque servant a manipulé ou transporté environ 21 tonnes d’obus.

Champagne (juin) : Suippes. Bataille de la Somme (oct.-déc.) : Sailly-Saillisel.

1917 : Champagne (janv.-fév.) : Aubérive puis Aisne (avril-août) : Lude, Montagne de Reims, Courtine de Chevreux, plateau de Californie.

Lorraine (août-oct.) : Lunéville puis secteur de Nancy.

1918 : secteur d’Amiens (avril), Rouvrel, Castel, bois Sénécat, Gournay-sur-Aronde (mai), Marquéglise, bois de Périmont (juin), Lataule, ferme Porte.

Nord de Montmirail, Vauchamps, Mortefontaine, ferme du Trou d’Enfer, Dormans, Igny-le-Jard, Vincelles, bois Tronquet, forêt de Ris (juillet), Vézilly (02/08), Château-Thierry (07/08) puis secteur de Verdun (sept.-oct.) : Haumont, Ormont, Benoîte-Vaux, Rosières-aux-Salines.

Un groupe d’artillerie à cheval du 33e régiment d’artillerie de campagne (batteries (10 à 12) :

Affecté à la 9e division de cavalerie. Détaché à l’AC39 en juin 1916. Passe à l’AD 168 en décembre 1916.

1914 : Revigny, Longuyon, Stenay. Belgique (août) : Virton, Neufchâteau. Paliseul. Retraite par Mézières, Rethel, Reims et Châlons-sur-Marne. Bataille de la Marne (sept.) : Sommesous, Mailly-le-Camp, Auberive. Défense de Reims. Compiègne (oct.). Flandres (nov.) : Saint-Éloi, Pilkem, Langemarck.

1915 : Artois (janv.) : Aix-Noulette. Secteur d’Amiens (mai-juil.). Secteur de Belfort (juil.-août) : Ammertswiller. Champagne (sept.-oct.) : Somme-Tourbe. Blainville-sur-L’eau (nov.-déc.).

1916 : Lorraine (janv.-mai) : secteur entre la forêt de Parroy et le Sânon. Vézelise (mars). Pont-Saint-Vincent, forêt de Paroy.

La 9e division de cavalerie est dissoute en juin 1916, le groupe d’artillerie devient un groupe du l’AD39.

Entre la Moselle et l’étang de Wargévaux, Limey, Lanfroicourt (nov.), Brin.

1917 : Ville-au-Val, Jarville.

La 10e batterie devient la 24e batterie du 233e RAC, la 11e devient la 25e du 233e RAC et la 12e devient la 26e du 233e RAC. Voir le 233e RAC.

Groupe de renforcement du 33e régiment d’artillerie de campagne

Un groupe de renforcement du 33e RAC, a été créé à Saint-Benoît en août 1914. Ce sont en majorité des réservistes.

Il constitue l'artillerie de la 59e division d’infanterie (AD59) avec un groupe du 20e RAC et un du 49e RAC. Ces 3 groupes n’auront donc pas les mêmes lieux de combats que le 33e RAC. En avril 1917, ces 3 groupes iront constituer le 220e régiment d’artillerie de campagne.

Pour voir le parcours de ce groupe, dès 1916, consulter le 220e RAC.

Groupe territorial du 33e régiment d’artillerie de campagne

Un groupe territorial a été constitué au 33e RAC (canons de 90). Ce groupe et créé en mars 1915.

En septembre 1915, il participe à la bataille de Champagne. Puis il constitue, avec 2 groupes du 44e RAC, l’artillerie de la 124e division d’infanterie (AD124) à partir de janv. 1916. Voir le 44e RAC.

Sections de munitions d’artillerie et sections de munitions d’infanterie (SMA et SMI) du 33ème régiment d’artillerie de campagne :

Elles ne sont pas toutes rattachées directement au régiment. Elles n’ont donc pas exactement le même parcours exposé ci-dessus. On peut citer :

10ème, 11ème, 12ème, 13ème et 14ème sections de munitions d’artillerie du 33ème régiment d’artillerie de campagne :

En août 1914, elles sont rattachées au 9ème corps d’armée.

3ème et 4ème sections de munitions d’infanterie du 33ème régiment d’artillerie de campagne :

En août 1914, elles sont rattachées au 9ème corps d’armée.

Historique du 34ème régiment d’artillerie de campagne (34e RAC)

Les 1e, 2e et 3e groupes d’artillerie (batteries 1 à 9)

Casernement en 1914 : Périgueux. 12e brigade d’artillerie, artillerie de la 24e division d’infanterie. Composition : 3 groupes, 9 batteries de 75 (36 canons).

 

1914 : En Belgique : Saint Médart, Florenville (22-23 août). Retraite des 3e et 4e armées : Carignan (28 août). Bataille de la Marne (5-13 sept.) : Châtelraould, Courdemange.

1915 : Opérations en Woëvre : Remenauville, Regniéville (avril), Hauts-de-Meuse : Bois d’Ailly (avril).

1916 : bataille de Verdun : Marre, Charny.

1917 : Maisons de Champagne (mars), Aubérive (août).

1918 : Front Italien : Offensive autrichienne du 15 juin, offensive du Piave.

Groupe dit « groupe de position » du 34e régiment d’artillerie de campagne

Un groupe, équipé de canons de 90, a été formé (à Périgueux ?), début octobre 1914. Ce sont en majorité des réservistes du 5e RAC.

Il constituera l'artillerie de la 127e division d’infanterie (AD127) avec deux groupes du 37e RAC en janvier 1916. Ces 3 groupes n’auront donc pas les mêmes lieux de combats que le 34e RAC. En avril 1917, ces 3 groupes iront constituer le 237e régiment d’artillerie de campagne.

Pour voir le parcours de ce groupe, dès 1914, consulter le 237e RAC.

Groupe de renforcement du 34e régiment d’artillerie de campagne

Un groupe de renforcement du 34e RAC, a été créé à Périgueux en août 1914. Ce sont en majorité des réservistes.

Il constitue l'artillerie de la 62e division d’infanterie (AD62) avec un groupe du 21e RAC et un du 52e RAC. Ces 3 groupes n’auront donc pas les mêmes lieux de combats que le 34e RAC. En avril 1917, ces 3 groupes iront constituer le 221e régiment d’artillerie de campagne.

Pour voir le parcours de ce groupe, dès 1914, consulter le 221e RAC.

41e, 42e et 43e batteries du 34e RAC

Ce groupe du 34e RAC, a été créé à Périgueux en mars 1915. Ce sont en majorité des réservistes qui proviennent du dépôt de Périgueux pour la 41e batterie et de celui d’Angoulême pour les 2 autres. Canons de 90 mm

Il entre dans la constitution de l’AD 154, puis en avril 1915 de l’AC38, puis en avril 1917 il partira former l’AD166.

 

1915 : Secteur de Reims (juin-déc.) : l’Allée Noire, le bois en V, bois des Zouaves, ferme de la Jouissance.

1916 : Secteur de Reims (janv.-mai) : Prunay, Verzenay. Positions de l’Enclos et de l’Espérance

En avril, le groupe est transformé en groupe de canons de 75mm.

Juin-déc. : secteurs de Saint-Thierry puis Chenay.

1917 : En janvier, le groupe du 34e RAC part constituer l’AD166, puis il entre dans la composition du 234e RAC le 1e avril 1917. Voir le 234e RAC.

Sections de munitions d’artillerie et sections de munitions d’infanterie (SMA et SMI) du 34ème régiment d’artillerie de campagne :

Elles ne sont pas toutes rattachées directement au régiment. Elles n’ont donc pas exactement le même parcours exposé ci-dessus. On peut citer :

SMA :

2ème et 3ème sections de munitions d’artillerie du 34ème régiment d’artillerie de campagne :

Elles sont issues, par changement d’appellation, des 24ème et 25ème sections de munitions d’artillerie du 53ème régiment d’artillerie de campagne. En janvier 1917, elles sont rattachées à la 41ème division d’infanterie. Puis finalement elles fusionnent pour devenir la 2ème SMA du 4ème RAC jusque la fin de la guerre.

10ème, 11ème, 12ème, 13ème et 14ème sections de munitions d’artillerie du 34ème régiment d’artillerie de campagne :

En août 1914, elles sont rattachées au 12ème corps d’armée.

SMI :

1ère section de munitions d’infanterie du 34ème régiment d’artillerie de campagne :

Elle est issue, par changement d’appellation, de la 21ème SMI du 53ème RAC (présente à la 41e DI depuis janvier 1915). En avril 1917, elle devient 1ère SMI du 34e RAC pour finalement fin 1917 se nommer 1ère SMI du 4e RAC jusque la fin de la guerre.

Historique du 35ème régiment d’artillerie de campagne (35e RAC)

Les 1e, 2e et 3e groupes d’artillerie (batteries 1 à 9)

Casernement en 1914 : Vannes. 11e brigade d’artillerie, artillerie de la 22e division d’infanterie. Composition : 3 groupes, 9 batteries de 75 (36 canons).

 

1914 : Opérations des 3e et 4e armées : Maissin (Belgique) (21-23 août).

Bataille de la Marne (5 au 13 sept.) : Lenharrée (7-8 sept.), Saint-Hilaire-le-Grand (sept.). Course à la mer : Thiepval (oct.).

Reprise de l’offensive : Bazentin la Boisselle, Orvilliers (17-24 déc.).

1915 : Artois : Hébuterne (6-8 juin).Bataille de Champagne : Tahure (sept.).

1916 : bataille de Verdun (avril), fort Saint-Michel, Belrupt (nov.), Fort de Vaux.

1917 : Chemin Des Dames : Laffaux (avril).

1918 : Nesle, Champlieu, Roye, Rollot, Mortemer (mars-avril). Chemin des Dames (mai). Champagne : Butte de Souain, Ferme Médéah (août-oct.).

11e groupe du 35e régiment d’artillerie de campagne

Un groupe du 37e RAC (ancien groupe « De Guillebon », s’agit-il du 2e groupe d’’artillerie de montagne rattaché à l’AD 125 en juin 1916 ?), nommé 11e groupe, a été créé en janvier 1915 (JMO de l’AD 125, 05/01/1915), à 3 batteries 31e, 32e et 33e batteries de canons de 80. Il constitue une partie de l'artillerie de la 125e division d’infanterie (AD125), avec les 3e et 4e groupes du 45e RAC.

Ce groupe n’aura donc pas les mêmes lieux de combats que le 35e RAC. En avril 1917, ces 3 groupes iront constituer le 245e régiment d’artillerie de campagne.

Pour voir le parcours de ce groupe, dès 1915, consulter le 245e RAC.

41e, 42e et 43e batteries de canons de 90 du 35e RAC

Un groupe de canons de 90 a été créé à Vannes, quand ?. Il compose l’artillerie de la 100e division d’infanterie territoriale (AD100T) créée en février 1915.

1915 : Camp retranché de Paris (fév.-sept.) : secteur de Mormant, Melun. Givry-en-Argonne (sept.). Billy-le-Grand.

1916 : Marne (fév.-août) : Mourmelon, ferme des Marquises. Villers-Cotterêts (sept.). Région d’Amiens (oct.-déc.).

1917 : le groupe de 90 du 35e RAC est transformé en groupe de 75mm, puis il arrive à la 158e DI le 22/02/1917 (voir composition, JMO158eDI). En avril, le groupe composera l’artillerie du 219e RAC. Voir le 219e RAC.

Un groupe de renforcement du 35e régiment d’artillerie de campagne

En août 1914, un groupe à 3 batteries (24e, 25e et 26e batteries) est formé à Vannes (16 officiers, 92 sous-officiers, 440 hommes de troupe et 523 chevaux).

Ce groupe fera partie de l’AD 61. En avril 1917, il deviendra le 2e groupe du 251e RAC. Voir le 251e RAC.

La 32e batterie du 35ème régiment d’artillerie de campagne

Formée à Vannes le 11 janvier 1916, cette batterie va combattre au sein de la 154e division d’infanterie. Elle n’aura donc pas les mêmes lieux de combats que le 35e RAC. En avril 1917, elle deviendra la 42e batterie du 266e régiment d’artillerie de campagne.

Pour voir le parcours de cette batterie, dès 1916, consulter le 266e RAC.

Sections de munitions d’artillerie et sections de munitions d’infanterie (SMA et SMI) du 35ème régiment d’artillerie de campagne :

Elles ne sont pas toutes rattachées directement au régiment. Elles n’ont donc pas exactement le même parcours exposé ci-dessus. On peut citer :

SMA :

5ème, 6ème, 7ème, 8ème et 9ème sections de munitions d’artillerie du 35ème régiment d’artillerie de campagne :

En août 1914, elles sont rattachées au 11ème corps d’armée.

SMI :

1ère et 2ème sections de munitions d’infanterie du 35ème régiment d’artillerie de campagne :

En août 1914, elles sont rattachées au 11ème corps d’armée.

31ème section de munitions d’infanterie du 35ème régiment d’artillerie de campagne :

En juin 1915, elle est rattachée au 2ème corps d’armée colonial.

 

Historique du 36ème régiment d’artillerie de campagne (36e RAC)

Les 1e, 2e et 3e groupes d’artillerie (batteries 1 à 9)

Casernement en 1914 : Clermont-Ferrand. 13e brigade d’artillerie, artillerie de la 25e division d’infanterie. Composition : 3 groupes, 9 batteries de 75 (36 canons).

2 citations à l’ordre de l’armée, fourragère verte

 

1914 : Lorraine (août-sept.) : Baccarat, Montigny, Ancerviller, Harouey (15/08), Cirey, Bertrambois, Sarrebourg, Lorquin, Hesse, (19-20/08), Nitting, Fraquelfing, Rambervillers (23/08), bois de Fays, La Grande-Pucelle, bois Menu, Roville-aux-Chênes, Saint-Maurice (26/08), retour au bois Menu (04/09), Saint-Pierremont.

Oise (sept.) : Ribécourt, Béthancourt, Montmarcq, course à la mer : Plessier-de-Roye, Lassigny (oct.), bois des Loges puis bois des Usages, Conchy-les-Pots, Roye-sur-Matz (oct.-déc.).

 

1915 : Oise : secteur de Conchy-les-Pots (janv.-oct.) puis secteur Roye-Lassigny jusque fév. 1916.

 

1916 : bataille de Verdun : Fleury-sur-Aire, Sommaisne, bois Bourru, bois des Corbeaux, Avocourt, Mort-Homme (fév.-avril).

Aisne (mai-sept.) : plateau de Nouvron puis bataille de la Somme (oct.-nov.) : secteur Rosières-en-Santerre, Lihons, bois de Chaulnes, Le Pressoir, Ablaincourt, Gonnecourt, Méharicourt (déc.).

 

1917 : Vosges (janv.-fév.) : Damblain puis Somme (mars) : Lassigny, Villequier-Aumont, Frières-Faillouël, fort de Liez (22/03), Remigny, fort de Vendeuil, Urvillers, secteur de Saint-Quentin, Rouppy, Fontaine-lès-Clercs (avril), La Fayet, ferme du Cépy.

Verdun : Avocourt, bois de Chattancourt, cote 304, forêt de Hesse (juil.-août).

Argonne (oct.-nov.) puis secteur de Verdun (déc.) : Bezonvaux.

 

1918 : Verdun (janv.) : Bezonvaux puis en mars : Avocourt puis le Talou, Mort-Homme, côte du Poivre (avril-juil.), bois Bourrus.

Aisne : Saint-Rémy-Blanzy, Grand-Rozoy, Beugneux, ferme de Bucy-le-Bras, Cuiry, Housse (03/08), Lesges, Cerseuil, ferme de l’Épitaphe, ferme de la Folie, Brenelle (sept.), fort de Condé, Vailly, ferme de Rouge-Maison, ferme de Folemprise (fin sept.).

1e groupe de renforcement du 36e régiment d’artillerie de campagne, canons de 90.

Un premier groupe de renforcement (41e, 42e et 43e batteries), du 36e RAC, a été créé en mars 1915 à Beaumont (Puy-de-Dôme). Ce sont en majorité des réservistes.

Il constitue une partie de l'artillerie de la 155e division d’infanterie (AD155) en mars 1915, puis de l’AD 157 en avril 1915 (avec un groupe du 15e RAC et un du 55e RAC). Ce groupe n’aura donc pas les mêmes lieux de combats que le 36e RAC.

 

41e batterie : créée à Issoire en mars 1915 (173 hommes et 159 chevaux).

42e batterie : créée à Moulins en mars 1915.

43e batterie : Elle provient du 53e RAC de Clermont–Ferrand (JMO), elle ne passe au 36e que le 1e avril 1915 (174 hommes et 159 chevaux).

Ces 3 batteries se rejoignent à Beaumont (63). Elles seront à l’instruction dans l’Ain (avril), puis au camp de la Valbonne jusqu’en sept. 1915.

 

1915 : Châlons-sur-Marne, Saint-Hilaire-au-Temple. Bataille de Champagne (sept.) : ferme des Wacques, bois Raquette, Saint-Hilaire-le-Grand.

Secteur de Belfort (oct.-déc.) : Héricourt, Montbéliard, Dannemarie.

1916 : Carspach, Burnhaupt-le-Bas, Traubach, Balschwiller, Ammerzwiller (fév.-mai), Leimbach, Ammerzwiller (juin-déc.).

1917 : Vosges (janv.-mars)

En avril 1917, il ira constituer le 3e groupe du 236e RAC (avec un groupe du 15e RAC et le second groupe de renforcement du 36e RAC). Pour voir le parcours de ce groupe, consulter le 236e RAC.

2e groupe de renforcement du 36e régiment d’artillerie de campagne, canons de 90.

Un second groupe de renforcement (24e, 25e et 26e batteries), du 36e RAC, a été créé en août 1914 à Moulins. Ce sont en majorité des réservistes.

Il constitue une partie de l'artillerie de la 155e division d’infanterie (AD155) en mars 1915, puis de l’AD 157 en avril 1915 (avec un groupe du 15e RAC et un du 55e RAC). Ce groupe n’aura donc pas les mêmes lieux de combats que le 36e RAC.

 

1914 : Vesoul, Belfort, Giromagny (août). Oise (sept.) : Puisieux, La Fosse-Saint-Martin, Douy-la-Ramée.

Aisne (sept.-déc.) : Plateau de Nouvron, Berny.

1915 : Aisne (toute l’année) : Billy-sur-Aisne, Soissons.

1916 : Ville-en-Tardenois, Cormicy (fév.), Vendières (mai), Verdun (juin) : fort de Vaux, fort de Souville.

Secteur de Belfort (août) :

1917 : Vosges (janv.-mars)

En avril 1917, il ira constituer le 1e groupe du 236e RAC (avec un groupe du 15e RAC et un autre du 36e RAC). Pour voir le parcours de ce groupe, consulter le 236e RAC.

Une batterie du 36e RAC

Une batterie du 36e RAC sera associée à une batterie du 53e RAC pour former un groupe territorial d’artillerie du 16e RAC.

Ce groupe de canons de 95 sera l’artillerie de la 84e division d’infanterie territoriale, et deviendra en avril 1917 une partie du 212e RAC. Pour suivre le parcours de ce groupe voir ici.

Un groupe du 36e régiment d’artillerie

Un groupe (31e, 32e et 33e batteries), du 36e RAC, a été créé en janvier-février 1916 à Moulins, puis son cantonnement est Beaumont (Puy-de-Dôme).

Il constitue une partie de l'artillerie du 30e corps d’armée à partir de février 1916. Il passe à l’AD169 en janvier 1917. Il constituera un groupe du 210e régiment d’artillerie.

Ce groupe n’aura donc pas les mêmes lieux de combats que le 36e RAC.

1916 : Verdun, fort du Rozelier. Lure, Charmois (avril-mai). Somme (juin-août) : secteur de Soyécourt, Foucaucourt-en-Santerre, cimetière de Foucaucourt. Fin de 1916 : Le Hamel, bois Leconte, cote 97.

1917 : Voir le 210e RAC

Un groupe de renforcement du 36e régiment d’artillerie de campagne

Ce groupe du 36e RAC, canon de 75, a été formé et rassemblé à Moulins en août 1914. Ce sont en majorité des réservistes du 36e RAC.

Il constitue l'artillerie de la 63e division d’infanterie (AD63) avec un groupe du 16e RAC et un du 53e RAC.

Ces 3 groupes n’auront donc pas les mêmes lieux de combats que le 36e RAC. Ils garderont leurs numéros respectifs et combattront ensemble sous leur N° d’origine jusqu’en avril 1917, avant de se nommer 216e RAC.

Pour voir le parcours de ce groupe, dès 1914, consulter le 216e RAC.

Sections de munitions d’artillerie et sections de munitions d’infanterie (SMA et SMI) du 36ème régiment d’artillerie de campagne :

Elles ne sont pas toutes rattachées directement au régiment. Elles n’ont donc pas exactement le même parcours exposé ci-dessus. On peut citer :

SMA

10ème, 11ème, 12ème, 13ème et 14ème sections de munitions d’artillerie du 36ème régiment d’artillerie de campagne :

En août 1914, elles sont rattachées au 13ème corps d’armée.

SMI

3ème et 4ème sections de munitions d’infanterie du 36ème régiment d’artillerie de campagne :

En août 1914, elles sont rattachées au 13ème corps d’armée.

31ème section de munitions d’infanterie du 36ème régiment d’artillerie de campagne :

En mars 1916, elle est rattachée à la 46ème division d’infanterie. Puis en avril 1917, elle devient 21ème SMI du 227ème régiment d’artillerie de campagne.

Historique du 37e régiment d’artillerie de campagne (37e RAC)

puis 37e RACP

Les 1e, 2e, 3e et 4e groupes d’artillerie (batteries 1 à 12)

Casernement en 1914 : Bourges. 8e brigade d’artillerie, artillerie du 26e corps d’armée. Composition : 4 groupes, 12 batteries de 75 (48 canons). 2 groupes seront détachés dès 1914, et iront constituer le futur 237e RAC.

Pas de citations du régiment, mais citations de groupes et batteries.

 

Cet historique succinct ne concerne donc que les 1e et 2e groupes. Pour les 3e et 4e groupes voir le 237e RAC.

1914 : Lorraine : Lorraine (août) : Domèvre, Saint Georges. Bataille de Sarrebourg. Mattexey, Clézentaine.

Secteur de St Mihiel (sept.) : Vaubécourt, Rembercourt, Triaucourt, camp des Romain. Bois de Mortmare, bois du Jury.

1915 :

1e groupe : Sampigny, Mécrin, Bois de Mortmare, bois du Jury (jusqu’en octobre).

2e groupe : Les Éparges (janv.-avril). Verdun (juin) : ravin de Flirey.

1916 :

1e groupe : Mécrin, bois des Paroches, Saint-Mihiel. Somme (sept.) : Flaucourt.

2e groupe : Verdun (janv.-avril), ravin de Flirey. Sailly-au-Bois, Thiepval (juin).

1917 :

Argonne (fév.-mars) : Four-de-Paris (1e groupe), Berzieux (2e gr.). Secteur de Reims (avril-mai) : Wez, Beaumont. Champagne (juin-nov.) : Butte du Mesnil, Suippes, Virginy.

En décembre, le régiment est transformé en régiment de campagne d’artillerie portée (RACP). Les chevaux sont remplacés par des camions et des tracteurs.

1918 :

Perthes-lès-Hurlus (2e et 3e gr.). Vienne-la-Ville (1e gr.), Fismes (1e gr.), secteur de Château-Thierry, bois de Belleau. Secteur de Reims (juil.) : Montagne de Reims, Saint-Imoges, Jouy-les-Reims, bois de la Hayette, Ville-Domange. Crugny (août), Faverolles, Orcquigny. Repos à Dordives (Loiret) fin août. Secteur de St Quentin (oct.) : Fulaines, Guise.

Groupe de renforcement du 37e régiment d’artillerie de campagne

Un groupe de renforcement du 37e RAC, a été créé en août 1914. Ce sont en majorité des réservistes.

Il constitue une partie de l'artillerie de la 58e division d’infanterie (AD59), puis en octobre 1914 l’AD66 (avec un groupe du 9e RAC et un du 56e RAC). Ce groupe n’aura donc pas les mêmes lieux de combats que le 37e RAC. En avril 1917, il ira constituer le 240e régiment d’artillerie de campagne (avec un groupe du 26e RAC et un du 40e RAC). Pour voir le parcours de ce groupe, dès 1914, consulter le 240e RAC.

32e batterie du 37e régiment d’artillerie de campagne

La 32e batterie du 37e régiment d’artillerie a été constituée en août 1914. Elle forme un groupe d’artillerie avec une batterie du 49e RAC et une batterie du 52e RAC.

Ce groupe constitue l'artillerie de la 73e division d’infanterie (AD73) avec un groupe du 12e RAC et un groupe du 39e RAC.

Ces 3 groupes n’auront donc pas les mêmes lieux de combats que le 37e RAC. Ils garderont leurs numéros respectifs et combattront ensemble sous leur N° d’origine jusqu’en avril 1917. À cette date ces 3 groupes iront constituer le 239e régiment d’artillerie de campagne.

Pour voir le parcours de cette batterie, dès 1914, consulter le 239e RAC.

Un groupe du 37e régiment d’artillerie de campagne (26N414/3 et 26N970/5)

Un groupe de renforcement du 37e RAC (41e, 42e et 43e batteries) a été formé à Bourges en août 1914, canons de 90. Ce sont en majorité des réservistes. Il est affecté à l’artillerie de réserve du camp retranché de Paris. En octobre 1914, Il constitue l'artillerie de la 89e division d’infanterie territoriale (AD88T) avec un groupe du 52e RAC.

 

1914 : Arrivé au Camp retranché de Paris le 7 août (26N62/6), bataille de la Marne (sept.) : Etrépilly, Chambry, Barcy, Ivergny, Fontaine-des-Nonnes, Saint-Soupplets (10/09). Le groupe et rappelé à Versailles, ses canons sont remplacés par du 75mm.

Embarquement avec le groupe du 52e RAC à Cherbourg les 11-12 octobre (sur le « Chaplain », le « Ville de Tamatare », le « Guatémala » et « l’Amiral Cauteaune ») pour Dunkerque.

Belgique (oct.-déc.) : Merckem, Reningue, Nieucapelle, bois de la Canardière, Luyghen. Maison du Passeur, Dixmude.

1915 : même secteur (janv.). Zonnebecke, Woesten (mars). Aisne (avril-déc.) : secteur entre Venizel et Condé-sur-Aisne.

1916 : Aisne (avril-déc.) : secteur entre Venizel et Condé-sur-Aisne. Soupir, Pernant, Dhuizy, fort de Condé.

1917 : En avril 1917, il ira constituer le 272e régiment d’artillerie de campagne (avec le groupe du 52e RAC). Voir le 272e RAC.

Un groupe du 37e régiment d’artillerie de campagne (batteries n° 44 à 46)

Un groupe de renforcement du 37e RAC (44e, 45e et 46e batteries) a été formé à Bourges en août 1914, canons de 90. Ce sont en majorité des réservistes. Il est affecté à l’artillerie de réserve du camp retranché de Paris. En août 1915, Il constitue l'artillerie de la 104e division d’infanterie territoriale (AD104T).

1914 : Arrivé au Camp retranché de Paris le 7 août. Bataille de la Marne (5-8 sept.) : Thieux, Villeroy, Penchard, Marcilly (08/09). Retour sur Paris : Clichy-sous-Bois, Coubron. Les batteries sont transformées en artillerie de campagne, sauf la 44e dont les canons sont modifiés pour tirés sur « aéronefs »

1915 : Brie-Comte-Robert, Bussy-St-Martin. En mars, tous les canons sont remplacés. Les 3 batteries reçoivent 6canons de 90mm.

Nord de Paris (août). Sud de la forêt de Compiègne (sept.) : Crépy-en-Valois. Oise (oct.-déc.) : Thiescourt, bois des Loges.

1916 : Oise (janv.-fév.) : Secteur entre l’Oise et Belval. Rollot (avril-juil.). Somme (août-nov.) : Maucourt, Lihons.

1917 : En avril 1917, il ira constituer le 233e régiment d’artillerie de campagne (avec le groupe du 52e RAC). Voir le 233e RAC.

Un groupe du 37e régiment d’artillerie de campagne (47e et 48e batteries)

Un groupe du 37e RAC (47e et 48e batteries) a été formé à ?, canons de 95 mm. Il fait partie de l’artillerie du 35e CA à partir de décembre 1914. Il passera à 3 batteries (47e à 49e) en août 1915.

 

1914 : artillerie de la place forte de Langres (début 1914), Château d’Offemont (déc.)

1915 : Parcours avant août 1915 ?

La 49e batterie est créée en août, et opérationnelle en sept. Le personnel est pris dans les dépôts d’artillerie de Bourges (37e RAC) et Dijon (48e RAC) (JMO23ebatte203e RAC).

Oise (août-déc.) : Moulin-sous-Touvent, Bitry, Verneuil-sur-Aisne.

1916 : Oise (janv.-mars) : Moulin-sous-Touvent, Bitry, Verneuil-sur-Aisne

Aisne (avril) : Taillefontaine, Liancourt (08/05). Somme (juin-déc.) : Lihons, Méharicourt, Estrées, bois Étoilé, bois de Soyécourt, Vermandovillers,

1917 : En avril 1917, il ira constituer le 203e régiment d’artillerie de campagne (avec le groupe du 9e RAC). Voir le 203e RAC.

Sections de munitions d’artillerie et sections de munitions d’infanterie (SMA et SMI) du 37ème régiment d’artillerie de campagne :

Elles ne sont pas toutes rattachées directement au régiment. Elles n’ont donc pas exactement le même parcours exposé ci-dessus. On peut citer :

SMA :

25ème section de munitions d’infanterie du 37ème régiment d’artillerie de campagne :

En janvier 1915, elle est rattachée à la 47ème division d’infanterie et y restera jusqu’en avril 1917 où elle devient la 22ème SMA du 256ème RAC

28ème, 29ème et 30ème sections de munitions d’artillerie du 37ème régiment d’artillerie de campagne :

En octobre 1914, elles sont rattachées au 33ème corps d’armée (ancien corps d’armée général D’HURBAL).

SMI :

21ème section de munitions d’infanterie du 37ème régiment d’artillerie de campagne :

En octobre 1914, elle est rattachée au 33ème corps d’armée (ancien corps d’armée général D’HURBAL).

Historique du 38ème régiment d’artillerie de campagne (38e RAC)

Les 1e, 2e, 3e et 4e groupes d’artillerie (batteries 1 à 12)

Casernement en 1914 : Nîmes. 15e brigade d’artillerie, artillerie du 15e corps d’armée. Composition : 4 groupes, 12 batteries de 75 (48 canons).

 

1914 : Bataille de Lorraine (août) : Vézelise, Varangéville, Serre, bois de Haut-de-la-Croix, Parroy, Monacourt, Xures (17/08).

Dieuze, Vergaville, Lindre-Haute, Bidestroff, Blainville, Hériménil, Charmois.

Bataille de la Marne (sept.) : Rembercourt-aux-Pots, Condé, Marat-la-Grande, Nixéville. Secteur de Montfaucon (oct.), cote 304, Malancourt.

1915 : secteur de Verdun (janv.-mai) : cote 304, Malancourt. Argonne (mai-août) : Fleury-sur-Aire, Neuville-aux-Bois. Main de Massiges. Vienne-le-Château, bois de Beauron.

En juin, les 2e et 4e groupes du 38e RAC forment l’artillerie de la 126e division d’infanterie (AD126) nouvellement formée. Les 1e et 3e groupes restent à l’artillerie du 15e corps d’armée (AC15).

Bataille de Champagne (sept.) : bois de Beaumarais, Craonne, moulin de Vauclerc. Secteur de Reims (oct.). Champagne (nov.-avril 1916) : butte du Mesnil, mont Têtu.

1916 :

1917 :

1918 : armée d'Orient.

27e et 28e batteries du 38e RAC JMO

Ces batteries sont mobilisées aux mas de Miramand et de Bourges (région de Nîmes). Les 27e et 28e batt. (avec la 30e batt. du 57e RAC) composent un groupe d’artillerie de l’AD44 puis de l’AD76.

1914 : Vosges (sept.) : la Chipotte, Raon-l’Etape. Région de Toul (fin sept.). Sud-est de Saint Mihiel : Flirey, Bouconville, Saint-Agnant, Rambucourt.

1915 : Sud-est de Saint Mihiel : est de Flirey (mars), Seicheprey. Woëvre (avril-mai) : bois de Mort-Mare. Saint-Agnant (oct.-déc).

1916 : Lucey. Meuse (mars) : Ligny-en-Barrois. Bataille de Verdun (mars-avril) : Béthincourt, bois d’Avocourt, Malancourt, bois Carré.

Ligny-en-Barrois, Void (mai-juin). Vosges (juin-nov.) : col de Sainte-Marie, la Chapelotte, col du Bonhomme.

1917 : Les batteries iront constituées le 274e RAC et partiront en Orient. Voir le 274e RAC pour le parcours à partir de 1917.

Les 29e et 30e batteries du 38e RAC

Formées à Redessan (Gard), elle forme (avec la 31e batterie du 58e RAC) le 3e groupe d’artillerie de l’AD77, en octobre 1914 (auparavant AD44).

Elles perdront leurs noms et deviendront 7 et 8e batteries du 6e RAC en 1917. Pour suivre son parcours, voir le 1e groupe du 6e RAC.

41e, 42e et 45e batteries du 38e RAC   JMO 41e  et 42e batt.  -  JMO 45e batt.

Les 41e batterie (formée à Nîmes) et 42e batterie (formée à Nice) sont réunies à Nice le 5 août 1914. Ce sont des batteries dites « de place forte ». (avec les 43e et 44e batteries), elles sont constituées avec des canons de 75. Elles sont transformées en batteries de campagne en septembre en échangeant ses canons de 75 par du 90 enlevés des forts entourant Nice.

Une nouvelle batterie est créée (N° 45) pour former un groupe de l’artillerie de la 96e division territoriale (AD96T)

1914 : mi-octobre, les 3 batteries sont regroupées à Lyon. Marne (oct.-déc.) : secteur de Thuisy,

1915 : Marne (janv.-juin) : Secteur de Thuisy, Vergny, Wez.

Le 30 juin le groupe passe à l’AC16 et rejoint le 9e RAC. (Il constituera ensuite une partie du 232e RAC).

43e, 44e et 46e batteries du 38e RAC (futur groupe du 22e RA colonial)

Les 43e et 44e batteries sont réunies à Nice. Ce sont des batteries dites « de place forte ». Il fait partie de l’AD75. En nov. 1914 ; le groupe passe à l’AC5, puis en juin 1915 à l’artillerie de la 15e division coloniale (ADC15). En avril 1917, le groupe est transformé (et renommé) en un groupe du 22e RAC colonial.

 

1914 : Le 20/08, le groupe part de Nice vers la région est de Verdun. Darmont, Bois de Darmont. Souilly, Saint-André-sur-Meuse, Heippes (sept.), Fleury, Osches, Ippécourt, Domprevin. Secteur de Saint-Mihiel, Chauvoncourt. Rarécourt, Froidos (déc.),

En nov. 1914 ; le groupe passe à l’AC5.

1915 : Argonne : La Louvière, Vauquois (mars), La maison forestière, Belrupt, forêt de Hesse (avril).

En juin 1915 les batteries passent à l’artillerie de la 15e division coloniale (ADC15). Une troisième batterie est créée (la 46e).

Vienne-le-Château (juil.-août). Champagne (août-sept.) : ouest de Souain, ferme Navarin. Secteur d’Épernay (oct.) puis Gournay-sur-Aronde (oct.-déc.) puis Somme (St Riquier).

1916 : Somme (janv.-juil.) : Estrées-Saint-Denis, Beuvraignes, Belval, bois des Loges. Somme (août-déc.) : bataille de la Somme : Belloy-en-Santerre, Barleux. Belloy-en-Santerre, est de Berny (déc.)

1917 : Aisne (janv.-avril) : ferme d’Hurtebise, Chivry, Ailles, Troyon. Secteur de Blainville-sur-L’Eau (juin-déc.).

En avril 1917, le groupe est transformé en un groupe du 22e RAC colonial.

Verdun (août-oct.) : bois des Caures, bois des Fosses. Bois Loclont, Les Paroches (nov.-janv. 1918).

1918 : Secteur de Saint-Mihiel (janv.-mars) : Koeur-la-Grande, Maizey. Oise (mai-août) : Beauvais (avril). Thory, Mailly-Raineval, sud de Rouvrel, Morisel. Bataille de Montdidier (août-sept.). Saint-Mihiel, les Éparges, Combres (sept.-oct.). Bois des Forges (nov.).

Historique du 39ème régiment d’artillerie de campagne (39e RAC)

Les 1e, 2e et 3e groupes d’artillerie (batteries 1 à 9)

Casernement en 1914 : Toul. 20e brigade d’artillerie, artillerie de la 39e division d’infanterie. Composition : 3 groupes, 9 batteries de 75 (36 canons).

4 citations à l’ordre de l’armée, fourragère jaune.

 

1914 : Lorraine : secteur de Nancy (août), Juvrecourt (14/08), Réchicourt.

Bataille de Morhange : Morhange, Marthil, crête de la Maisonnette, Moncel (23/08), Saint-Nicolas (24/08), Maixe, Grévic, Gellenoncourt, Buissoncourt (sept.), bataille du Grand-Couronné, Haraucourt.

Picardie (sept.-oct.) : Fouquescourt (25/09), La Chavatte, Foncquevillers, Sailly-au-Bois, Monchy-au-Bois.

Bataille des Flandres en Belgique (nov.-déc.) : nord d’Ypres, Boezingue, Langemarck, Bixchoote, bois Triangulaire.

1915 : Belgique (janv.-avril) puis secteur nord d’Arras (mai-août) : La Targette, Neuville-Saint-Vaast, ferme Berthonval, La Targette, les Ouvrages Blancs.

Bataille de Champagne (sept.-nov.) : Maisons-de-Champagne, bois du Calvaire, Beauséjour, Tahure, Souain.

Lorraine (déc.) : Vézelise puis Baccarat.

1916 : Verdun : Côte du Poivre, devant Douaumont (fév.-mars) puis Esnes, bois d’Esnes, cote 304 (avril).

Bataille de la Somme : Maurepas (juil.), bois de Bernafay, secteur de Saillisel jusque mi-déc.

Lorraine (déc.-janv.).

1917 : Aisne : Soupir, Chivy (fév.), plateau de Madagascar, Pargnan, chemin des Dames, Vendresse, Braye-en-Laonnois (avril), Chavonnes, bois des Grinons (mai), Épine de Chevrigny (juin).

Lorraine (jusque fin 1917) : nord de Nancy, bois de Facq, bois de la Fourasse, bois de Mancheseille, bois d'Alzée.

Le 4 avril 1917, l'explosion d'un gros dépôt de munitions fait de nombreuses victimes, en particulier à l'état-major du 2e groupe dont presque tout le personnel est mis hors de combat.

1918 : Verdun (janv.-mars) : rive droite de la Meuse, côte du Poivre, bois d'Haudremont, bois en T   Belgique (avril-mai) : Flandres : Le Kemmel, bataille des Monts

Aisne (mai-juin) : Vailly, Celles, Ciry-Salsogne (28/05), Villers-Hélon, Longpont, Montgobert, ferme de Vertefeuille, ferme du Trasloy, plateau de Puisieux (juin), Château-Thierry puis Offensive de l'Ourcq (juil.) : Morit, ferme de la Thieulerie, ferme de la Théoderie.

Secteur de Saint-Mihiel : bois du Haut-Tuitot, bois des Haudronvilles, Vigneulles, Creüe.

Groupe de renforcement du 39e régiment d’artillerie de campagne

Un groupe de renforcement du 39e RAC, 24e, 25e et 26e batteries, constitué à Toul en août 1914. Ce sont en majorité des réservistes.

Il constitue l'artillerie de la 73e division d’infanterie (AD73) avec un groupe du 12e RAC et un groupe constitué par une batterie du 37e RAC, une du 49e RAC et une du 52e RAC. Ces 3 groupes n’auront donc pas les mêmes lieux de combats que le 39e RAC. Ils garderont leurs numéros respectifs et combattront ensemble sous leur N° d’origine jusqu’en avril 1917. À cette date ces 3 groupes iront constituer le 239e régiment d’artillerie de campagne.

Pour voir le parcours de ce groupe, dès 1914, consulter le 239e RAC.

Sections de munitions d’artillerie et sections de munitions d’infanterie (SMA et SMI) du 39ème régiment d’artillerie de campagne :

Elles ne sont pas toutes rattachées directement au régiment. Elles n’ont donc pas exactement le même parcours exposé ci-dessus. On peut citer :

5ème, 6ème, 7ème, 8ème et 9ème sections de munitions d’artillerie du 39ème régiment d’artillerie de campagne :

En août 1914, elles sont rattachées au 20ème corps d’armée.

1ère et 2ème sections de munitions d’infanterie du 39ème régiment d’artillerie de campagne :

En août 1914, elles sont rattachées au 20ème corps d’armée.

Historique du 40ème régiment d’artillerie de campagne (40e RAC)

Les 1e, 2e et 3e groupes d’artillerie (batteries 1 à 9)

Casernement en 1914 : Saint-Mihiel (9 batteries de 75).

6e brigade d’artillerie, artillerie de la 40e division d’infanterie pour 3 groupes (9 batteries de 75) stationné à Saint-Mihiel et les 10e et 11e batteries à cheval sont rattachées à la 4e division de cavalerie, à Mézières.

3 citations à l’ordre de l’armée, fourragère verte.

 

1914 : Retraite des 3e et 4e armées : Joppécourt, Fillières (fin août).

Retraite et prélude à la bataille de la Marne : Cierges-Montfaucon (sept.).

Woëvre et des Hauts-de-Meuse : Sommaisne (3-4 sept.), Lacroix-sur-Meuse (22-24 sept.).

1915 : Argonne (mai–nov.) : Bagatelle. Bataille de Champagne : nord de Saint Hilaire Le Grand (sept.).

1916 : bataille de Verdun : Mort-Homme, Cumières. Bataille de la Somme : Rancourt, Sailly-Saillisel (oct.).

1917 : attaque sur Berry-au-Bac (avril) : cote 108, Mont Sapigneul. Verdun : Vaux, Haudremont.

1918 : Marne (juil.), Champlat, Vouziers, Sedan.

Un groupe du 40e régiment d’artillerie de campagne

Un groupe (5e groupe ?) du 40e RAC, a été créé quand ? ? 31e, 32e et 33e batteries.

Il est arrivé au 34e CA le 10 mai 1916 (JMO AC34) et constitue une partie de l'artillerie du 34e corps d’armée, puis en juin 1916 l’AD66. Ce groupe n’aura donc pas les mêmes lieux de combats que le 40e RAC. En avril 1917, il ira constituer le 240e régiment d’artillerie de campagne (avec un groupe du 26e RAC et un du 37e RAC).

Pour voir le parcours de ce groupe, dès 1916, consulter le 240e RAC.

Groupe de renforcement du 40e régiment d’artillerie de campagne

Un groupe de renforcement du 40e RAC, a été mobilisé au camp de Châlons-sur-Marne. Ce sont en majorité des réservistes.

Il constitue l'artillerie de la 56e division d’infanterie (AD56) avec un groupe du 25e RAC et un du 32e RAC. Ces 3 groupes n’auront donc pas les mêmes lieux de combats que le 40e RAC. Ils garderont leurs numéros respectifs et combattront ensemble sous leur N° d’origine jusqu’en avril 1917. À cette date, ces 3 groupes iront constituer le 225e régiment d’artillerie de campagne.

Pour voir le parcours de ce groupe, dès 1914, consulter le 225e RAC.

Sections de munitions d’artillerie et sections de munitions d’infanterie (SMA et SMI) du 40ème régiment d’artillerie de campagne :

Elles ne sont pas toutes rattachées directement au régiment. Elles n’ont donc pas exactement le même parcours exposé ci-dessus. On peut citer :

SMA :

8ème, 9ème, 10ème sections de munitions d’artillerie du 40ème régiment d’artillerie de campagne :

En août 1914, elles sont rattachées au 6ème corps d’armée.

11ème et 12ème sections de munitions d’artillerie du 40ème régiment d’artillerie de campagne :

En août 1914, elles sont rattachées au 6ème corps d’armée. Puis en juillet 1916, elle est rattachée à la 40ème division d’infanterie. En avril 1917, elles deviennent 2ème et 3ème SMA du 40e RAC.

2ème section de munitions d’artillerie du 40ème régiment d’artillerie de campagne :

Issue de la 11ème SMA du 40e RAC en avril 1917, elle est rattachée à la 40ème division d’infanterie jusqu’à la fin de la guerre.

3ème section de munitions d’artillerie du 40ème régiment d’artillerie de campagne :

Issue de la 12ème SMA du 40e RAC en avril 1917, elle est rattachée à la 40ème division d’infanterie. (JMO PAD40)

SMI :

1ère section de munitions d’infanterie du 40ème régiment d’artillerie de campagne :

La 5ème SMI du 25e RAC devient en avril 1917 la 1ère SMI du 40e RAC, et est rattachée à la 40ème division d’infanterie jusqu’à la fin de la guerre.

Avant 1917 ?

Historique du 41ème régiment d’artillerie de campagne (41e RAC)

puis 41e RACP

Les 1e, 2e, 3e et 4e groupes d’artillerie (batteries 1 à 12)

Casernement en 1914 : Douai. 1e brigade d’artillerie, artillerie du 1e corps d’armée (AC1). Composition : 4 groupes (puis 2 en juin 1915, puis 3 en oct. 1918), 12 batteries de 75 (48 canons).

2 citations à l’ordre de l’armée, fourragère verte.

 

1914 : Rimogne, Rocroi. Belgique (août) : nord-est de Dinant, Saint-Gérard (23/08), Corenne, Cottaprez. Retraite : Aubenton, Rozoy-sur-Serre, Montigny-le-Franc, Landifay, sud de Guise (29/08), Crécy-sur-Serre, Notre-Dame-de-Liesse, Romain, Montgenost.

Bataille de la Marne : Châtillon-sur-Morin, château d'Esternay, Esternay. Bouffignereux. Ferme du Choléra et de la Ville-aux-Bois (oct.).

Aisne (oct.) : Soupir, Cour Soupir et la Croix-sans-Tête.

1915 : Champagne (janv.-mars) : Baconnes, Somme-Tourbe, Minaucourt, Wargemoulin.

Verdun (avril), Braquis, Ermeville. Saint-Thierry, Chenay (mai-juil.).

En juin, 2 groupes (1e et 2e groupes) restent à l’AC1 et les deux autres forment l’artillerie de la 122e division d’infanterie (AD122) nouvellement formée, qui partira en novembre 1915 en Orient (Grèce) pour devenir une partie du 241e RAC. Voir le 241e RAC.

 

La suite de cet historique concerne seulement les 1e et 2e groupes.

Bois de Gernicourt, bois des Geais (oct.). Massif de Saint-Thierry (nov.-fév. 1916).

1916 : bataille de Verdun (mars) : fort de Tavannes, Fleury, côte de Froideterre. Aisne (avril-août) : Soupir, Vieil-Arcy, Bourg.

Somme (août-oct.) : Frise, ferme de l’hôpital, Le Forest, Sailly-Saillisel.

Champagne (oct.-mars 1917) : Trou-Bricot, Hurlus).

1917 : Le Chemin des Dames (avril) : Beaurieux, plateau Triangulaire, tuilerie de Craonnelle.

Belgique (juil.-sept.) : Reninghe, Zuydcoote, écluse d'Hetsas.

En octobre, le régiment à 2 groupes est transformé en régiment de campagne d’artillerie portée (RACP). Les chevaux sont remplacés par des tracteurs et des camions. Le régiment passe à 3 groupes formés avec les deux groupes précédents.

Verdun (nov.-janv. 1918) : Haudremont, cote 344, ferme de la Claire.

1918 : Aisne (fév.-mars) : Berry-au-Bac – Pontavert.

Oise (mars-juil.) : Noyon, Guiscard, l'Écouvillon, Plessier-de-Roye, Montdidier. Le Plémont, Ribécourt, forêt d'Ourscamp, bois de Carlepont, Tracy-le-Val. Août : Parcy-Tigny, le Plessier-Huleu, Hartennes-et-Taux, Serches, Couvrelles. Romain.

Set.-oct. : Ventelay, Châlon-le-Vergeur, Hermonville, Villers-Franqueux, le fort et le massif de Saint-Thierry, Bourgogne, Recouvrance.

Un groupe de renforcement du 41e régiment d’artillerie de campagne

Ce groupe du 41e RAC, canon de 75, a été formé et rassemblé à Lambres (59) en août 1914. Ce sont en majorité des réservistes du 41e RAC.

Il constitue l'artillerie de la 51e division d’infanterie (AD51) avec un groupe du 15e RAC et un du 27e RAC.

Ces 3 groupes n’auront donc pas les mêmes lieux de combats que le 41e RAC. Ils garderont leurs numéros respectifs et combattront ensemble sous leur N° d’origine jusqu’en avril 1917, avant de se nommer 215e RAC.

Pour voir le parcours de ce groupe, dès 1914, consulter le 215e RAC.

Un groupe du 41e régiment d’artillerie de campagne

Ce groupe, de 2 batteries, a été créé début 1915, constitué d’hommes des régions du Nord occupé, est composé d’artilleurs du 30e RAC d’Orléans et par le 3e régiment d’artillerie lourde (RAL) de Joigny. Ils formeront un groupe de 2 batteries : 47e batt. pour ceux du 30e RAC et 48e batt. pour le 3e RAL. Ces 2 batteries sont équipées de canons de 90 mm. (JMO AD 154). Le groupe constitue l'artillerie de la 154e division d’infanterie (AD154), en mars 1915. Puis l’artillerie du 15e corps d’armée en avril 1915.

Ce groupe n’aura donc pas les mêmes lieux de combats que le 41e RAC. En avril 1917, il ira constituer le 238e régiment d’artillerie de campagne.

 

Parcours de ces 2 batteries :

Ø  47e batterie du 41e RAC, future 24e batterie du 238e RAC.

Créée au camp de la Braconne (Charente), début 1915.

1915 : Charente : camp de Braconnes (janv.-mars). Marne (avril-juin) : Malmy, Ville-sur-Tourbe, bois d’Hauzy, cote 1917. Canons de 90 échangés en mai 1916 par des canons de 75mm. Oise (août) : Rocquemont. Marne (sept.-déc.) : bois Clausade, Juvincourt, bois Entaillé.

1916 : Champagne (janv.-mai) : Mesnil-lès-Hurlus, camp du Veau Crevé (2,5 km ouest de St Jean-sur-Tourbe), bois Triangulaire, bois du Fourmilier.

Secteur de Béthincourt, Bulainville (juin-juil.) : bois Éponge, Ouvrage d’Alsace, bois Saint Pierre. Verdun (sept.-déc.).

1917 : Verdun (janv.-avril) : Côte de Froideterre.

Le 1e avril 1917, la 47e batterie du 41e RAC devient la 24e batterie du 2e groupe du 238e RAC.

 

Ø  48e batterie du 41e RAC, future 25e batterie du 238e RAC.

Créée au camp de la Braconne (Charente), début 1915.

1915 : Charente : camp de Braconnes (janv.-mars). Marne (avril-juin) : sud de Ville-sur-Tourbe. Canons de 90 échangés en mai 1916 par des canons de 75mm. Oise (août) : Trémilly. Marne (sept.-déc.) : Breuil, bois Carré, bois de Beaumarais.

1916 : Ravin de la Goutte, la Mamelle Nord, bois de Mitrailleuses (janv.-avril). Verdun (mai-déc.) : Mort-Homme, ravin des Vignes.

1917 : Verdun (janv.-avril) : Côte de Froideterre.

Le 1e avril 1917, la 48e batterie du 41e RAC devient la 25e batterie du 2e groupe du 238e RAC.

Une batterie du 41e régiment d’artillerie de campagne

Une batterie du 41e RAC a été créée (date ?).

Elle ira constituer, en mai 1915, une partie de l'artillerie de la 45e division d’infanterie (AD45).

Pour voir le parcours de cette batterie, dès 1915, consulter le 275e RAC.

Sections de munitions d’artillerie et sections de munitions d’infanterie (SMA et SMI) du 41ème régiment d’artillerie de campagne :

Elles ne sont pas toutes rattachées directement au régiment. Elles n’ont donc pas exactement le même parcours exposé ci-dessus. On peut citer :

SMA :

24ème et 25ème sections de munitions d’artillerie du 41ème régiment d’artillerie de campagne :

En août 1914, elles sont rattachées à la 51ème division d’infanterie et y resteront jusqu’en avril 1917 où elles deviennent les 22ème et 23ème SMA du 215ème RAC.

23ème section de munitions d’artillerie du 41ème régiment d’artillerie de campagne :

En août 1914, elle est rattachée à la 51ème division d’infanterie.

SMI :

21ème section de munitions d’infanterie du 41ème régiment d’artillerie de campagne :

En août 1914, elle est rattachée à la 51ème division d’infanterie et y restera jusqu’en avril 1917 où elle devient la 21ème SMI du 215ème RAC.

22ème section de munitions d’infanterie du 41ème régiment d’artillerie de campagne :

En août 1914, elle est rattachée à la 51ème division d’infanterie.

Carnet de guerre de soldats de ce régiment

Lire le carnet de guerre de Victor CADART de la 25ème section de munitions d’artillerie du 41ème régiment d’artillerie de campagne

Historique du 42ème régiment d’artillerie de campagne (42e RAC)

Les 1e, 2e et 3e groupes d’artillerie (batteries 1 à 9)

Casernement en 1914 : Stenay (bat. 1 à 3), La Fère (bat. 4 à 9). 2e brigade d’artillerie, artillerie de la 4e division d’infanterie pour 3 groupes (9 batteries de 75) stationné à Stenay et La Fère et les 10e et 11e batteries à cheval sont rattachées à la 3e division de cavalerie, à Sissonne.

2 citations à l’ordre de l’armée, fourragère verte.

 

1914 : Villers-lès-Mangiennes (09/08), Chapelle Saint-Jean, Pillon, bois Saint-Médart, bois Brûlé, Saint-Laurent (11/08), Irée-le-Sec, Lahage, Bellefontaine, Meix (22/08), Gérouville, Cesse-Laneuville. La Chapelle-Saint-Donat, Stenay (26/08), Bauclair, Fontaine-aux-Fresnes, La Maison Blanche, La Bouteille, Laneuville-sur-Meuse, Stenay, Cesse, Luzy, Thénorgues, Buzancy, Harricourt (30/08). Saint-Pierremont, La Malmaison (Briey), Termes, Senuc, Montcheutin (02/09), Vienne-le-Château, Vienne-la-Ville, Sainte-Menehould, Vieil-Dampierre (04/09), La Neuville-aux-Bois, Givry-en-Argonne, Le Châtelier, Nettancourt, Vroil, Alliancelles, Sermaize (05/09).

Bataille de la Marne (5-13 sept.) : Sermaize, Maurupt-le-Montois, Maison forestière de la Colotte, ferme Brédé, Cheminon, Laneuve-au-Pont, ferme Venise (16/09).

Argonne (sept.-janv.15) : Vienne-le-Château, Saint-Thomas, ferme Sébastopol puis Florent.

 

1915 : Champagne : Laval-sur-Tourbe (fév. que le 2e groupe) puis Woëvre : Hannoncelles, Hennemont, les bois Communaux puis secteurs de Bonzée, Fresnes-en-Woëvre.

Verdun (1e groupe seul) : le Mort-Homme (mai-juil.), tranchée de Calonne (les 3 groupes), Les Hures (juin-sept.), carrefour des 3 jurés, plateau des Marmites, ravin de Jonvaux, ravin d’Hédevaux puis côtes des Hures (jusque déc. pour le 3e groupe).

Bataille de Champagne (1e et 2e groupes) : Tahure, Perthes-lès-Hurlus, bois de la Pie (oct.-nov.).

 

1916 : Troyon, bois des Chevaliers, bois des Paroches, forêt de Marcaulieu (janv.-avril), fort de Troyon puis bataille de Verdun : ravin des Vignes, La Madeleine, fort Saint-Michel, bois de la Caillette, ferme de Thiaumont, Vaux-devant-Damloup (12-29 avril).

Somme : Hangard (juil.), Lamotte-en-Santerre, Assevillers, ravin de Glatz.

Le 28 juillet, une opération est entreprise pour s’emparer de la tranchée du Chancelier, près d’Assevillers, qui a résistée à plusieurs assauts de l’infanterie. On demande au 42e RAC de « préparer » le terrain de l’assaut. L’opération a coûté près de 30.000 obus en 2 jours (pour une seule tranchée !). La tranchée est finalement conquise en subissant « peu de pertes »

Certains canons avaient tiré 22000 obus en 3 mois (source : historique).

Berny-en-Santerre, Belloy (sept.-déc.).

 

1917 : Lorraine (janv.) : secteur de Lunéville, Buriville, Mignéville, Bénaménil, forêt de Parroy (mars), Aisne : sud de Craonnelle, sud de Blanc-Sablon, bois de Beaumarais, Craonne (avril) puis secteur de Cormicy, Berry-au-Bac (mai-juin) puis nord de Verdun (août-sept.) : Charny, est de Bras-sur-Meuse, ferme Lombut puis secteur d’Avocourt (sept.-déc.).

 

1918 : Verdun : secteur d’Avocourt (janv.-fév.).

Par suite de la difficulté d’entretenir au complet les effectifs en chevaux et de les nourrir, une réorganisation des groupes est préparée ; un certain nombre de caissons sont supprimés et remplacés par des chariots de parc, d’autres sont retirés des batteries et réunis avec les chariots et des voitures désignées en une unité administrative qui prend le nom de « Colonne de Ravitaillement ».

Verdun (mars-mai) : secteur de Louvemont puis Oise, et Aisne : Le Chemin des Dames, Passy-en-Valois (juin-juil.), Charmel, Tréloup, ferma Avize (juil.), Grange-aux-Bois.

Champagne (sept.-oct.) : Wargemoulin, Manre, Marvaux, Mont-Saint-Martin, Bourcq, Plançons. Lorraine (oct.-nov.) : Lunéville.

7e groupe du 42e RAC :

Un 7e groupe du 42e RAC a existé. Il a formé une partie de l’artillerie de la 16e division coloniale en mars 1916.

En 1917, il formera le 209e RAC (avec 2 groupes du 9e RAC). Voir le parcours du 209e RAC  >>> ici  <<<

Un groupe de renforcement du 42e régiment d’artillerie

Ce groupe du 42e RAC, canon de 75, a été formé et rassemblé à Versigny (près de La Fère, 02) en août 1914. Ce sont en majorité des réservistes du 42e RAC.

Il constitue l'artillerie de la 52e division d’infanterie (AD52) avec un groupe du 17e RAC et un du 29e RAC.

Ces 3 groupes n’auront donc pas les mêmes lieux de combats que le 42e RAC. Ils garderont leurs numéros respectifs et combattront ensemble sous leur N° d’origine jusqu’en avril 1917, avant de se nommer 217e RAC.

Pour voir le parcours de ce groupe, dès 1914, consulter le 217e RAC.

Sections de munitions d’artillerie et sections de munitions d’infanterie (SMA et SMI) du 42ème régiment d’artillerie de campagne :

Elles ne sont pas toutes rattachées directement au régiment. Elles n’ont donc pas exactement le même parcours exposé ci-dessus. On peut citer :

10ème, 11ème, 12ème, 13ème et 14ème sections de munitions d’artillerie du 42ème régiment d’artillerie de campagne :

En août 1914, elles sont rattachées au 2ème corps d’armée.

3ème et 4ème sections de munitions d’infanterie du 42ème régiment d’artillerie de campagne :

En août 1914, elles sont rattachées au 2ème corps d’armée.

Historique du 43ème régiment d’artillerie de campagne (43e RAC)

Les 1e, 2e et 3e groupes d’artillerie (batteries 1 à 9)

Casernement en 1914 : Caen. 3e brigade d’artillerie, artillerie de la 5e division d’infanterie. Composition : 3 groupes, 9 batteries de 75 (36 canons).

2 citations à l’armée, 1 citation au corps d’armée (30e CA), 1 citation à la 30e division. Fourragère verte.

 

1914 : Charleroi (21-23 août) : Roselies, Hanzinelle, Tarcienne, Gerpine. Retraite : La Capelle, Froidestrées, Larzille, Fontaine-lès-Vervins (27/08). Saint Richaumont, Landifay, ferme de Bertaignement. Bataille de la Marne (6-13 sept.) : Port-à-Binson, Montigny, Bouchy-le-Repos, Courgivaux (6-7 sept.), Escardes, Montmirail (9-10 sept), Marchais-en-Brie (11 sept.). Secteur de Reims (oct.-déc.) : La Neuvillette, les Cavaliers de Courcy, Saint-Thierry, Merfy, fort de Brimont.

1915 : Secteur de Reims (janv.-mai) : Mont Doyen, bois des Mines, Gernicourt. Artois (juin-août.) : La Targette, Neuville-Saint-Vaast puis en sept.-oct. : Bois de la Folie, Neuville-Saint-Vaast. Somme (déc.) : Frise

1916 : Somme (janv.-mars.) : Frise, Cappy, bois de la Vache, Fontaine-lès-Cappy. Bataille de Verdun : bois de la Caillette (avril), Douaumont (mai). 100.000 coups ont été tirés par le régiment durant son passage à Verdun. Les Éparges (juin-fév. 1916).

1917 : Lunéville (mars). Chemin des Dames (avril) : secteur de Vailly-Chavonne. Aisne (mai-août) : Bourg-et-Comin, plateau de Madagascar, Mont Charmont, le Poteau d’Ailles. Secteur de Saint Quentin (sept.-fév. 1917).

1918 : Champagne (mars-mai) : Souain, Tahure. Aisne (juil.-août) : Villers-Cotterêts, Oulchy-le-Château. Quennevières, Moulin-sous-Touvent. Bucy-le-Long, Vregny. Belgique (oct.-nov.) : Hooglede, Roulers, La Lys.

Groupe de renforcement du 43e régiment d’artillerie de campagne

Un groupe de renforcement du 43e RAC, a été créé à Laigny (Aisne) en août 1914. Ce sont en majorité des réservistes.

Il constitue l'artillerie de la 53e division d’infanterie (AD53) avec un groupe du 11e RAC et un du 22e RAC. Ces 3 groupes n’auront donc pas les mêmes lieux de combats que le 43e RAC. En avril 1917, ces 3 groupes iront constituer le 243e régiment d’artillerie de campagne.

Pour voir le parcours de ce groupe, dès 1914, consulter le 243e RAC.

Une batterie (non numérotée) du 43e régiment d’artillerie de campagne

Formée au dépôt du 43e RAC, début 1915, équipée de canons de 90, cette batterie va combattre au sein du 36e corps d’armée. Elle n’aura donc pas les mêmes lieux de combats que le 43e RAC. En avril 1917, elle ira constituer le 270e régiment d’artillerie de campagne.

Pour voir le parcours de cette batterie, dès 1915, consulter le 270e RAC.

Sections de munitions d’artillerie et sections de munitions d’infanterie (SMA et SMI) du 43ème régiment d’artillerie de campagne :

Elles ne sont pas toutes rattachées directement au régiment. Elles n’ont donc pas exactement le même parcours exposé ci-dessus. On peut citer :

5ème, 6ème, 7ème, 8ème et 9ème sections de munitions d’artillerie du 43ème régiment d’artillerie de campagne :

En août 1914, elles sont rattachées au 3ème corps d’armée.

1ère et 2ème sections de munitions d’infanterie du 43ème régiment d’artillerie de campagne :

En août 1914, elles sont rattachées au 3ème corps d’armée.

31ème section de munitions d’infanterie du 43ème régiment d’artillerie de campagne :

En juin 1915, elle est rattachée au 38ème corps d’armée.

Historique du 44ème régiment d’artillerie de campagne (44e RAC)

 

Les 1e, 2e, 3e et 4e groupes d’artillerie (batteries 1 à 12)

Casernement en 1914 : Le Mans. 4e brigade d’artillerie, artillerie du 4e corps d’armée (AC4). Composition : 4 groupes, 12 batteries (batteries n° 1 à 12). 48 canons au total.

2 citations à l’ordre de l’armée, fourragère verte.

 

1914 : Belgique : Mont Quintin, Marville, Tailly, Beauclair.

Bataille de la Marne (sept.) : Plessis-Belleville, Nanteuil, Morienval, Tracy-le-Mont, Tracy-le-Val.

Rethonvillers. Bray-sur-Somme.

 

1915 : Champagne (janv.-août) : Jonchery, Perthes, Mont-Haut, Mont Cornillet.

En juin, les 2e et 4e groupes restent à l’AC4 et les 1e et 3e groupes forment l’artillerie de la 124e division d’infanterie (AD124) nouvellement formée.

La suite de cet historique concerne l’AD124 : 1e et 3e groupes du 44e RAC et un groupe territorial du 33e RAC (arrivé en janv. 1916) avec canons de 90.

Historique des 2e et 4e groupes ?

Marne : Main de Massiges

1916 : En janvier un groupe territorial du 33e RAC (avec canons de 90) rejoint les 2 autres groupes.

Bataille de Verdun : Damloup, Bois Fumières (mai-juin). Puis champagne : Main de Massiges (juil.-oct.), Souain (oct.).

 

1917 : Somme (janv.-fév.) : Chaulnes. Marne (mai) : Le Casque, le Téton. Secteur des Monts (juin-déc.).

 

1918 : Champagne (janv.-juil.) : Secteur des Monts, Aubérive, Mont-sans-Nom, bois du Chien, Le Cornillet (juil.), Orfeuil (oct.). Semide, ferme de Mazagran, Quilly, Chardeny, Coulommes. Voncq (oct.).

36e batterie du 44e régiment d’artillerie de campagne

Détachées du 44e RAC, dès août 1914, cette batterie va combattre au sein de la 69e division d’infanterie. Elle n’aura donc pas les mêmes lieux de combats.

En avril 1917, elle ira constituer le 268e régiment d’artillerie de campagne.

Pour voir le parcours de cette batterie, dès 1914, consulter le 268e RAC.

Les 6 batteries (41e à 46e) du 44e régiment d’artillerie de campagne

Ces 6 batteries de territoriaux se forment à la mobilisation. Ils constituent l’artillerie de la 84e division d’infanterie (AD84). À Paillencourt, près de Cambrai, deux des batteries perdirent presque tous leurs soldats et l’AD84 fut refondue en 2 groupes : le 1e (41e et 46e batteries) et le second (44e et 45e batteries).

1914 : Nord : Paillencourt. Bapaume, Miraumont (sept.-oct.), Hébuterne. Notre-Dame-de-Lorette.

1915 : Artois (janv.) : Notre-Dame-de-Lorette, Carency.

Le 1e avril 1915, la 45e batterie fut détachée et les 41e, 44e et 46e batteries furent réunies pour former l’artillerie du 33e corps d’armée (AC33), et plus tard (avril 1917) deviendra le 264e RAC.

5e groupe du 44e régiment d’artillerie de campagne (batteries 27e, 28e et 29e)

Ce groupe constitue l’artillerie de la 54e division d’infanterie en août 1914 (avec le 4e groupe du 31e RAC). Constitué où ?.

1914 : Spincourt (24/08), bois Martin, Gercourt, bois des Forges, bois des Moriaux (fin août).

Le 4 déc., la 54e DI est dissoute et son artillerie passe au 6e corps d’armée, comme artillerie de corps (AC6). Secteur entre Verdun et Bar-le-Duc : Vaux-Marie, Romagne-sous-les-Côtes (sept.), Saint Mihiel, Lacroix-sur-Meuse. Woëvre (oct.), Pintheville (nov.).

1915 : Les Éparges, Marchéville, tranchée de Calonne (fév.-mai).

En juin le groupe quitte le 6e CA est devient un groupe de l’artillerie de la 129e division d’infanterie (AD129) nouvellement créée. L’AD129 est composé de 2 groupes, avec celui du 31e RAC.

Vosges (juin-août.) : La Fontenelle, Le Linge. Champagne (sept.-oct.) : nord de la ferme des Wacques. Vosges (déc.-janv.) : L’Hartmannswillerkopf, Wolskopf, Ban-de-Sapt.

1916 : Lorraine (mars-mai) : secteur entre Nomeny et Brin. Verdun (juin-juil.) : Thiaumont, côte de Froideterre. Bois le Prêtre (juil.-oct.) : Fey-en-Haye. Somme (nov.-janv. 1917) : nord de Barlaux et de Belloy-en-Santerre.

1917 : Le 1e avril 1917, le groupe devient le 1e groupe du 231e RAC. Voir son parcours >>> ici <<<.

Sections de munitions d’artillerie et sections de munitions d’infanterie (SMA et SMI) du 44ème régiment d’artillerie de campagne :

Elles ne sont pas toutes rattachées directement au régiment. Elles n’ont donc pas exactement le même parcours exposé ci-dessus. On peut citer :

24ème section de munitions d’artillerie du 44ème régiment d’artillerie de campagne :

En juin 1915, elle est rattachée au 37ème corps d’armée.

23ème, 24ème et 25ème sections de munitions d’artillerie du 44ème régiment d’artillerie de campagne :

En août 1914, elles sont rattachées à la 54ème division d’infanterie jusqu’à sa dissolution en septembre 1914.

22ème et 23ème sections de munitions d’infanterie du 44ème régiment d’artillerie de campagne :

En août 1914, elles sont rattachées à la 54ème division d’infanterie jusqu’à sa dissolution en septembre 1914.

Carnet de guerre de soldats de ce régiment

Lire sur mon site le carnet de guerre de Charles BINEY, soldat du 44e régiment d’artillerie.

Historique du 45ème régiment d’artillerie de campagne (45e RAC)

puis 45e RACP

Les 1e, 2e, 3e et 4e groupes d’artillerie (batteries 1 à 12)

Casernement en 1914 : Orléans. 5e brigade d’artillerie, Composition : 4 groupes (puis 2 en juin 1915, puis 3 en oct. 1917), 12 batteries de 75 (48 canons). 3 groupes forment l’artillerie du 5e corps d’armée.

1 citation au corps d’armée.

 

1914 : Saint Mihiel, Troyon, Lacroix-sur-Meuse, Ambly-sur-Meuse, Ornes (20/18), Longuyon. Retraite : Vilosnes, Dun-sur-Meuse, Cierges, Épinonville, Éclisfontaine (01/09), Varennes, Boureilles, Neuvilly (03/09), Clermont-en-Argonne, Auzeville, Waly, Triaucourt.

Laimont, Mussey, Wassincourt, Louppy. Auzeville (15/09).

Argonne (oct.) : Clermont-en-Argonne, La Chalade. Aisne (déc.) : Crouy, Nouvon-Vingré.

1915 : Argonne (janv.-août) : forêt de Hesse, Rarecourt, Le Claon, La Maison Forestière, Croix-de-Pierre, ravin des Sept Fontaines.

Mont-des-Allieux, Bois Noir, La Cigalerie.

En juin, les 3e et 4e groupes sont séparés définitivement des 2 autres groupes pour former l’artillerie de la 125e division d’infanterie (AD125), puis pour former le 245e RAC. Pour suivre ces 2 groupes, consultez le 245e RAC.

La suite de cet historique ne concerne donc que les 1e et 2e groupes du 45e RAC.

1e groupe : Argonne (juin-déc.) : Vauquois, cote 285.

2e groupe : Champagne (sept.) : bois de la Coinche. Puis forêt de Hesse.

1916 : Verdun (mars-juil.) : bois de Chattancourt, bois de la Marre.

Bataille de la Somme (sept.-nov.) : Cléry-sur-Somme, ferme de l’hôpital, bois Aiguille.

1917 : secteur de Reims (janv.-mars) : Cavaliers de Courcy, fort de Brimont.

Chemin des Dames (avril-août) : bois de Gernicourt. Puis en sept. : Bois Clausade, bois Marteau, Craonne, bois de Beaumarais.

En sept.-oct., le régiment est transformé en régiment de campagne d’artillerie portée (RACP). Les chevaux sont remplacés par des tracteurs et des camions. Les 2 groupes se transforment en 3 groupes autotractés.

Nov.-janv. 1918 :Saint-Gobain, Coucy-le-Château, Folembray.

1918 : Berry-au-Bac (mars), bois Poupeux, Hermonville, Mont Spin.

Somme (avril) : Lassigny, butte du Plémont puis Coullemelle, Esclainvillers. Remiencourt (mai).

En juin : Attichy, Bitry, Courtieux, le Chat-Embarrassé, Cutry, Laversine.

Aisne (juil.) : Vis-sur-Aisne, ferme Vauberon, Buzancy, Hartennes (août), Guny, Trosly-Loire (sept.). Marne : Fontaine-sur-Coole, Massiges, Grateuil, Buconville, Viaux, Vouziers (oct.)

Un groupe (41e, 42e et 43e batteries) du 45e régiment d’artillerie de campagne

Ce groupe a été formé en août 1914 et affecté au camp retranché de Paris. Ce sont en majorité des Territoriaux.

Il est constitué par les 41e, 42e et 43e batteries équipés de canons de 95. En avril 1917, il ira constituer le 222e RAC.

Voir le 222e RAC pour le parcours de ce groupe depuis 1914.

Groupe de renforcement du 45e régiment d’artillerie de campagne

Un groupe de renforcement du 45e RAC, a été créé en août 1914. Ce sont en majorité des réservistes.

Il constitue l'artillerie de la 55e division d’infanterie (AD55) avec un groupe du 13e RAC et un du 30e RAC. Ces 3 groupes n’auront donc pas les mêmes lieux de combats que le 45e RAC. En avril 1917, ces 3 groupes iront constituer le 230e régiment d’artillerie de campagne.

Pour voir le parcours de ce groupe, dès 1914, consulter le 230e RAC.

Sections de munitions d’artillerie et sections de munitions d’infanterie (SMA et SMI) du 45ème régiment d’artillerie de campagne :

Elles ne sont pas toutes rattachées directement au régiment. Elles n’ont donc pas exactement le même parcours exposé ci-dessus. On peut citer :

16ème section de munitions d’artillerie du 45ème régiment d’artillerie de campagne :

Canons de 90 mm. En juin 1915, elle est rattachée au 37ème corps d’armée.

23ème section de munitions d’artillerie du 45ème régiment d’artillerie de campagne :

En août 1914, elle est rattachée à la 55ème division d’infanterie.

24ème et 25ème sections de munitions d’artillerie du 45ème régiment d’artillerie de campagne :

En août 1914, elles sont rattachées à la 55ème division d’infanterie. Puis en avril 1917, elles deviennent 22ème et 23ème SMA du 230e RAC.

21ème section de munitions d’infanterie du 45ème régiment d’artillerie de campagne :

En août 1914, elle est rattachée à la 55ème division d’infanterie.

22ème section de munitions d’infanterie du 45ème régiment d’artillerie de campagne :

En août 1914, elle est rattachée à la 55ème division d’infanterie et y restera jusqu’en avril 1917 où elle devient la 21ème SMI du 230ème RAC.

Carnet de guerre de soldats de ce régiment

Carnet de guerre d’Arthur CRIBIER, artilleur au 45e régiment d’artillerie.

Historique du 46ème régiment d’artillerie de campagne (46e RAC)

1e et 2e groupes (batteries n° 1 à 6)

Casernement en 1914 : Châlons-sur-Marne. 6e brigade d’artillerie. Artillerie du 6e corps d’armée (AC6).

En nov. 1914, les groupes deviennent l’artillerie du 32e corps d’armée nouvellement créé.

1914 : combats avec le 25e Chasseurs (août), Sampigny, Lérouville, Arrancy (22/08).

Bataille de la Marne (sept.) : Château de Mondemont (sept.), crête du Poirier, Fère Champenoise, Normée, Puisieux- Sillery, fort de la Pompelle.

Bataille des Flandres : Reninge, maison du passeur, Boesinghe, Ypres, cote 60 (oct.-déc.).

1915 : Argonne (jan.-août.) : La Gruerie, bois du Grand Triage, La Chalade, Fontaine Madame et Lamitte.

Bataille de Champagne : Aubérive : « saillant E » (sept.), Baconnes (déc.). Montfaucon (sept.), Julvécourt, La Bauzée

Bataille de la Somme : Combles, Sailly-Saillisel, bois du Mouchoir (sept.- oct.).

1917 : Argonne (janv.-fév.). Aisne (avril) : Cormicy. Verdun : cote 304, bois d'Avocourt (août) et sept. : bois le Chaume. En déc., un troisième groupe est créé.

1918 : Lorraine (début 18). Villers-Cotterêts (mai). Compiègne (juin). Ferté-Milon (juil.), cote 141, Bruyère.

Offensive de Roye (août). Champagne.

3e et 4e groupes (batteries n° 7 à 12)

Casernement en 1914 : Châlons-sur-Marne. 6e brigade d’artillerie. Artillerie du 6e corps d’armée (AC6)

1914 : Cheppy (sept.), Julvécourt, Deuxnouds, Rembercourt-aux-Pots, Vaux-Marie. Les Éparges (oct.-déc.), Haudainville

1915 : Secteur des Éparges (janv.-mai) : Les Hures, tranchée de Calonne. Troyon (juin-août). Bataille de Champagne (sept.) : Souain, Somme-Py, ferme de Navarin (oct.-déc.).

1916 : ferme de Navarin, Tahure (janv.-mai). Verdun (juin) : Tavannes, fort de Souville, bois du Chênois (juil.). Somme (sept.-déc.) : secteur de Cléry

1917 : Cuisles, Baslieux. (janv.-fév.). En avril, ces groupes deviennent le 246e RAC. Voir >>  ici  <<

Les 30e, 31e, 32e et 33e batteries du 46ème régiment d’artillerie de campagne

Détachées du 46e RAC, dès août 1914, ces 4 batteries vont combattre ensemble au sein de la 69e division d’infanterie. Elles n’auront donc pas les mêmes lieux de combats que le 46e RAC.

En avril 1917, elles iront constituer le 268ème régiment d’artillerie de campagne.

Pour voir le parcours de ces 4 batteries, dès 1914, consulter le 268e RAC.

Le 5e groupe du 46e RAC (batterie 37 à 39, numéros attribués en nov. 1915)

Formé à Valmy en oct. 1914 à partir de 3 batteries de 90 mm du 2e régiment d’artillerie lourde et d’artillerie coloniale. Les 3 batteries seront nommées de 1 à 3. Il fait partie de l’artillerie du 2 corps d’armée coloniale (AC2C).

Fin nov. 1914, la 1e batterie devient 103e batterie du 3e régiment d’artillerie colonial, le 2e batt. devient 129e batterie du 29e RAC, la 3e devient 157e batt. du 57e RAC. i

En mars 1915, la 129e batterie passe au 2e CA. En nov. 1915, La 157e batt. du 57e RAC et la 103e batterie du 3e RA colonial passent à l’artillerie du 6e corps d’armée (AC6). Que fait la 129e du 29e ?

1914 : formation du groupe en oct.-déc. À Valmy.

1915 : Secteur de Vienne-la-Ville (fév.-mai). Champagne : Suippes. Bataille de Champagne (sept.) : Souain, Perthes-lès-Hurlus. Champagne (oct.-déc.) : Souain, Perthes-lès-Hurlus. Fin novembre la 157e batt. du 57e RAC est renommée 37e batterie du 46e RAC et la 103e batt. du 3e RA col en 38e batt. du 46e batt. i

1916 : Champagne (janv.-juin) : Souain, Perthes-lès-Hurlus, bois Tordu, bois de la Brosse à Dent. Verdun (juin-août) : Secteur de Tavannes.

Début sept 1916, une troisième batterie est créée, elle porte le n°39.

Somme (sept.-déc.). Fin novembre la 157e batt. du 57e RAC est renommée 37e batterie du 46e RAC et la 103e batt. du 3e RA col en 38e batt. du 46e RAC. i

Les 3 batteries passent à l’AD166 en décembre.

1917 : En avril, ce groupe devient le 2e groupe du 234e RAC. Voir >>  ici  <<

Historique du 47ème régiment d’artillerie de campagne (47e RAC)

Les 1e, 2e et 3e groupes d’artillerie (batteries 1 à 9)

Casernement en 1914 : Héricourt. 7e brigade d’artillerie, artillerie de la 14e division d’infanterie. Composition : 3 groupes, 9 batteries (N° 1 à 9) de 75 (36 canons).

 

1914 : Opérations d'Alsace : Mulhouse (août). Bataille de la Marne (5-13 sept.) : L'Ourcq, Bouillancy et Betz (12 sept), Nouvron (15 sept.)

1915 : Aisne : Crouy (janv.), Quennevières (juin), bataille de Champagne (sept.)

1916 : bataille de Verdun (fév.), batterie de Damloup puis Somme : Bois de Hem (juil.-sept.)

1917 : Offensive du 16 avril puis Verdun : cote 344 (sept.) – suivre l’attaque du chemin des Dames avec Louis FAURE

1918 : Marne (juil.). Champagne : Tahure (août-oct.).

Groupe de renforcement du 47e RAC (batteries N° 24, 25 et 26)

Un 4e groupe du 47e RAC a été créé durant la guerre. Ce sont en majorité des réservistes du 47e RAC.

Il constitue l’artillerie de la 57e division d’infanterie (AD57), avec deux groupes du 5e RAC. Ces 3 groupes n’auront donc pas les mêmes lieux de combats que le 47e RAC. En avril 1917, ces 3 groupes iront constituer le 204e régiment d’artillerie de campagne.

Pour voir le parcours de ce groupe, dès 1914, consulter le 204e RAC.

Le 5e groupe du 47e RAC (batteries 31 à 33)

Formé dans la région de Besançon en août 1914, il devient artillerie du 7e corps d’armée en octobre 1914 (AC7), avec 4 groupes du 5e RAC.

1914 : Belfort (23/08). Oise (août) : Liancourt (30/08), Ste Geneviève, Mézul (02/09), Dugny, Blanc-Mesnil (05/09). Aisne : Oissery, Soucy, Coeuvres (14/09). Cuisy, Ambleny. Le groupe est équipé de canons de 90mm et fait partie de l’AC7. Ouest de Soissons (oct.-déc.) : plateau de Nouvron.

1915 : Ouest de Soissons (janv.-mars) : plateau de Nouvron. Ferme de Montaigu. Est de Soissons (mai-nov.) : Secteur de Billy.

1916 : En 1917, il deviendra le 1e groupe du 247e RAC. Suivre son parcours à partir de 1916, voir >>> ici  <<<

Un nouveau groupe du 47e RAC (4e, 42e et 43e batteries)

Formé à Besançon (?) début 1915. Composé de 3 batteries (41e, 42e et 43e batt.), canons de 75mm (avec des éléments du 4e RAC pour la 47e batterie qui a été formée à Besançon).

Le groupe fait partie en janvier 1916 de l’artillerie divisionnaire de la de la 17e division d’infanterie coloniale (avec un groupe du 1eRAC et un du 8e RAC).

 

1915 : début 1915, constitution à ?. Constitution d’un corps expéditionnaire qui prend le nom, fin février, de corps expéditionnaire d’Orient (CEO). Le groupe y prend part, mais rattaché à quelle unité ?

Concentration et embarquement à Marseille (mai). Transport vers les Dardanelles. Ferme Zimmerman. Moudros

Expédition des Dardanelles (août-déc.) : bataille de Sedd-Ul-Bahr.

En octobre le CEO devient le CED (corps expéditionnaire des Dardanelles). Le groupe du 47e RAC fait donc partie de l’artillerie de la 1e division du CED (avec un groupe du 8e RAC et un du 25e RAC). À partir du 31 décembre, évacuation des Dardanelles, vers Moudros, puis Salonique.

 

1916 : La 17e division d’infanterie coloniale est créée le 9 janvier. Le groupe du 47e RAC en constitue l’artillerie divisionnaire avec 2 autres groupes (un du 1e RAC et un du 8e RAC).

Secteur du Vadar (fév.-mars) : Kara-Azmak, Kayali, Karasouli. Hirsova, Hilinder (mars).

Vilindi, ravin du Gola (juil.), cote 217. Nord de Lioumnitsa (août). Secteur de Nonté, Mahala, Mayadag (sept.-déc.).

 

1917 : Monastir, Florina. Secteur de la region Rapéch-Bernik

En avril 1917, le groupe deviendra le 1e groupe d’artillerie du 201e RAC. Voir >>> ici <<< le 201e RAC.

Sections de munitions d’artillerie et sections de munitions d’infanterie (SMA et SMI) du 47ème régiment d’artillerie de campagne :

Elles ne sont pas toutes rattachées directement au régiment. Elles n’ont donc pas exactement le même parcours exposé ci-dessus. On peut citer :

10ème, 11ème, 12ème, 13ème et 14ème sections de munitions d’artillerie du 47ème régiment d’artillerie de campagne :

En août 1914, elles sont rattachées au 7ème corps d’armée.

3ème et 4ème sections de munitions d’infanterie du 47ème régiment d’artillerie de campagne :

En août 1914, elles sont rattachées au 7ème corps d’armée.

Carnets de guerre de soldats de ce régiment :

Suivre le parcours de Victor RICHARD du 47e régiment d’artillerie grâce à son carnet de campagne publié sur mon site >>> ici <<<

Suivre le parcours de Louis FAURE, du 47e régiment d’artillerie, au travers de ces 3 carnets de guerre  >>> ici <<<

Historique du 48ème régiment d’artillerie de campagne (48e RAC)

Les 1e, 2e et 3e groupes d’artillerie (batteries 1 à 9)

Casernement en 1914 : Dijon.8e brigade d’artillerie, artillerie de la 15e division d’infanterie. Composition : 3 groupes, 9 batteries de 75 (36 canons).

 

1914 : Victoires de Lorraine : La Mortagne (mi-sept). Bataille de la Woëvre et des Hauts-de-Meuse : bois d’Ailly (fin sept.).

1915 : Opérations d'avril en Woëvre : Saint-Mihiel (avril). Bataille de Champagne : Butte de Tahure (sept.).

1916 : bataille de Verdun : bois de Vaux Chapitre, Fleury, Douaumont.

1917 : ?

1918 : Butte du Mesnil (fév.), attaque vers l'Oise (août), Fontaine-Notre-Dame, Aisonville, Bernoville, Tupigny.

Un groupe du 48e régiment d’artillerie de campagne (batteries 21 à 23)

Ce groupe a été formé le 30 août 1914 à Dijon. Il constitue l'artillerie de la 58e division d’infanterie (AD58) avec un groupe du 1e RAC et un du 3e RAC. Ces 3 groupes n’auront donc pas les mêmes lieux de combats que le 48e RAC.

En avril 1917, il ira constituer le 248e RAC. Voir le 248e RAC pour le parcours de ce groupe depuis 1914.

Un groupe (34e, 35e et 36e batteries) du 48e régiment d’artillerie de campagne

Ce groupe a été formé le 30 décembre 1915 au dépôt d’artillerie de Dijon.

Il est constitué par les 34e, 35e et 36e batteries équipés de canons de 75. En avril 1917, il ira constituer le 222e RAC.

Voir le 222e RAC pour le parcours de ce groupe depuis 1916.

Sections de munitions d’artillerie et sections de munitions d’infanterie (SMA et SMI) du 48ème régiment d’artillerie de campagne :

Elles ne sont pas toutes rattachées directement au régiment. Elles n’ont donc pas exactement le même parcours exposé ci-dessus. On peut citer :

5ème, 6ème, 7ème, 8ème et 9ème sections de munitions d’artillerie du 48ème régiment d’artillerie de campagne :

En août 1914, elles sont rattachées au 8ème corps d’armée.

1ère et 2ème sections de munitions d’infanterie du 48ème régiment d’artillerie de campagne :

En août 1914, elles sont rattachées au 8ème corps d’armée.

Historique du 49ème régiment d’artillerie de campagne (49e RAC)

puis 49e RACP

Les 1e, 2e, 3e et 4e groupes d’artillerie (batteries 1 à 12)

Casernement en 1914 : Poitiers. 9e brigade d’artillerie, artillerie du 9e corps d’armée. Composition : 4 groupes, 12 batteries de 75 (48 canons), puis 2 groupes en juin 1915, puis 3 en nov. 1917 : (passage en artillerie portée : RACP)

2 citations à l’ordre de l’armée, une au corps d’armée, une à la division, fourragère verte.

Il est a noté que le régiment fut aussi félicité par l’armée anglaise (mars 1918) et l’armée américaine (sept. 1918).

 

1914 : Le 7 août, le train de la 7e batterie déraille et cause la mort de 10 hommes et en blesse plus d’une centaine.

Pont-à-Mousson (12/08), Sainte-Geneviève, col de Brette, face à la forêt de Facq, Pont-Saint-Vincent, Saint-Nicolas-du-Port (3e et 4e groupes), Rethel (30/08).

Bataille de la Marne : marais de Saint-Gond, Château de Mondemont, Oeuvy, Gourgançon (sept.), Prosnes, Saint-Hilaire-le-Grand (sept.-oct.), Prosnes, ferme de Moscou, ferme de Constantine.

Belgique (oct.-déc.) : secteur d’Ypres, Saint-Julien.

 

1915 : Belgique (janv.-juin) : secteur d’Ypres.

En juin 1915, les 3e et 4e groupes sont détachés définitivement du 49e RAC. Ils constitueront l’artillerie de la 152e division d’infanterie (AD152). Puis en avril 1917, le 249e RAC.

L’historique qui suit est donc celui des 1e et 2e groupes. Pour les 3e et 4e groupes (batteries 7 à 12), voir le 249e RAC >>>  ici  <<<

 

Artois (juin-juil.) : Neuville-Saint-Vaast, ferme de Berthonval, crête de la Folie puis Somme (août-sept.) : Vrely, Proyart puis secteur d’Arras (sept.) : bataille d’Artois, bombardement du village de Beaurains.

Secteur de Loos, fosse 7 de Béthune, corons du Maroc, La Dynamitière (oct.) puis Grenay (nov.-déc.).

 

1916 : Artois (fév.-juin) : Aix-Noulette, Carency puis secteur de Verdun (avril-juin) : rive gauche de la Meuse, Avocourt.

En quarante jours, le régiment a eu une centaine de tués et 32 canons de détruits. Le régiment a tiré plus de 106.000 obus.

Champagne (juin-sept.) : Souain. Somme (oct.-déc.) : Combles, ravin de Morval.

 

1917 : Somme (janv.) : Cléry-sur-Somme puis Aisne (mars-avril) : fort de Brimont, Hermonville puis Craonnelle (avril-août).

Lorraine : Baccarat puis Aisne (oct.) : offensive de la Malmaison.

Il se forme alors trois nouvelles batteries par prélèvement sur son personnel et l'envoi de quelques hommes de renfort. La transformation est complète. Les 1ère, 2e et 7e batteries forment le 1er groupe. Les 3e, 4e et 8e batteries forment le 2e groupe. Les 5e, 6e et 9e batteries forment le 3e groupe. Le régiment devient artillerie portée (49e RACP), les chevaux sont remplacés par des moyens automobiles.

 

1918 : Lorraine puis Somme (mars-avril) : Amiens, Hangard-en-Santerre, Grivesnes, Moreuil puis Marne (juil.) : Dormans, Reims, Limey (sept.), Châlons-sur-Marne.

Groupe de renforcement du 49e régiment d’artillerie de campagne

Un groupe de renforcement du 49e RAC, a été créé à Nintré en août 1914. Ce sont en majorité des réservistes.

Il constitue l'artillerie de la 59e division d’infanterie (AD59) avec un groupe du 20e RAC et un du 33e RAC. Ces 3 groupes n’auront donc pas les mêmes lieux de combats que le 49e RAC. En avril 1917, ces 3 groupes iront constituer le 220e régiment d’artillerie de campagne.

Pour voir le parcours de ce groupe, dès 1916, consulter le 220e RAC.

Groupe territorial du 49e régiment d’artillerie de campagne (44e à 46e batteries)

Un groupe d’artillerie (44e, 45e et 46e batteries) territoriale du 49e RAC, a été créé en août 1914. Ce sont en majorité des territoriaux.

Il constitue l'artillerie de la 87e division d’infanterie territoriale (AD87) avec un groupe du 50e RAC. Ces 2 groupes n’auront donc pas les mêmes lieux de combats que le 49e RAC. En avril 1917, le groupe du 49e RAC ira constituer le 269e régiment d’artillerie de campagne.

 

1914 : département de la Manche (août) : Heauville, Vasserville, Virandeville, Helleville. Puis défense de la place forte du Havre (oct.).

Le groupe embarque le 6 octobre, au Havre, à bord du «Ville d’Oran » pour Dunkerque.

Belgique (oct.-nov.) : Ypres, Boesinghe, Langemarck, Killem. Maison du Passeur (déc.).

1915 : Belgique (janv.-déc.) : Steenstraate, Boesinghe, Langemarck

1916 : Belgique (janv.-déc.) : Steenstraate, Boesinghe.

1917 : En avril 1917, le groupe du 49e RAC ira constituer le 269e RAC.

Groupe (6e groupe ?) du 49e régiment d’artillerie de campagne

Un groupe d’artillerie (territoriale ?) du 49e RAC, a été créé en août 1914. Il constitue seul l'artillerie de la 86e division d’infanterie territoriale (AD86). Ce groupe n’aura donc pas les mêmes lieux de combats que le 49e RAC. En juin 1915, il passe à l’AC13, puis à l’AD120 en juillet 1916.

30e batterie du 49e régiment d’artillerie de campagne

La 30e batterie du 49e régiment d’artillerie a été constituée en août 1914. Elle forme un groupe d’artillerie avec une batterie du 37e RAC et une batterie du 52e RAC.

Ce groupe constitue l'artillerie de la 73e division d’infanterie (AD73) avec un groupe du 12e RAC et un groupe du 39e RAC.

Ces 3 groupes n’auront donc pas les mêmes lieux de combats que le 49e RAC. Ils garderont leurs numéros respectifs et combattront ensemble sous leur N° d’origine jusqu’en avril 1917. À cette date ces 3 groupes iront constituer le 239e régiment d’artillerie de campagne.

Pour voir le parcours de cette batterie, dès 1914, consulter le 239e RAC.

33e batterie du 49e régiment d’artillerie de campagne

En avril 1915, la 33e batterie est créée à Poitiers (16)

Il constitue (avec la 31e batterie du 15e RAC et la 32e du 21e RAC) le 2e groupe de l’artillerie de la 47e division d’infanterie (AD47) à partir de mai 1915. En avril 1917. Ce groupe devient le 2e groupe du 256e RAC.

1915 : Vosges (mai-déc.) : Plainfaing, La Schlucht, Steinbach, Metzeral, Reichsackerkopf, Le Linge

1916 : Vosges (janv.-mars) : Metzeral, Vallée de la Lauch.

9e groupe du 49e régiment d’artillerie de campagne (102e, 103e et 121e batteries de bombardiers)

Un groupe d’artillerie du 49e RAC, a été créé en octobre 1917. 3 batteries :

Les 102e et 103e batteries sont équipées de canons de 58mm, la 121e d’obusiers de 240mm et servent d’artillerie de tranchée.

102e batterie : devient en avril 1918 la 1e batterie du nouveau 175e régiment d’artillerie de tranchée (RAT).

103e batterie : à l’origine 121e batterie du 4e RAC, puis en octobre 1917 devient 103e batterie de ce 49e RAC, devient en avril 1918 la 2e batterie du nouveau 175e RAT.

121e batterie : devient en avril 1918 la 3e batterie du nouveau 175e RAT.

Sections de munitions d’artillerie et sections de munitions d’infanterie (SMA et SMI) du 49ème régiment d’artillerie de campagne :

Elles ne sont pas toutes rattachées directement au régiment. Elles n’ont donc pas exactement le même parcours exposé ci-dessus. On peut citer :

35ème, 36ème, 37ème, 38ème et 39ème sections de munitions d’artillerie du 49ème régiment d’artillerie de campagne :

En août 1914, elles sont rattachées au 1er corps d’armée colonial.

33ème et 34ème sections de munitions d’infanterie du 49ème régiment d’artillerie de campagne :

En août 1914, elles sont rattachées au 1er corps d’armée colonial.

Carnet de guerre de soldats de ce régiment

Lire sur mon site le carnet de guerre de Jean LEFORT, soldat de ce régiment.

Historique du 50ème régiment d’artillerie de campagne

Les 1e, 2e, 3e et 4e groupes d’artillerie (batteries 1 à 12)

Casernement en 1914 : Rennes. Il forme en août 1914 l’artillerie du 10e corps d’armée. Composition : 4 groupes, 12 batteries (batteries n° 1 à 12) de 75. 48 canons au total.

Deux citations à l’ordre de l’armée, une à la brigade. Fourragère verte.

 

1914 : Les 4 groupes sont l’artillerie du 10e corps d’armée (AC10).

Belgique (août) : Sud de Charleroi, Arsimont, Fosse, Mettet. Retraite (fin août) : Boussu-en-Fagne, Hirson, Saint-Gobert, Sains, Saint-Richaumont (29/08). Sézanne (05/09). Bataille de la Marne : Esternay, forêt de Gault, Clos-le-Roi, Charleville, Mondemont-Montgivroux. Épernay (10/09).

Secteur de Reims, Courcy (fin sept.). Artois (oct.-déc.) : Ficheux, Beaurains, Neuville-Vitasse.

Les 3e et 4e groupes en oct. : Nœux-les-Mines, Givenchy, Cuinchy. 1e et 2e groupes : Secteur d’Arras, Achicourt.

 

1915 : Secteur d’Arras (janv.-juil.), Achicourt, Roclincourt, Anzin, Carency.

En juillet, les 1e et 2e groupes forment l’artillerie de la 131e division (AD131), les 2 autres groupes restant AC10 avec l’arrivée de 2 groupes du 53e RAC. L’AC10 est donc toujours à 4 groupes.

Opérations en Argonne (août-déc.) : La Harazée, Vienne-le-Château.

 

1916 : Opérations en Argonne (janv.-mai) : La Harazée, Vienne-le-Château.

En février le 3e groupe passe à l’AD131 (et rejoint donc les 2 premiers groupes). L’historique qui suit concerne donc seulement ces 3 premiers groupes de l’AD131. Pour le 4e, qui deviendra en 1917 le 250e RAC, et les 2 groupes du 53e RAC, voir >>> ici  <<<

Bataille de Verdun (juin-juil.) : Fleury, chapelle Sainte-Fine, Souville, ouvrage de Thiaumont. Secteur de Flirey (juil.-janv.1917).

 

1917 : secteur de Toul (janv.-avril) : Bois l’Évêque, Montauville. Marne : Le Casque, Mont Haut, le Mont Perthois (avril mai). Bar-le-Duc (juil.).

Les Éparges (juin-oct.). En oct.-déc. : Secteurs de Bezonvaux (bois Chauffour, ravin de la Caillette, bois Fumin) et du bois Le Chaume (Côte du Poivre, ravin de la Dame, ravin de la Couleuvre).

 

1918 : Secteurs de Calonne, Ranzières et de Moulainville (janv.-mars).

Somme : Hangard-en-Santerre (avril). Aisne : Corcy, Longpont (mai-juin) puis Marne, Villesaint, Chêne-la-Reine, le Mesnil-Hutin, Nesle (15-20 juil.).

Les Vosges (août-nov.) : Secteur de Baccarat.

4e groupe du 50e RAC (10e, 11e et 12e batt.)

Ce groupe combattait en 1914 et 1915 avec les 3 autres groupes du 50e RAC et qui formaient l’AC10. Voir >>> ici <<<.

À partir de février 1916, il est le 1e groupe de l’AC10, qui en comporte 4 (avec le 5e groupe du 50e RAC et 2 groupes du 53e RAC)

 

1916 : Villers-en-Argonne (15/02), Argonne (fév.-mai). Somme (juil.-déc.) : Rouvroy, Le Bouchoir, Rouvroy-en-Santerre.

En octobre, les 2 groupes du 53e RAC quittent l’AD10 qui se retrouve à 2 groupes du 50e RAC

1917 : Secteur de Roye, Moyencourt (mars), Grévillers, L’Échelle-Saint-Aurin, bois du Hibou.

Au 1e avril 1917, ce groupe deviendra le 1e groupe du 250e RAC. Pour voir le parcours de ce groupe à partir, consulter le 250e RAC.

5e groupe du 50e RAC (30e, 31e et 32e batt. à partir de fév. 1916).

Un groupe composé d’une batterie comptant au 45e RAC, d’une batterie comptant au 47e RAC et d’une section de munitions (SMA) comptant au 45e RAC est créée le ???.

Il arrive à l’AC10 et compose son 3e groupe de l’AC10 (canons de 90).

Le 29/02/1916, ce groupe passe à 3 batteries de canons de 90 et elles prennent les n° 30, 31 et 32 du 50e RAC. (Source : JMO 250e RAC et de l’AC10).

 

1916 : Villers-en-Argonne (15/02). Secteur de Verdun (mars-avril) : Cumières, Avocourt, bois d’Avocourt. Villers-en-Argonne (04/05).

Somme (juil.-déc.) : Rouvroy, Le Bouchoir, Rouvroy-en-Santerre, Méharicourt.

1917 : Secteur de Roye, Moyencourt (mars), Grévillers, L’Échelle-Saint-Aurin, bois du Hibou.

Au 1e avril 1917, ce groupe deviendra le 2e groupe du 250e RAC. Pour voir le parcours de ce groupe à partir, consulter le 250e RAC.

La 37e batterie du 50ème régiment d’artillerie de campagne

Détachée du 50e RAC, dès août 1914, équipée de canons de 90, cette batterie va combattre au sein de la 69e division d’infanterie. Elle n’aura donc pas les mêmes lieux de combats que le 50e RAC. En avril 1917, elle ira constituer le 268e régiment d’artillerie de campagne.

Pour voir le parcours de cette batterie, dès 1914, consulter le 268e RAC.

Une batterie (non numérotée) du 50ème régiment d’artillerie de campagne

Formée au dépôt du 50e RAC, début 1915, cette batterie va combattre au sein du 36e corps d’armée. Elle n’aura donc pas les mêmes lieux de combats que le 50e RAC.

En avril 1917, elle ira constituer le 270e régiment d’artillerie de campagne.

Pour voir le parcours de cette batterie, dès 1915, consulter le 270e RAC.

Les 27e, 28e et 29e batteries du 50e RAC

Ces 3 batteries ont été mobilisées à Rennes (au château de la Rozeraie pour la 28e b.). Elles vont constituer le 2e groupe de l’artillerie de la 60e DI à partir de 1914. En avril 1917, elle entrera dans la composition du 207e RAC. Pour son parcours à partir de 1914, voir le 207e RAC.

Historique du 51ème régiment d’artillerie de campagne (51e RAC)

Les 1e, 2e et 3e groupes d’artillerie (batteries 1 à 9)

Casernement en 1914 : Nantes. 11e brigade d’artillerie, artillerie de la 21e division d’infanterie. Composition : 3 groupes, 9 batteries de 75 (36 canons).

 

1914 : Retraite des 3e et 4e armées : Pont-Maugis (25 août), Chaumont (27 août), Noyers (28 août), Tourteron (31 août).

Bataille de la Marne : La Fère-Champenoise (6-13 sept.). Course à la mer : Contalmaison, Bazentin-la-Boisselle (oct.).

1915 : Artois : Hébuterne, Serre (juin). Bataille de Champagne : Attaque du bois et de la Butte du Mesnil (sept.).

1916 : bataille de Verdun : Douaumont (juin).

1917 : Aisne : Ferme Moisy, Vauxaillon, Cerny.

1918 : Somme-Py (sept.). Champagne : Bois de Saint-Souplet-à-Py (oct.).

Un groupe de renforcement du 51e régiment d’artillerie de campagne

En août 1914, un groupe à 3 batteries (21e, 22e et 23e batteries) est formé à Vannes (16 officiers, 533 sous-officiers et hommes de troupe et 521 chevaux).

Ce groupe fera partie de l’AD 61. En avril 1917, il deviendra le 1e groupe du 251e RAC. Voir le 251e RAC.

Un groupe du 51e régiment d’artillerie de campagne (batteries 41 à 43)

Créée en mars 1915, à Vannes, armé du canon de 90 jusqu’en fin 1916, constitue l’un des groupes d’ l’artillerie de l’AD153, puis en mai 1915 l’artillerie de la 102e division territoriale (AD102DT), puis à l’AD99T en mai 1916 enfin à l’AD165 en décembre 1916.

1915 : Travaux défensifs région de Clermont (Oise). Somme (oct.-juin 1915.) : Bus, La Boissière, Tilloloy.

1916 : Marne (août-nov.) : Baconnes. Le groupe passe à l’AD165 en fin d’année 1916.

1917 : Secteur de Vienne-le-Château, Saint Thomas. En avril, le groupe devint le 3e groupe du 235e RAC. Les 41e, 42e et 43e batteries deviennent les 27e, 28e et 29e batteries du 235e RAC. Voir le 235e RAC.

La 31e batterie du 51ème régiment d’artillerie de campagne

Formée à Nantes le 11 janvier 1916, cette batterie va combattre au sein de la 154e division d’infanterie. Elle n’aura donc pas les mêmes lieux de combats que le 51e RAC. En avril 1917, elle deviendra la 41e batterie du 266e régiment d’artillerie de campagne.

Pour voir le parcours de cette batterie, dès 1916, consulter le 266e RAC.

Sections de munitions d’artillerie et sections de munitions d’infanterie (SMA et SMI) du 51ème régiment d’artillerie de campagne :

Elles ne sont pas toutes rattachées directement au régiment. Elles n’ont donc pas exactement le même parcours exposé ci-dessus. On peut citer :

SMA

10ème, 11ème, 12ème, 13ème et 14ème sections de munitions d’artillerie du 51ème régiment d’artillerie de campagne :

En août 1914, elles sont rattachées au 11ème corps d’armée.

11ème section de munitions d’artillerie du 51ème régiment d’artillerie de campagne :

En janvier 1917, elle est rattachée à la 56ème division d’infanterie et y restera jusqu’en avril 1917 où elle devient la 23ème SMA du 225ème RAC.

SMI

3ème et 4ème sections de munitions d’infanterie du 51ème régiment d’artillerie de campagne :

En août 1914, elles sont rattachées au 11ème corps d’armée.

Carnet de guerre de soldats de ce régiment

Lire le carnet de guerre du lieutenant Jules DURAND de la 3e SMI du 51e régiment d’artillerie de campagne.

Historique du 52ème régiment d’artillerie de campagne (52e RAC)

 

52e régiment d’artillerie de campagne (52e RAC) – 1913 - Bernard Roger LACOSTE, maréchal-ferrant

Les 1e, 2e, 3e et 4e groupes d’artillerie (batteries 1 à 12)

Casernement en 1914 : Angoulême. 12e brigade d’artillerie, artillerie du 12e corps d’armée (AC12). Composition : 4 groupes, 12 batteries de 75 (48 canons).

Pas de citations du régiment, mais des citations aux groupes

 

1914 : Argonne. Stenay. Belgique (août) : Florenville, Straimont, Blagny, Charbeaux (24/08), Vaux, Malandin, Mouzon (25/08), Yoncq (26/08), Chatillon-sur-Bar.

Champagne : Souain (02/09), Saint-Hilaire, Saint-Amand-sur-Fion.

La Marne (sept.) : Secteur de Châtelraould (1e gr.), Sompuis, Soudé, Meix, Sompuis (2e gr.), Rivières, Châtelraould (3e gr.), ferme des Mandres, Saint-Louvent (4e gr.).

La bataille de Châtelraould est très bien relatée par l’artilleur Roger LACOSTE qui a vécu ses journées historiques et dramatiques de la bataille de la Marne. Il les a écrits dans son carnet.

Marne (oct.-mars 1915) : Les Hurlus, Auberive, Saint-Hilaire-le-Grand, Baconnes.

 

1915 : Lorraine (mars-juin) : Limey, Maidières, ferme du Puits, Mamey.

Le 1e juin les 3e et 4e groupes sont séparés des 2 autres (qui restent AC12) pour former l’artillerie de la 128e division d’infanterie nouvellement créée.

Les 3e et 4e groupes iront former le 252e RAC en avril 1917. Suivre leur parcours à partir de juin 1915  >>>  ici  <<<

L’historique qui suit est donc celui de l’AC12 composé de 2 groupes d’artillerie au lieu de quatre.

Bois le Prêtre. Le Quart-en-Réserve (juin). Oise (juil.) : Corbie, Amiens, Coisy, Cardonette. Artois (juil.-déc.) : Écurie, Souchez, Maroeuil, secteur d’Arras (sept.), Thélus, Vimy.

 

1916 : Artois (janv.-mars) : Thélus, Vimy. Verdun (avril-juin) : fort de Chana, crête de Saint-Michel, carrières d’Haudromont.

Secteur de Soissons (juil.-sept.) : Vieil-Arcy, Chassemy, Vassognes, Oulches. En sept. et au repos secteur Troissy-Vassy, le régiment aide à vendanger.

Montdidier (nov.), Lamotte-en-Santerre. Somme (nov.-fév. 1917) : Becquincourt, Herbécourt, bois de Maucourt, Péronne, Bois de Gernouville.

 

1917 : Champagne (fév.-nov.) : Maisons-de-Champagne, Auberive, Minaucourt, bois International, bois des Territoriaux.

 

1918 : Campagne d’Italie (nov.1917-sept. 1918) : Vicence, Altavilla, Monte Pau, Cima di Fonte, Cornedo (fév.), La Piave (mars), secteur d’Asiago (avril-sept.).

Champagne (sept.-oct.) : ferme Navarin, Vouziers, Banogne-Recouvrance.

Groupe de renforcement du 52e régiment d’artillerie de campagne

Un groupe de renforcement du 52e RAC, a été créé à Angoulême en août 1914. Ce sont en majorité des réservistes. Il constitue l'artillerie de la 62e division d’infanterie (AD62) avec un groupe du 21e RAC et un du 34e RAC.

Ces 3 groupes n’auront donc pas les mêmes lieux de combats que le 52e RAC. Ils garderont leurs numéros respectifs et combattront ensemble sous leur N° d’origine jusqu’en avril 1917. À cette date ces 3 groupes iront constituer le 221e régiment d’artillerie de campagne.

Pour voir le parcours de ce groupe, dès 1914, consulter le 221e RAC.

31e batterie du 52e régiment d’artillerie de campagne

La 31e batterie du 52e régiment d’artillerie a été constituée en août 1914. Elle forme un groupe d’artillerie avec une batterie du 37e RAC et une batterie du 49e RAC.

Ce groupe constitue l'artillerie de la 73e division d’infanterie (AD73) avec un groupe du 12e RAC et un groupe du 39e RAC.

Ces 3 groupes n’auront donc pas les mêmes lieux de combats que le 52e RAC. Ils garderont leurs numéros respectifs et combattront ensemble sous leur N° d’origine jusqu’en avril 1917. À cette date ces 3 groupes iront constituer le 239e régiment d’artillerie de campagne.

Pour voir le parcours de cette batterie, dès 1914, consulter le 239e RAC.

Un groupe du 52e régiment d’artillerie de campagne (26N414/3 et 26N997/13)

Un groupe de renforcement du 52e RAC (41e, 42e et 43e batteries), a été formée à Angoulême en août 1914. Ce sont en majorité des réservistes. Il est affecté à l’artillerie de réserve du 6e secteur du camp retranché de Paris. En octobre 1914, Il constitue l'artillerie de la 89e division d’infanterie territoriale (AD88T) avec un groupe du 37e RAC.

 

1914 : Arrivé au Camp retranché de Paris (août-oct.). Embarquement avec le groupe du 37e RAC à Cherbourg les 11-12 octobre (sur le « Chaplain », le « Ville de Tamatare », le « Guatémala » et « l’Amiral Cauteaune ») pour Dunkerque.

Belgique (oct.-déc.) : Mercken, Reningue, Nieucapelle, bois de la Canardière, Luyghen. Maison du Passeur, Dixmude.

1915 : même secteur (janv.). Zonnebecke, Woesten (mars). Aisne (avril-déc.) : secteur entre Venizel et Condé-sur-Aisne.

1916 : Aisne (avril-déc.) : secteur entre Venizel et Condé-sur-Aisne. Soupir, Pernant, Dhuizy, fort de Condé.

1917 : En avril 1917, il ira constituer le 272e régiment d’artillerie de campagne (avec le groupe du 37e RAC). Voir le 272e RAC.

Un groupe de 95 du 52e RAC.

Créé à 2 batteries (44e et 45e batteries), de canons de 95 mm à Angoulême le 20 juillet 1915. Composé de territoriaux de jeunes classes et de réservistes de classes anciennes (JMO).

1915 : École à feu de Bourges (août-déc.). fin 1915, les canons de 95 sont remplacées par du 75. Les territoriaux non volontaires sont renvoyés au dépôt ; ils sont remplacés par des jeunes soldats de la classe 1916.

1916 : une nouvelle batterie est créée en février (la 46e). Formation à l’ouest de Paris.

Antheuil, Vignemont, Vadelaincourt (juin-août). Marne : Taissy, Cormontreuil, Bouilly. Aisne (sept.-nov.) : Barbonval.

1917 : En avril 1917, il ira constituer le 219e régiment d’artillerie de campagne (avec un groupe du 19e et un du 35e RAC). Voir le 219e RAC.

Sections de munitions d’artillerie et sections de munitions d’infanterie (SMA et SMI) du 52ème régiment d’artillerie de campagne :

Elles ne sont pas toutes rattachées directement au régiment. Elles n’ont donc pas exactement le même parcours exposé ci-dessus. On peut citer :

SMA :

1ère section de munitions d’artillerie du 52ème régiment d’artillerie de campagne :

Canons de 90 mm. En juin 1915, elle est rattachée au 37ème corps d’armée.

42ème section de munitions d’artillerie du 52ème régiment d’artillerie de campagne :

En avril 1915, elle est rattachée au 38ème corps d’armée. Puis rattachée en juin 1915 à la 52ème division d’infanterie et y restera jusqu’en avril 1917 où elle devient la 23ème SMA du 217e RAC.

SMI :

Carnet de guerre de soldats de ce régiment

Lire ici le carnet de guerre de Roger LACOSTE artilleur au 52e régiment d’artillerie de campagne.

Historique du 53e régiment d’artillerie de campagne (53e RAC)

Casernement en 1914 : Clermont-Ferrand. 13e brigade d’artillerie, artillerie du 13e corps d’armée (AC13) en août 1914. Composition : 4 groupes, 12 batteries de 75 (48 canons).

Les 4 groupes d’origine d’active auront des parcours complètement différents :

1e groupe

Affecté à l’AC13 d’août 1914 à juin 1915, puis à l’artillerie de la 120e DI (AD120) avec le 5e groupe.

 

1914 : Alsace (août) : Sarrebourg, Cirey, Hartzwiller, Brouderdorff. Rambervillers (fin août), Xaffévillers, bois d’Anglemont.

Oise (sept.-déc.) : Creil, vers Noyon, Lassigny, Ribécourt.

1915 : Oise (janv.-nov.) : Ribécourt, Beuvraignes, Le Plémont. Andechy, Puis en déc.-fév. 1916 : bois des Loges, Andechy.

1916 : Montdidier (fév.). Bataille de Verdun (mars) : Vaux-devant-Damloup, Eix. Oise (avril-août) : Haute-Braye, ferme de Quennevières. Bataille de la Somme (sept.-oct.) : Vermandovillers, Ablaincourt. Lorraine (nov.-janv. 1917) : Neufchâteau.

1917 : Ribécourt (janv.), Canny-sur-Matz, Lassigny, Candor, Guiscard (mars). Aisne (avril-mai) : Rocourt, Grugies.

Verdun (juil.-août) : La Hayette, Esnes, Malancourt. Meuse (août-oct.) : Les Paroches, Koeur-la-Grande. Beaumont, bois de Chaume (nov.).

1918 : Verdun (janv.-mai) : Avocourt, bois de Cheppy, bois d’Avocourt. Aisne (juin-juil.) : Chatillon-sur-Marne, Olizy, Cuisles, Verneuil. Marne (juil.) : Marfaux. Verdun (sept.) : ouest des Forges, Beaumont. Marvaux (oct.), Vouziers, Condé-les-Vouziers (oct.-nov.). Plateau des Alleux.

2e groupe

Affecté à l’AC13 d’août 1914 à déc. 1916.

 

1914 : Lorraine (août) : Thaon-les-Vosges, Baccarat, Ancerviller, Badonviller, Bréménil, Parux, Petit-Mont, Cirey. Bayencourt (sept.).

Oise (sept.-déc.) : Tracy-le-Mont, Canny-sur-Matz, ferme de la Taulette, Lassigny, La Potière, Crapeaumesnil, bois des Loges.

1915 : Oise (janv.-sept.) : secteur de Lassigny, Gury, Le Plessis-de-Roye, Tour Roland, bois de la Livette.

Puis à partir d’octobre : Conchy-les-Pots, bois du Verlot. Ribécourt, Pimprez, bois des Écazieux.

1916 : Janv.-fév. : Même secteur. Verdun (mars-avril) : Vignéville, Montzéville. Aisne (avril-oct.) : Chevillecourt, Vic-sur-Aisne, Autrêches.

En décembre le groupe part en région Lyonnaise pour devenir le second groupe du 274e RAC, et partir pour l’Orient. Voir le 274e RAC.

3e groupe

Affecté à l’AC13 durant toute la guerre.

1 citation du 3e groupe d’artillerie à l’ordre de l’armée

 

1914 : Alsace (août) : Badonviller, Cirey, Sarrebourg, Hartzwiller, Trois Fontaine, Niderviller, bois du Voyer (21/08), Roville-aux-Chênes, bois de la Pucelle, Rambervillers (fin août), Xaffévillers, bois d’Anglemont.

Oise (sept.-déc.) : Creil, vers Noyon, Machemont, Villers-sur-Coudun, Mareuil-La-Motte, Lassigny, Ribécourt.

1915 : Oise (toute l’année) : Ribécourt, Beuvraignes, Le Plémont. Andechy, Puis en déc.-fév. 1916 : bois des Loges, Andechy. Thiescourt.

1916 : Janv.-fév. : Même secteur. Verdun (mars-avril) : bois de Malancourt, Avocourt.

Oise (avril-déc.) : Offemont, Tracy-le-Mont, Moulin-sous-Touvent, ravin de Puisaleine.

1917 : Oise (mars-juil.) : Chevincourt, Machemont, Dreslincourt puis secteur de Saint Quentin.

En avril 1917, il ira constituer le 253e régiment d’artillerie de campagne (avec un groupe « de sortie » du 53e RAC). Le 253e RAC restera l’artillerie du 13e corps d’armée jusque l’armistice. Voir le 253e RAC.

4e groupe

Affecté à l’AC13 d’août 1914 à février 1915, puis de l’AD62.

En avril 1917, il ira constituer le 221e régiment d’artillerie de campagne. Pour voir le parcours de ce groupe, dès 1914, consulter le 221e RAC.

Le 5e groupe du 53e RAC (canons de 90)

Le 5e groupe du 53e RAC, 2 batteries de canons de 90, a été créé en octobre 1914. Ce sont en majorité des réservistes.

Affecté à l’AC13 d’oct. 1914 à juin. 1915, ces 2 batteries de 90 sont transformées en 3 batteries de 75, puis le groupe passe à l’AD120 avec le 1e groupe.

 

1914 : Alsace (août) : Sarrebourg, Cirey, Hartzwiller, Brouderdorff. Rambervillers (fin août), Xaffévillers, bois d’Anglemont.

Oise (sept.-déc.) : Creil, vers Noyon, Lassigny, Ribécourt.

1915 : Oise (janv.-nov.) : Ribécourt, Beuvraignes, Le Plémont. Andechy, Puis en déc.-fév. 1916 : bois des Loges, Andechy.

1916 : Montdidier (fév.). Bataille de Verdun (mars) : Vaux-devant-Damloup, Eix. Oise (avril-août) : Haute-Braye, ferme de Quennevières. Bataille de la Somme (sept.-oct.) : Vermandovillers, Ablaincourt. Lorraine (nov.-janv. 1917) : Neufchâteau.

1917 : Ribécourt (janv.), Canny-sur-Matz, Lassigny, Candor, Guiscard (mars). Aisne (avril-mai) : Rocourt, Grugies.

Verdun (juil.-août) : La Hayette, Esnes, Malancourt. Meuse (août-oct.) : Les Paroches, Koeur-la-Grande. Beaumont, bois de Chaume (nov.).

1918 : Verdun (janv.-mai) : Avocourt, bois de Cheppy, bois d’Avocourt. Aisne (juin-juil.) : Chatillon-sur-Marne, Olizy, Cuisles, Verneuil. Marne (juil.) : Marfaux. Verdun (sept.) : ouest des Forges, Beaumont. Marvaux (oct.), Vouziers, Condé-les-Vouziers (oct.-nov.). Plateau des Alleux.

Groupe de renforcement du 53e régiment d’artillerie de campagne

Un groupe de renforcement du 53e RAC (27e, 28e et 29e batteries), a été créé à Ceyrat (63) en août 1914. Il constitue l'artillerie de la 63e division d’infanterie (AD63) avec un groupe du 16e RAC et un du 36e RAC.

Ces 3 groupes n’auront donc pas les mêmes lieux de combats que le 53e RAC. Ils garderont leurs numéros respectifs et combattront ensemble sous leur N° d’origine jusqu’en avril 1917. À cette date ces 3 groupes iront constituer le 216e régiment d’artillerie de campagne.

Pour voir le parcours de ce groupe, dès 1914, consulter le 216e RAC.

Groupes « de sortie » du 53e régiment d’artillerie de campagne

Trois groupes d’artillerie (dits « de sortie »), armés de canons de 90, ont été créés au 53e RAC, en août 1914. Ce sont des réservistes :

 

Le 1e et 2e groupes de sortie (41e à 46e batteries, canons de 90).

Dirigés vers la place forte de Lyon, comme artillerie de place. En octobre 1914, ils forment l’artillerie du 33e corps d’armée (AC33). En avril 1915, ils passent à l’AD88T. Puis en août 1915, ils passent à l’AC10, puis à l’AD162 en octobre 1916. Les canons de 90 sont échangés avec des 75mm. En avril 1917, ils forment, le 263e RAC (avec un groupe du 28e RAC). Le 263e RAC restera l’AD162 jusqu’à l’armistice.

1914 : Place forte de Lyon (août-sept.). Artois (oct.-déc.) : Neuville-Saint-Vaast, Thélus, Maison-Blanche, Les Tilleuls.

1915 : Artois (janv.-juil.) : Neuville-Saint-Vaast, Thélus, Maison-Blanche, Les Tilleuls, Notre-Dame-de-Lorette. Argonne (août-juin 1916) : sud de Vienne-le-Château, bois d’Hauzy, Four-de-Paris, Servon, La Harazée.

1916 : (Somme (juil.-sept.) : Quesnoy-en-Santerre, Méharicourt. Les canons de 90 sont remplacés par du 75mm.

Champagne (nov.-janv. 1917) : Ferme de Navarin, Souain, cote 193.

1917 : Voir le 263e RAC.

 

Le 3e groupe de sortie, (47e, 48e et 49e batteries, canons de 90)

Dirigé en août 1914 vers la place forte de Toulon, comme artillerie de place. En décembre 1914, il forme, avec le 3e d’artillerie colonial, l’artillerie du 1e corps colonial. En juin 1915, il fait partie de l’artillerie du 2e corps colonial. Les canons de 90 sont échangés avec des 75mm. En mars 1917, il passe à l’AC13 pour former, le 1e avril 1917, le 253e RAC (avec un groupe du 53e RAC). Le 253e RAC restera l’artillerie du 13e corps d’armée jusqu’à l’armistice. Voir le 253e RAC.

1914 : Place forte de Toulon (août-sept.). Champagne (oct.-déc.) : Vaudesincourt, Auberive, St Thomas-en-Argonne, Binarville.

1915 : (janv.-oct.) : Vienne-Le-Château, Souain, Somme-Py. Oise (nov.-déc.) : Saint-Rémy-en-l'Eau.

1916 : Secteur de Lassigny, bois Divette, bois Triangulaire, ferme Saint Claude, Assevillers, Villers-Carbonnel.

1917 : Voir le 253e RAC.

La 16e puis 116e batterie du 53e RAC

La 16e batterie de bombardiers du 53e RAC a été formée le 18 juin 1915 (JMO AC13). Avant cette date, elle s’appelle « groupe de bombardiers du 13e CA ». Elle est équipée de 8 (puis 12) canons de 58 mm de tranchée, et fait partie de l’AC13.

Ces canons peuvent être très rapidement installés dans les tranchées ennemies conquises durant des offensives pour la destruction des réseaux de fils de fer.

 

1915 : Secteur de Lassigny (janv.-juin) : bois Triangulaire, Belval, Le Carmoy.

La batterie est formée officiellement le 1e juin. Elle comprend 228 hommes, 104 chevaux, 21 voitures, 12 canons.

Artois (juin) : Hébuterne, ferme du Touvent.

Secteur de Lassigny (juil.-oct.) : bois Triangulaire, Belval, Le Carmoy. Secteur de Marquéglise (nov.), Dreslincourt.

En décembre la batterie change de nom, il passe de 16e à 116e batterie.

 

1916 : Le Hamel, l’Écouvillon (janv.-fév.). Verdun (mars) : Esnes, bois de Malancourt.

Le 20 mars, durant l’attaque allemande, la batterie perd 49 hommes sur les 78 qui étaient en première lignes, la plupart des hommes et canons étant ensevelis sous le bombardement. Le 31 mars, les survivants seront interrogés par un conseil de guerre. De nombreuses défaillances face à l’ennemi (pourparlers ? désertions ?) auraient eu lieu au sein des unités présentes dans ce secteur, les 111e et 258e régiment d’infanterie et le 116e bombardiers.

Oise (avril-juin) : Tracy-le-Val, Puisaleine

Le 25 avril, les effectifs sont recomplétés et la batterie et dédoublée pour former 2 batteries : la 116e (83 hommes) et la 136e (91 h.).

Somme (mai-nov.) : Neuville-Sire-Bernard, Warvillers, Caix, bois des Ballons, bois du Geai, Moreuil, Lihons.

 

1917 : Oise : Silly-le-Long. après mars : ?

30e batterie du 53e RAC (JMOAD77)

La 30e batterie est formée à la mobilisation au moyen d’un noyau d’artilleurs provenant du 4e groupe du 53e RAC. Elle est basée à Clermont-Ferrand. Composition 173 officiers, sous-officiers et hommes de troupe, 165 chevaux.

Elle forme un groupe d’artillerie avec les 27e et 28e batteries du 6e RAC de Valence (Drôme). Ce groupe sera affecté dès août 1914 à l’AD44.

Elle part à Valence rejoindre 2 autres batteries puis le groupe part pour Belfort le 15 août. La batterie combat à l’est d’Altkirch, puis à Wittersdorf, Tagsdorf. JMO

 

Dans la nuit du 22 au 23 août 1914, le train qui transporte la batterie « dévale à toute allure la rampe de Saint Laurent, près d’Épinal. Devant eux, sur la même voie, un autre train transportant un bataillon du 159e régiment d’infanterie alpine est arrêté. Une catastrophe effroyable se produit. Le convoi grimpe littéralement sur celui qui le précède. Dans la nuit noire, c’est l’affolement général (…) ».

Plusieurs morts et dizaines de blessés à la batterie du 53e RAC (85 tués et 75 blessés au 159e RI). Le matériel est dirigé vers l’arsenal d’Épinal pour réparation. Le restant des hommes cantonnent à Dinozé pendant plusieurs jours. Il se reconstitue avec la majorité de la 5e batterie du 12e RAC (décimée dans un combat près de Raon-l’Étape). La batterie rejoint la 44e division le 31 août. Elle passera à l’AD76 en oct. 1914.

 

1914 : Vosges (sept.) : la Chipotte, Raon-l’Etape. Région de Toul (fin sept.). Sud-est de Saint Mihiel : Flirey, Bouconville, Saint-Agnant, Rambucourt.

1915 : Sud-est de Saint Mihiel : est de Flirey (mars), Seicheprey. Woëvre (avril-mai) : bois de Mort-Mare. Saint-Agnant (oct.-déc).

1916 : Lucey. Meuse (mars) : Ligny-en-Barrois. Bataille de Verdun (mars-avril) : Béthincourt, bois d’Avocourt, Malancourt, bois Carré. Ligny-en-Barrois, Void (mai-juin). Vosges (juin-nov.) : col de Sainte-Marie, la Chapelotte, col du Bonhomme.

1917 : Les batteries iront constituées le 274e RAC et partiront en Orient. Voir le 274e RAC pour le parcours à partir de 1917.

Une batterie du 53e RAC

Une batterie du 53e RAC sera associée à une batterie du 36e RAC pour former un groupe territorial d’artillerie du 16e RAC. Ce groupe de canons de 95 sera l’artillerie de la 84e division d’infanterie territoriale, et deviendra en avril 1917 une partie du 212e RAC. Pour suivre le parcours de ce groupe voir ici.

Sections de munitions d’artillerie et sections de munitions d’infanterie (SMA et SMI) du 53ème régiment d’artillerie de campagne :

Elles ne sont pas toutes rattachées directement au régiment. Elles n’ont donc pas exactement le même parcours exposé ci-dessus. On peut citer :

SMA :

24ème et 25ème sections de munitions d’artillerie du 53ème régiment d’artillerie de campagne :

Fin 1914, elles sont rattachées à la 41ème division d’infanterie. Puis en avril 1917, elles deviennent 2ème et 3ème SMA du 34e RAC, puis finalement elles fusionnent pour devenir la 2ème SMA du 4ème RAC jusque la fin de la guerre.

SMI :

21ème section de munitions d’infanterie du 53ème régiment d’artillerie de campagne :

Fin 1914, elle est rattachée à la 41ème division d’infanterie. En avril 1917, elle devient 1ère SMI du 34e RAC, puis finalement elle change encore de nom et devient la 1ère SMI du 4e RAC jusque la fin de la guerre.

22ème section de munitions d’infanterie du 53ème régiment d’artillerie de campagne :

Fin 1914, elle est rattachée à la 41ème division d’infanterie, puis en janvier 1915 elle est rattachée à la 47ème division d’infanterie et y restera jusqu’en avril 1917 où elle devient la 21ème SMI du 256ème RAC.

Historique du 54ème régiment d’artillerie de campagne (54e RAC)

Casernement en 1914 : Sathonay (bat.1 à 3) et Lyon (bat.4 à 9). 4e brigade d’artillerie, artillerie de la 28e division d’infanterie. Les 10e et 11e batteries à cheval sont rattachées à la 6e division de cavalerie, à Lyon.

Composition : environ 1600 hommes et 1555 chevaux.

2 citations à l’ordre de l’armée, fourragère verte.

 

1914 : Vosges : Schlesdadt (18/08), Vallée de la Bolle, col d'Anozel, Ban-de-Sapt (fin août).

Picardie : Framerville (mi-sept.), Foucaucourt-en-Santerre, Herleville, Dompierre, attaques de Fay et du bois Étoilé (déc.).

1915 : Somme (janv.-août) : mêmes secteur, Fontaine-lès-Cappy.

Champagne (août-sept.) : secteur du Trou Bricot (sept.), cote 193, butte de Souain, Tahure (oct.).

Alsace (nov.-déc.) : Belfort puis Falkweiler, Butweiler.

1916 : alsace janv.) : Mêmes secteurs.

bataille de Verdun : secteur de Châtillon, Haudiomont, Villers-sous-Bonchamps, les Côtes-de-Meuse (mars-mai) puis secteur limité au nord par la route de Moranville à la Ferme de Mandre, Damloup, ferme Bourbaux, fort de Vaux (oct.).

Le 1e janvier 1917, le régiment quitte le secteur des Hauts de Meuse et la région de Verdun où il était resté dix mois et pendant lesquels il avait perdu : 1 officier et 8 blessés ; 5 sous-officiers tués et 13 blessés ; 33 hommes tués et 92 blessés.

Tous ses canons avaient été remplacés et au moins une fois détériorés, soit par le feu de l’ennemi, soit par l’intensité du feu qu’ils avaient eu à fournir.

1917 : Roye, Essigny-le-Grand puis Chemin des Dames, moulin de Laffaux, secteur de Troyon (mai), Cerny (juin).

Oise (juil.-août) : Alaincourt, Beautor, plateau de Jumencourt, Mont-des-Tombes, ravin d’Allemant et ravin d’Ailleval (sept.-oct.).

La consommation de munitions, inconnue jusqu’à ce jour, atteindra le 23 octobre, pour les six groupes de 75 de la division, le chiffre fantastique de 65.000 coups.

Carrières de Vauveny, tranchée du Galion, Pinon (nov.).

1918 : Alsace (janv.) : Belfort, secteur d’Altenack puis Flandres : Le Kemmel (avril).

Marne (mai-juin) : Montagne de Reims, Bligny, Poilly, cote 240, bois des Éclisses.

Lorraine : Girivillers, Borville, Clayeures, Borville, Rozelieures. Champagne (sept.) : ferme des Wacques et de la Ferme de Souain, Petites-Loges, Sainte-Marie-à-Py (sept.), Blanzy, Bois Mathilde et le Bois Mince (oct.), Ville-en-Tardenois.

Un groupe du 54e régiment d’artillerie (24e à 26e batteries)

Ce groupe du 54e RAC est composé de 3 batteries : la 24e a été formée à Sathonay, les 2 autres à Lyon. Il est l’un des groupes qui forment l’artillerie de la 74e division d’infanterie (AD74) depuis août 1914. Il n’aura donc pas les mêmes lieux de combats que le 54e RAC. En 1917, il deviendra le 2e groupe du 254e RAC

1914 : regroupement à Chambéry (garde de la frontière italienne). Puis Vosges : Charmes, Domptail, Rozelieures (20-25/08), Remenoville, Einville. Lorraine, Rehainviller. Forêt de Parroy (nov.-déc.).

1915 : Lorraine (toute l’année) : Moncel, Crio. Secteur entre Avricourt et Arracourt, Réchicourt-la-Petite, Coincourt, Ley. Bois Zeppelin, Avricourt.

1916 : Secteur Pont-à-Mousson–Armaucourt, Nomeny (fév.-août). Verdun (sept.-oct.) : Vaux-Chapître, ferme Dicourt, bois Fumin. Dompcevrin, bois Loclont (déc.-janv.17)

1917 : Verdun (fév.-mars) : Bois des Caurières, Louvemont, ferme des Chambrettes. Le 1e avril, Le groupe devient le 2e groupe du 254e RAC. Voir le 254e RAC

 

Lire le carnet de guerre de Clovis MUFFAT-JOLY, bottier, dans ce groupe du 54e régiment d’artillerie de campagne

Un groupe du 54e RAC (canons de 90)

Un groupe d’artillerie a été constitué à Lyon, au titre du 54e RAC, en octobre 1914, de 2 batteries de canons de 90. Ce sont en majorité des territoriaux.

Il est affecté à l’artillerie de la 97e division territoriale (AD97T) avec un groupe du 56e RAC. Il formera une partie du 273e RAC en juillet 1917.

 

1914 : Le groupe part pour Lyon fin octobre. Camp de la Valbonne. Camp retranché de Paris (nov.-déc.).

1915 : janv.- juin : secteur de Lagny (instruction et travaux de défense). Marne (sept.-oct.) : secteur de Reims, Les Marquises, Saint Léonard. Puis sud-est de Reims jusqu’en avril 1916.

1916 : Toute l’année : Rilly-la-Montagne, nord de Reims. Ferme des Marquises, bois des Zouaves.

1917 : Le 1e avril le groupe intègre le 273e RAC. Voir le 273e RAC.

Sections de munitions d’artillerie et sections de munitions d’infanterie (SMA et SMI) du 54ème régiment d’artillerie de campagne :

Elles ne sont pas toutes rattachées directement au régiment. Elles n’ont donc pas exactement le même parcours exposé ci-dessus. On peut citer :

SMA :

23ème et 24ème sections de munitions d’artillerie du 54ème régiment d’artillerie de campagne :

En août 1914, elle est affectée à la 44ème division d’infanterie. Puis en octobre 1914, elles sont rattachées au 33ème corps d’armée (ancien corps d’armée général D’HURBAL).

26ème section de munitions d’artillerie du 54ème régiment d’artillerie de campagne :

En août 1914, elle est affectée à la 44ème division d’infanterie. Puis en septembre 1914, elle est rattachée au 31ème corps d’armée (ancien corps d’armée général DÉLÉTOILE).

En janvier 1915, elle est rattachée à la 47ème division d’infanterie et y restera jusqu’en avril 1917 où elle devient la 23ème SMA du 256ème régiment d’artillerie de campagne.

SMI :

21ème section de munitions d’infanterie du 54ème régiment d’artillerie de campagne :

En août 1914, elle est affectée à la 44ème division d’infanterie. Puis en octobre 1914, elle est rattachée au 33ème corps d’armée (ancien corps d’armée général D’HURBAL).

22ème section de munitions d’infanterie du 54ème régiment d’artillerie de campagne :

En août 1914, elle est affectée à la 44ème division d’infanterie. Puis en septembre 1914, elle est rattachée au 31ème corps d’armée (ancien corps d’armée général DÉLÉTOILE).

Carnet de guerre de soldats de ce régiment

Lire le carnet de guerre de Joseph CAILLAT, artilleur de ce régiment.

Lire le carnet de Claude BERNELIN, des 54e, 27e et 13e régiments d’artillerie.

Lire le carnet de guerre de Clovis MUFFAT-JOLY, bottier, du 54e régiment d’artillerie de campagne

Historique du 55ème régiment d’artillerie de campagne (55e RAC)

Les 1e, 2e et 3e groupes d’artillerie (batteries 1 à 9)

Casernement en 1914 : Orange. 15e brigade d’artillerie, artillerie de la 29e division d’infanterie. Composition : 3 groupes, 9 batteries de 75 (36 canons).

 

1914 : Offensive 2ème armée en Lorraine : Dieuze (août). Lorraine : Xermaménil (28 août), Lamath (août).

Bataille de la Woëvre et des Hauts-de-Meuse : Bois de Forges (oct.).

1915 : Offensives d'Argonne : Vauquois (fév.).

1916 : bataille de Verdun : Bois de Malancourt, Mamelon d'Haucourt.

1918 : Somme : Bois Sénécat, Hangard (avril). Plateau de Laffaux, la Vesle.

Groupe de renforcement du 55e régiment d’artillerie

Créé en août 1914 et mobilisé à Bouillargues (30). Formé de trois batteries (21e, 22e et 23e batteries) de 75mm, il est affecté à l’artillerie de la 55e division d’infanterie (AD65) dès le 23/08/1914.

 

1914 : Antibes ?

Secteur de Saint-Mihiel (mi-août-sept.) : Damvillers, bois de Vaux. Beauzée-sur-Aire (09/09), bois de Landlut, combat d’Issoncourt (10/09).

Durant ce combat d’Issoncourt (9-10/09) : Tous les canons ont été soit détruits soit mis hors service par leurs servants devant l’avance allemande. De plus le groupe a perdu près de 80 hommes (dont 9 officiers tués) tués, blessés ou disparus et 180 chevaux.

Le groupe ne sera reconstitué que le 20 novembre 1914.

1915 : Secteur de Saint-Mihiel (janv.-mai) : secteur entre Maizey et les Paroches, bois de La Charme, fort des Paroches, Koeur-la-Grande.

De juin 1915 à mai 1916 occupation d’un secteur entre Regniéville-en-Haye et Fey-en-Haye.

1916 : Bataille de Verdun (juin-sept.) : Chattancourt, La Hayette. Début oct. repos à Vaubecourt. Verdun (oct.-janv. 1917) : Secteur entre la Hayette et la Meuse, vers Charny.

1917 : Argonne (janv.-sept.) : secteur entre l’Aire et le Four-de-Paris.

En avril 1917, le groupe ira former le 1e groupe du 255e RAC. Pour suivre ce groupe à partir de 1917, voir le 255e RAC.

 

Nouveau groupe du 55e RAC (ex 4e groupe de renforcement du 3e régiment d’artillerie lourde)

Casernement : Joigny (89). 3 batteries (10e à 12e batteries) affectée à la 2e armée, puis à l’AD65 en avril 1915.

 

1914 : Bayon (01/09), Moriviller, combats de Gerbéviller, Fraimbois, ravin de Parfondrupt, plateau de la Hongrie (4-13 sept.). Secteur de Saint–Mihiel (fin sept.-nov.), Chauvoncourt, Mairey (oct.).

1915 : Secteur de Saint-Mihiel (janv.-mai) : secteur entre Maizey et les Paroches, bois de La Charme, fort des Paroches, Koeur-la-Grande.

Les 3 batteries (10e à 12e batteries) sont affectées à l’AD65 début avril 1915 et échange ses canons de 120 court par du 90 mm.

Le 01/10/1915, le 3e RAL devient le 105e RAL. Finalement rattachées au 55e RAC le 01/11/195. Les 10e, 11e et 12e batteries du 4e groupe du 105e RAL (ex 3e RAL) deviennent donc 10e, 11e et 12e batteries du 4e groupe 55e RAC. (JMO page 38)

De juin 1915 à mai 1916 occupation d’un secteur entre Regniéville-en-Haye et Fey-en-Haye.

1916 : Bataille de Verdun (juin-sept.) : Chattancourt, La Hayette. Début oct. repos à Vaubecourt. Verdun (oct.-janv. 1917) : Secteur entre la Hayette et la Meuse, vers Charny.

1917 : Argonne (janv.-sept.) : secteur entre l’Aire et le Four-de-Paris.

En avril 1917, le groupe ira former le 2e groupe du 255e RAC. Pour suivre ce groupe à partir de 1917, voir le 255e RAC.

Un groupe du 55e régiment d’artillerie

Formé à Orange le 1e avril 1915 de 3 batteries (41e, 42e et 43e) de canons de 90mm. Composition 16 officiers, 49 sous-officiers, 491 hommes de troupes, 503 chevaux. Le groupe compose l’artillerie de la 155e division d’infanterie (AD155) en mars 1915, de l’AD157 à partir d’avril 1915, puis de l’AD46 en juillet 1916.

1915 : Instruction camp de la Valbonne. Oise : Liancourt (sept.). Bataille de Champagne (sept.) : Sainte-Marie-à-Py, ferme des Wacques.

Secteur de Belfort puis ouest de Mulhouse (oct.-déc.) : Béthonvillier. Ammertzwiller, Bernwiller.

1916 : Alsace (janv.-juil.) : Ballersdorf, Soppe-le-Haut, Soppe-le-Bas, Michelbach, bois de Niederschalag. En juillet le groupe est mis à la disposition de la 46e division d’infanterie.

Somme (juil.-nov.) : Bovelles, Gouy-l’Hôpital, Maurepas, bois de la Cranière, Rancourt, tranchée des Portes de Fer, Sailly-Saillisel, Bois de St Waast.

Secteur de Remiremont (déc.-janv.1917), Metzeral, Leimbach.

1917 : Camp de Valdahon (fév.-mars).

Le 1e avril, le groupe deviendra le 3e groupe du 227e régiment d’artillerie. Les batteries 41e, 42e et 43e deviendront les 27e, 28e et 29e batteries du 227e RAC. Voir le 227e RAC.

Sections de munitions d’artillerie et sections de munitions d’infanterie (SMA et SMI) du 55ème régiment d’artillerie de campagne :

Elles ne sont pas toutes rattachées directement au régiment. Elles n’ont donc pas exactement le même parcours exposé ci-dessus. On peut citer :

10ème, 11ème, 13ème et 14ème sections de munitions d’artillerie du 55ème régiment d’artillerie de campagne :

En août 1914, elles sont rattachées au 15ème corps d’armée.

12ème section de munitions d’artillerie du 55ème régiment d’artillerie de campagne :

En août 1914, elle est rattachée au 15ème corps d’armée. Puis en juin 1915, elle est rattachée au 2ème corps d’armée colonial..

3ème et 4ème sections de munitions d’infanterie du 55ème régiment d’artillerie de campagne :

En août 1914, elles sont rattachées au 15ème corps d’armée.

Historique du 56ème régiment d’artillerie de campagne (56e RAC)

Les 1e, 2e et 3e groupes d’artillerie (batteries 1 à 9)

Casernement en 1914 : Montpellier. 16e brigade d’artillerie, artillerie de la 31e division d’infanterie. Composition : 3 groupes, 9 batteries de 75 (36 canons).

 

1914 : bataille de Morhange : Morhange. Lorraine : Trouée de Charmes (mi- sept), Gerbéviller.

Bataille des Flandres en Belgique : Poelcapelle, Zillebeke.

1915 : Champagne : Fortin de Beauséjour (fév.)   bataille de Champagne : Beauséjour, Tahure, Souain (sept.).

1916 : Verdun : Thiaumont  (juin-juil.).

1917 : Verdun : le Mort-Homme (août).

1918 : Locre (avril). Massif de Saint-Gobain, Mortiers.

Un groupe de renforcement du 56e régiment d’artillerie de campagne (batteries n° 21 à 23)

Ce groupe du 56e RAC, canon de 75, a été formé et rassemblé à Montpellier (et au château de Bon) en août 1914. Ce sont en majorité des réservistes du 56e RAC.

Il constitue en août 1914 l'artillerie de la 66e division d’infanterie - AD66 - avec un groupe du 3e RAC et un du 9e RAC. En mars 1916, il passe à l’AD 47.

Ce groupe n’aura donc pas les mêmes lieux de combats que le 56e RAC. Il gardera son numéro respectif et jusqu’en avril 1917, avant de devenir le 1e groupe du 256e RAC.

1914 : Transport à Belfort (15/08). Vieux Charmont (25). Vers Mulhouse. Bataille d’Alsace (fin août) : Brunstatt, Flaxlanden.

Secteur de Montbéliard, Delle. Gérardmer (11/09). Vosges : Occupation d’un secteur entre le col du Bonhomme et la Fave : Lesseux, Thann, Tête du Voilu, Tête de Faux.

1915 : Vosges (toute l’année) : Steinbach, Metzeral, l’Hartmannswillerkopf.

1916 : Vosges (janv.-mars) : Metzeral, l’Hartmannswillerkopf. Vallée de la Lauch.

En avril 1917. Ce groupe devient le 1e groupe du 256e RAC. Voir le 256e RAC.

 

Lire le carnet de guerre de Casimir Étienne Louis TREILLET du 56e RAC (22e batterie), puis 256e RAC.

Un groupe du du 56e régiment d’artillerie de campagne (batteries n° 41 à 43)

Un groupe d’artillerie a été constitué, au titre du 56e RAC, en octobre 1914, de 3 batteries (41e, 42e, 43e) de canons de 90. Ce sont en majorité des territoriaux.

Il est affecté à l’artillerie de la 97e division territoriale (AD97T) avec un groupe du 56e RAC. Il formera une partie le 273e RAC en juillet 1917.

41e batterie : formée à Castres par des éléments des 67e, 68e, 69e et 70e batteries du 9e RAC (3 officiers, 196 sous-officiers et hommes de troupes, 182 chevaux). JMO.

42e batterie : formée à Carcassonne fin octobre 1914 (3 officiers, 175 sous-officiers et hommes de troupes, 163 chevaux). JMO.

43e batterie : formée à ? fin octobre 1914 (3 officiers, 174 sous-officiers et hommes de troupes, 163 chevaux).

 

1914 : Le groupe part pour Lyon fin octobre. Camp de la Valbonne. Camp retranché de Paris (nov.-déc.).

1915 : janv.- juin : secteur de Lagny (instruction et travaux de défense). Marne (sept.-oct.) : secteur de Reims, Les Marquises, Saint Léonard. Puis sud-est de Reims jusqu’en avril 1916.

1916 : Toute l’année : Rilly-la-Montagne, nord de Reims. Ferme des Marquises, bois des Zouaves.

1917 : le 1e avril 1917. La 41e batterie devient la 44e batterie du 273e RAC, la 42e batterie devient la 45e et la 43e devient la 46e. Voir le 273e RAC.

Sections de munitions d’artillerie et sections de munitions d’infanterie (SMA et SMI) du 56ème régiment d’artillerie de campagne :

Elles ne sont pas toutes rattachées directement au régiment. Elles n’ont donc pas exactement le même parcours exposé ci-dessus. On peut citer :

10ème, 11ème, 12ème, 13ème et 14ème sections de munitions d’artillerie du 56ème régiment d’artillerie de campagne :

En août 1914, elles sont rattachées au 16ème corps d’armée.

3ème et 4ème sections de munitions d’infanterie du 56ème régiment d’artillerie de campagne :

En août 1914, elles sont rattachées au 16ème corps d’armée.

Carnet de guerre de soldats de ce régiment

Lire le carnet de guerre de Casimir Étienne Louis TREILLET du 56e RAC (22e batterie), puis 256e RAC.

Historique du 57ème régiment d’artillerie de campagne (57e RAC)

puis 57e RACP

Les 1e, 2e, 3e et 4e groupes d’artillerie (batteries 1 à 12)

Casernement en 1914 : Toulouse. 17e brigade d’artillerie, artillerie du 17e corps d’armée (AC17). Composition : 4 groupes en 1914, 12 batteries de 75 (48 canons).

 

1914 : Belgique (août) : Bouillon, Fontenailles, Jehonville, bois de Luchy. Retraite. Remilly-sur-Meuse, Villers-devant-Mouzon (22/08).

Carignan, Monts des Tilleuls. 1e et 2e groupes : Yoncq, La Marfée. 2e et 3e groupes : Raucourt, ferme Beaumesnil. Retraite sur la Marne.

Marne (sept.-déc.) : Mesnil-lès-Hurlus, ferme de la Certine, ferme de l’Épine. Butte du Mesnil.

1915 : Marne (janv.-avril) : Mesnil-lès-Hurlus. Artois (mai) : Carency, Ablain-Saint-Nazaire, Thélus

Le 1e juillet, la 47e batterie du 28e RAC est dissoute et devient la 6e batterie (2 gr.) du 57e RAC pour remplacer les pertes.

En juillet 1915, les 2e et 3e groupes se séparent des 2 autres groupes. Leurs parcours seront différents

2e et 3e groupes (batteries 4 à 9) :

En juillet 1915, les 2e et 3e groupes formeront l’artillerie de la 132e division d’infanterie (AD132). Puis en 1917, ils deviendront 257e RAC. Suivre le parcours de ces 2 groupes ici.

Pour les 1e et 4e groupes (batteries 1 à 3 et 10 à 12) :

Ils restent artillerie du 17e corps d’armée (AC17)

1915 : Artois (sept.-fév. 1916) : Nord d’Arras, Roclincourt, Dainville.

1916 : Lorraine (mars) : Flavigny, Frolois. Erbéviller, Champenoux. Marne (mai-déc.) : Minaucourt, Mesnil-lès-Hurlus, Butte du Mesnil. Prosnes.

En nov., le 4e groupe se sépare du régiment et passe à l’artillerie de la 11e division coloniale (ADC11). Il partira en Orient.

Le régiment ne possède donc plus qu’un seul groupe : le 1e.

1917 : Champagne : Secteur de Moronvilliers à l’Est de Reims, Petite Loges, Sept-Saulx.

Le 1e avril, le régiment est reconstitué à 2 groupes par l’adjonction du 5e groupe du 31e RAC.

Chemin des Dames (avril-juin) : Prosnes, Moronvilliers, fond de Nauroy, Mont Cornillet. Secteur de Saint-Mihiel (juil.). Verdun (août) : Esnes, bois des Corbeaux. Chattencourt, Forges (sept.). Bois de la Bêche et ravin de la Caillette (nov.), réduit d’Attila. Douaumont.

1918 : En fév.., le régiment est transformé en régiment de campagne d’artillerie portée (RACP). Les chevaux sont remplacés par des tracteurs et des camions. Les 2 groupes se transforment en 3 groupes autotractés de 3 batteries chacun. Le régiment devient le 57e RACP.

Verdun (mars-avril) : bois d’Esnes, bois bourrus. Belgique (mai-juil.) : Boesinghe, Elverdinghe, Woesten.

Forêt de Compiègne (juil.), Vic-sur-Aisne, cote 145, ravin du Chat embarrassé, Laversine. Oise : Tracy-le-Mont, Nampcel, forêt de Coucy (août), bois des Vaches, Proost (sept.). Oise (oct.) : Guiscard, Mont d’Origny, Lucy, Hauteville. Lesquielles-Saint-Germain (nov.)

Un groupe de renforcement du 57e régiment d’artillerie de campagne

Ce groupe du 57e RAC, canon de 75, a été formé et rassemblé à Toulouse en août 1914. Ce sont en majorité des réservistes du 57e RAC.

Il constitue l'artillerie de la 67e division d’infanterie (AD67) avec un groupe du 18e RAC et un du 23e RAC.

Ces 3 groupes n’auront donc pas les mêmes lieux de combats que le 57e RAC. Ils garderont leurs numéros respectifs et combattront ensemble sous leur N° d’origine jusqu’en avril 1917, avant de se nommer 218e RAC.

Pour voir le parcours de ce groupe, dès 1914, consulter le 218e RAC.

La 30e batterie du 57e RAC

Formée à Toulouse, elle forme (avec les 27e et 28e batteries du 38e RAC de Nîmes) le 3e groupe d’artillerie de l’AD44 en août 1914, puis, à partir d’octobre, le 2e groupe de l’AD76.

1914 : Alsace : vers Mulhouse (mi-août), Altkirch, Illfurth. Saint-Dié. Bataille de la Mortagne (fin août-sept.) : Ménil, Sainte-Barbe, col de la Chipote. Région de Toul (fin sept.). Sud-est de Saint Mihiel : Flirey, Bouconville, Saint-Agnant, Rambucourt.

1915 : Sud-est de Saint Mihiel : est de Flirey (mars), Seicheprey. Woëvre (avril-mai) : bois de Mort-Mare. Saint-Agnant (oct.-déc).

1916 : Lucey. Meuse (mars) : Ligny-en-Barrois. Bataille de Verdun (mars-avril) : Béthincourt, bois d’Avocourt, Malancourt, bois Carré. Ligny-en-Barrois, Void (mai-juin). Vosges (juin-nov.) : col de Sainte-Marie, la Chapelotte, col du Bonhomme.

1917 :

Les batteries iront constituées le 274e RAC et partiront en Orient. Voir le 274e RAC pour le parcours à partir de 1917.

Carnets de guerre de soldats de ce régiment :

Lire ici le carnet de guerre de Jean LUPIS artilleur aux 18e et 57e régiments d’artillerie de campagne.

Lire le carnet de route d’un officier de la 8e batterie du 57e régiment d’artillerie

Historique du 58ème régiment d’artillerie de campagne (58e RAC)

Les 1e, 2e, 3e et 4e groupes d’artillerie (batteries 1 à 12)

Casernement en 1914 : Bordeaux. 18e brigade d’artillerie, artillerie du 18e corps d’armée (AC18). Composition : 4 groupes, 12 batteries de 75 (48 canons).

Deux citations à l’ordre de l’armée, une à l’ordre de la division.

 

1914 : Belgique (août) : Sivry, Thuin. Retraite : Avesnes, secteur de Laon, ferme de la Fourche, Beaulne, Vauchamps. La Marne (sept.) : Villers-St-Georges, Montceau-lès-Provins, Château-Thierry (10/09). Pontavert. Aisne (oct.-déc.) : Bourg-et-Comin, Meurival, ferme de Beauregard.

1915 : Aisne (janv.-juin) : Plateau de Vauclerc, moulin de Vauclerc, bois Foulon, ferme de Cuisy, ferme Hurtebise, Soupir.

À partir de juin, les 4 groupes se séparent : deux groupes (le 1e et le 2e) deviennent l’artillerie de la 123e division d’infanterie (AD153), les 2 autres groupes (3e et 4e) restent AC18.

La suite de cet historique concerne donc seulement les deux premiers groupes. Les 2 autres deviendront le 258e RAC en avril 1917. Suivre ces 2 derniers groupes ici.

Aisne (juil.-nov.) : Paissy, Prunay, Sillery, bois Marteau, bois Clausade, bois de Beaumarais.

1916 : Secteur de Minaucourt (déc.1915-mai 1916). Verdun : Côte 304 (mai-nov.). Côte du Poivre.

1917 : Verdun (janv.-juil.) : Côte du Poivre, fort de Douaumont, fort de Souville. Ravins de Chambouillat et de Chambitoux.

Le 1 avril, le régiment passe de deux à trois groupes avec l’adjonction d’un groupe du 38e RAC (dont les soldats prennent le N° 58).

Cote 344 (juil.-sept.), ravin de Bras, bois d’Haudremont. Lorraine (oct. à juin 1918) : Champenoux, Hoeville, Réméréville.

1918 : Oise (juin-août) : Giraumont, Condun, Elincourt, Lassigny. Bois de Carlepont (sept.). Essigny-le-Grand (oct.). SaintQuentin.

La 31e batterie du 58e RAC

Formée à Talence, elle forme (avec les 29e et 30e batteries du 38e RAC) en août 1914, le 4e groupe d’artillerie de l’AD44, puis, à partir d’octobre 1914, un groupe de l’AD 77. Elle perdra son nom et deviendra 9e batterie du 6e RAC en 1917.

Pour suivre son parcours, voir le 1e groupe du 6e RAC.

Une batterie (non numérotée) du 58e régiment d’artillerie de campagne

Formée au dépôt du 58e RAC, début 1915, équipée de canons de 90, cette batterie va combattre au sein du 36e corps d’armée.

Elle n’aura donc pas les mêmes lieux de combats que le 58e RAC. En avril 1917, elle ira constituer le 270e régiment d’artillerie de campagne.

Pour voir le parcours de cette batterie, dès 1915, consulter le 270e RAC

Groupe de renforcement du 58e régiment d’artillerie de campagne

Un groupe de renforcement du 58e RAC, a été créé à Bordeaux en août 1914 (546 hommes et 539 chevaux). Ce sont en majorité des réservistes. Il constitue l'artillerie de la 68e division d’infanterie (AD68) avec un groupe du 14e RAC (puis le 62e RAC en oct. 1915) et un du 24e RAC.

Ces 3 groupes n’auront donc pas les mêmes lieux de combats que le 58e RAC. Ils garderont leurs numéros respectifs et combattront ensemble sous leur N° d’origine jusqu’en avril 1917. À cette date, ces 3 groupes (24e, 58e et 62e RAC) iront constituer le 224e régiment d’artillerie de campagne.

Pour voir le parcours de ce groupe, dès 1914, consulter le 224e RAC.

Un groupe (47e, 48e et 49e batteries) du 58e régiment d’artillerie de campagne

Un groupe du 58e RAC (47e, 48e et 49e batteries), a été créé à Bordeaux en août 1914. Ce sont en majorité des réservistes. Il constitue l'artillerie de la 45e division d’infanterie (AD45).

Ce groupe n’aura donc pas les mêmes lieux de combats que le 58e RAC. En avril 1917, il ira constituer le 275e régiment d’artillerie de campagne.

Pour voir le parcours de ce groupe, dès 1914, consulter le 275e RAC.

Sections de munitions d’artillerie et sections de munitions d’infanterie (SMA et SMI) du 58ème régiment d’artillerie de campagne :

Elles ne sont pas toutes rattachées directement au régiment. Elles n’ont donc pas exactement le même parcours exposé ci-dessus. On peut citer :

5ème, 6ème, 7ème, 8ème et 9ème sections de munitions d’artillerie du 58ème régiment d’artillerie de campagne :

En août 1914, elles sont rattachées au 18ème corps d’armée.

1ère et 2ème sections de munitions d’infanterie du 58ème régiment d’artillerie de campagne :

En août 1914, elles sont rattachées au 18ème corps d’armée.

Historique du 59e régiment d'artillerie de campagne (59e RAC)

puis 59e RACP

 

6e batterie du 59e régiment d’artillerie de campagne (59e RAC) – 1913 - #chtimiste

 

Les 1e, 2e, 3e et 4e groupes d’artillerie (batteries 1 à 12)

Casernement en 1914 : Troyes, Arcis-sur-Aube, Mailly. Dépôt à Chaumont. Il fait partie de la 19e brigade d’artillerie, artillerie du 21e corps d’armée (AC21). Composition : 4 groupes, 12 batteries de 75 (48 canons).

2 citations à l’ordre de l’armée. Fourragère verte.

 

1914 : Alsace, Vosges : col de Saales, Granvillers (août). Marne (sept.) : Meix, Tiercelin, Sompuis, Coole, Vésigneul, Bussy-le-Château.

Artois (oct.-déc.) : Notre-Dame de Lorette, Mont-Saint-Eloi, ravin des Marquefles, Bully, Grenay, Aix-Noulette, Vermelles (déc.).

 

1915 : Artois (jan.-août) : Fosse Calonne, Noulette. Notre-Dame de Lorette (mai-août).

Les 1e et 2e groupes passent de l’AC21 à l’AC31 et sont détachés définitivement des deux autres groupes.

 

1e et 2e groupes AC31 (août-oct.) : Woëvre : Pont à Mousson, Saint-Mihiel. Puis Commercy, Le Tombois, bois de la Maillette (déc.).

3e et 4e groupes AC21 (août-oct.) : Le groupe absorbe 2 batteries (44e et 45e batteries) venues du 14e RAC.

Artois : secteur de Notre-Dame de Lorette. Puis Blagerval.

 

1916 :

1e et 2e groupes AC31 (janv.-mai.) : Richecourt, Rembercourt, Géréchamp. Puis Verdun (mai-déc.) : bois Bourrus, Montzéville. Thiaumont, Fleury (août), bois Bourrus.

3e et 4e groupes AC21 (mars-mai) : Verdun, fort Saint-Michel, fort de Tavannes. Puis Champagne (mai-juil.) : bois des Bouleaux, Trou Bricot. Somme (août-fév. 1917) : Méharicourt, Soyécourt.

 

1917 :

1e groupe : La Chalade (mars), Bouxières-aux-Chênes, Saint-Mihiel.

En avril, il devient 3e groupe de l’AD97, puis devient le 3e groupe du 273e régiment d’artillerie, (détaché au 273e RAC, dont il ne prendra pas les insignes). En septembre, il constitue l’artillerie du 34e corps d’armée (AC34), avec le 2e groupe du 59e RAC. (JMO AD97, 26N416/4, page 5)

Marne (nov.) : Moronvilliers, Prosnes, Le Godat, secteur de Reims (déc.).

2e groupe : Bois des Hauts-Bâtis (mars).

En avril, il constitue un groupe de l’AD87, puis devient le 3e groupe du 269e régiment d’artillerie, (détaché au 269e RAC, dont il ne prendra pas les insignes). En septembre, il constitue l’artillerie du 34e corps d’armée (AC34), avec le 1e groupe du 59e RAC.

Marne (nov.) : Moronvilliers, Prosnes, Le Godat, secteur de Reims (déc.).

 

3e et 4e groupes : Ils sont détachés et forment, avec un groupe du 2e RAC, l’artillerie de la 170e division d’infanterie (AD 170) nouvellement constituée. Le 1e avril ces groupes formeront le 259e régiment d’artillerie. Pour suivre ces 2 groupes du 59e RAC, voir le 259e RAC.

 

1918 :

1e et 2e groupes : Secteur de Reims (janv.) : Bétheny, Saint Thierry. Fort de Brimont.

En mars-avril, le régiment est transformé en régiment de campagne d’artillerie portée (59e RACP). Les chevaux sont remplacés par des tracteurs et des camions. Les 2 groupes se transforment en 3 groupes autotractés durant 1 mois.

Compiègne (avril-mai), Le Plémont, La Berlière. Oise (juin-août) : bois de Ressons, Marquéglise, Élincourt, Gournay-sur-Aronde (juin), Wacquemoulin, ferme Porte. Plessis-de-Roye (août), Lagny, Travecy, Vendeuil.

Flandres (sept.-oct.) : Bailleul, Mont Rouge, Mont Vidaigne, Mont des Cats. Belgique : Zarren (sept.), Cortemarck, Thourout. Denterghem, Gotthem (oct.). Huysse (nov.).

31e batterie du 59e RAC

Cette batterie a été mobilisée à Mailly-le-Camp (51). Elle va constituer une partie du 3e groupe de l’artillerie de la 70e DI à partir de 1914.

En avril 1917, elle entrera dans la composition du 208e RAC. Pour son parcours à partir de 1914, voir le 208e RAC  >>>  ici  <<<.

Sections de munitions d’artillerie et sections de munitions d’infanterie (SMA et SMI) du 59ème régiment d’artillerie de campagne :

Elles ne sont pas toutes rattachées directement au régiment. Elles n’ont donc pas exactement le même parcours exposé ci-dessus. On peut citer :

5ème, 6ème, 7ème, 8ème et 9ème sections de munitions d’artillerie du 59ème régiment d’artillerie de campagne :

En août 1914, elles sont rattachées au 21ème corps d’armée.

1ère et 2ème sections de munitions d’infanterie du 59ème régiment d’artillerie de campagne :

En août 1914, elles sont rattachées au 21ème corps d’armée.

Historique du 60ème régiment d’artillerie de campagne (60e RAC)

puis 60e RACP

Les 1e, 2e, 3e et 4e groupes d’artillerie (batteries 1 à 12)

Casernement en 1914 : Troyes (bat. 1 à 6), Neufchâteau (bat. 7 à 12). 20e brigade d’artillerie, artillerie du 20e corps d’armée (AC20). Composition : 4 groupes, 12 batteries de 75 (48 canons).

3 citations à l’ordre de l’armée. Fourragère verte.

 

1914 : Laneuville-devant-Nancy. Arracourt (14-15/08), Haute-Riouville, Puttigny. Bataille de Morhange : Morhange. bataille des Flandres, Manoucourt-en-Vernois, Charmes (fin août), Maixe, Mohon, Bonviller, Réméréville. Somme (sept.- oct.) : Chuignolles, Maricourt, Favières, Suzanne, La Boisselle.

Belgique (nov.) : Dixmude, Le Kemmel. Nord d’Ypres (déc.).

1915 : Belgique : nord d’Ypres (janv.-avril).

Artois (avril-juil.) : Mareuil, bataille d’Artois, La Targette, Chaussée Brunehaut, Les Pylônes, Neuville-Saint-Vaast.

Les 3 et 4e groupes partent constituer l’artillerie de la 153e division d’artillerie, ils ne combattent donc plus aux côtés des 1e et 2e groupes.

1e et 2e groupes :

Champagne (sept.-déc.) : Minaucourt, ravin de Marsou, Fontaine-en-Dormois, Butte –du-Mesnil.

3 et 4e groupes :

Pont-Rémy, Bayon. Bataille de Champagne (sept.-déc.) : Maison-de-Champagne puis Perthes-lès-Hurlus.

1916 :

1e et 2e groupes :

Verdun (fév.-avril) : bois de Vaux-Chapitre, Douaumont. Esnes, Montzéville. Somme (mai-août) : Maricourt, Curlu, Fargny, Méréaucourt. Amiens (oct.)

Somme (déc.) : Saillisel, Maricourt.

3 et 4e groupes :

Verdun (fév.-mars) : Louvement, Bezonvaux. Puis en avril : bois d’Avocourt, Malancourt. Bataille de la Somme (juin-août) : Hardecourt, Maurepas.

1917 :

Lorraine (janv.-mars) : Jarville, Houdemont, Jeandelaincourt. Chemin des Dames (avril-juin) : Moulin Gillot, bois Boyer, ravin de Vendresse. Moulin de Laffaux.

Lorraine (juin-juil.) : bois de la Lampe, Manet. Verdun (août) : bois d’Avocourt.

En nov., le régiment est transformé en régiment de campagne d’artillerie portée (RACP). Les chevaux sont remplacés par des tracteurs et des camions. Les 2 groupes se transforment en 3 groupes autotractés. Le régiment devient le 60e RACP.

3 et 4e groupes :

En avril, les 2 groupes deviennent le 260e RAC. Suivre son parcours ici.

1918 :

Secteur de Lunéville (janv.). Verdun (fév.-mars). Bataille d’Amiens, Jaulgonne. Champagne (avril-sept.) : Tahure, Mont-Sans-Nom, Juvigny, Epagny, Argonne (oct.).

27e et 28e batteries du 60e RAC

Ces 2 batteries ont été mobilisées à Troyes. Elles vont constituer une partie du 2e groupe de l’artillerie de la 70e DI à partir de 1914.

En avril 1917, elles entreront dans la composition du 208e RAC. Pour son parcours à partir de 1914, voir le 208e RAC  >>>  ici  <<<.

29e et 30e batteries du 60e RAC

Ces 2 batteries ont été mobilisées à Neufchâteau. Elles vont constituer une partie du 3e groupe de l’artillerie de la 70e DI à partir de 1914.

En avril 1917, elles entreront dans la composition du 208e RAC. Pour son parcours à partir de 1914, voir le 208e RAC  >>>  ici  <<<.

Historique du 61ème régiment d’artillerie de campagne (61e RAC)

Casernement en 1914 : Verdun. 6e brigade d’artillerie, artillerie de la 42e division d’infanterie. 3 groupes.

Les 10e et 11e batteries à cheval sont rattachées à la 5e division de cavalerie, à Châlons.

 

1914 : Opérations du corps de Cavalerie Sordet : Charleroi puis Longuyon.

Bataille de la Marne (6-13 sept.) : Soizy-aux-Bois et Villeneuve-lès-Charleville (6 sept.), château de Mondemont (9 sept.).

Bataille des Flandres : Nieuport, Dixmude, Steenstraate (nov.).

1915 : Argonne (mai–nov.) : La Gruerie, Four-de-Paris. Bataille de Champagne : Aubérive (sept.).

1916 : bataille de Verdun : Haudremont, Thiaucourt, Mort-Homme (fév.-avril).

Bataille de la Somme : Rancourt, Sailly-Saillisel (oct.), bois de Saint-Pierre-Waast.

1917 : Aisne : attaque sur Berry-au-Bac (avril). Verdun : bois des Fosses, bois de Beaumont (août).

1918 : offensive de Royes (août). Champagne : Tahure (août-oct.).

Sections de munitions d’artillerie et sections de munitions d’infanterie (SMA et SMI) du 61ème régiment d’artillerie de campagne :

Elles ne sont pas toutes rattachées directement au régiment. Elles n’ont donc pas exactement le même parcours exposé ci-dessus. On peut citer :

1ère, 2ème et 2ème sections de munitions d’artillerie du 61ème régiment d’artillerie de campagne :

En août 1914, elles sont rattachées au 6ème corps d’armée.

7ème section de munitions d’infanterie du 61ème régiment d’artillerie de campagne :

En août 1914, elles sont rattachées au 6ème corps d’armée.

Historique du 62e régiment d’artillerie de campagne (62e RAC)

Les 1e, 2e et 3e groupes d’artillerie (batteries 1 à 9)

Casernement en 1914 : Épinal (batteries 1 à 6), Bruyères (batt. 7 à 9). 19e brigade d’artillerie, artillerie de la 13e division d’infanterie. Composition : 3 groupes, 9 batteries de 75 (36 canons).

 

1914 : Vosges : Badonvilliers, Le Donon, La Chipotte (août). Bataille de la Marne (6–13 sept.) : Sompuis, Souain.

Artois : attaque du Bois Boche, Lorette (déc.).

1915 : Offensive d’Artois : Givenchy (mai-juin). Artois : Souchez, cote 119 (sept.).

1916 : bataille de Verdun : Eix, Douaumont (fév.), bois de la Caillette, Thiaumont (avril).

Bataille de la Somme : Estrées, Ablaincourt, Génermont (juil.-août).

1917 : Chemin Des Dames : Laffaux (avril).

1918 : Attaque de Champagne (sept.), Hundling-Stellung.

Le 4e groupe du 62e régiment d’artillerie de campagne (Épinal)

Un 4e groupe du 62e RAC a été créé durant la guerre. Il constitue l’artillerie de la 71e division d’infanterie (AD71), avec un groupe du 4e RAC et le groupe de territoriaux du 62e RAC.

Ces 3 groupes n’auront donc pas les mêmes lieux de combats que le 62e RAC. En avril 1917, ces 3 groupes iront constituer le 262e régiment d’artillerie de campagne.

Pour voir le parcours de ces groupes, dès 1914, consulter le 262e RAC.

Groupe de territoriaux du 62e régiment d’artillerie de campagne (Épinal)

Un groupe du 62e RAC a été créé durant la guerre. C’est un groupe formés de territoriaux. Il constitue l’artillerie de la 71e division d’infanterie (AD71), avec un groupe du 4e RAC et le 4e groupe du 62e RAC.

Ces 3 groupes n’auront donc pas les mêmes lieux de combats que le 62e RAC. En avril 1917, ces 3 groupes iront constituer le 262e régiment d’artillerie de campagne.

Pour voir le parcours de ces groupes, dès 1914, consulter le 262e RAC.

Un groupe du 62e régiment d’artillerie de campagne

Un groupe de renforcement du 62e RAC, a été créé le 8 août 1915 par la transformation de 3 batteries de 90 en batteries de 75 comptant au 62e RAC avec comme N° 21e, 22e et 23e. (JMO 62eRAC). Il est rattaché à l'artillerie de la 74e division (AD74). Puis de l’AD68 à partir de fin octobre 1915, avec un groupe du 24e RAC et un du 58e RAC.

Ces 3 groupes n’auront donc pas les mêmes lieux de combats que le 62e RAC. Ils garderont leurs numéros respectifs et combattront ensemble sous leur N° d’origine jusqu’en avril 1917. À cette date, ces 3 groupes (24e, 58e et 62e RAC) iront constituer le 224e régiment d’artillerie de campagne. Pour voir le parcours de ces groupes, dès 1915, consulter le 224e RAC.

 

 

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Essayer de retrouver une photo d’un ancêtre artilleur

 

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